Albert Lewin (1894-1968)
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Pandora de Albert Lewin
Une histoire d'amour maudit intemporelle et une relecture flamboyante du mythe du hollandais volantet et celui de la boite de Pandore. Une dimension tres litteraire avec des dialogues plein d'emphase et de poésie qui se marie parfaitement avec des images d'une beautés fabuleuse. La photo de Jack Cardiff au technicolor flamboyant qui magnifie les décors ensoleillés de la cote espagnole, amplifie le coté fantastique et iconise et rend irréele chaque apparition d'Ava Gardner. La réalisation de Lewin est splendide n'hesitant pas à verser dans le grandiloquent pour axacerber les sentiments et actes des personnages (la scene où le hollandais volant révele son identité est mémorable, tout comme celles avec les deux amants sur une plage entourés de statues grecques délabrées, et bien sur le sacrifice final). Ava Gardner peut etre dans son meilleur role et James mason magnifiquement torturé. Un de mes films préférés. 6/6
Une histoire d'amour maudit intemporelle et une relecture flamboyante du mythe du hollandais volantet et celui de la boite de Pandore. Une dimension tres litteraire avec des dialogues plein d'emphase et de poésie qui se marie parfaitement avec des images d'une beautés fabuleuse. La photo de Jack Cardiff au technicolor flamboyant qui magnifie les décors ensoleillés de la cote espagnole, amplifie le coté fantastique et iconise et rend irréele chaque apparition d'Ava Gardner. La réalisation de Lewin est splendide n'hesitant pas à verser dans le grandiloquent pour axacerber les sentiments et actes des personnages (la scene où le hollandais volant révele son identité est mémorable, tout comme celles avec les deux amants sur une plage entourés de statues grecques délabrées, et bien sur le sacrifice final). Ava Gardner peut etre dans son meilleur role et James mason magnifiquement torturé. Un de mes films préférés. 6/6
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Profondo Rosso a écrit :Pandora de Albert Lewin
Une histoire d'amour maudit intemporelle et une relecture flamboyante du mythe du hollandais volantet et celui de la boite de Pandore. Une dimension tres litteraire avec des dialogues plein d'emphase et de poésie qui se marie parfaitement avec des images d'une beautés fabuleuse. La photo de Jack Cardiff au technicolor flamboyant qui magnifie les décors ensoleillés de la cote espagnole, amplifie le coté fantastique et iconise et rend irréele chaque apparition d'Ava Gardner. La réalisation de Lewin est splendide n'hesitant pas à verser dans le grandiloquent pour axacerber les sentiments et actes des personnages (la scene où le hollandais volant révele son identité est mémorable, tout comme celles avec les deux amants sur une plage entourés de statues grecques délabrées, et bien sur le sacrifice final). Ava Gardner peut etre dans son meilleur role et James mason magnifiquement torturé. Un de mes films préférés. 6/6
J'ai dû completement passer à côté de ce film que j'ai completement oublié alors que je l'ai vu il y a un an en dvd (dvd edition montparnasse je crois, dont l'image etait peut-être un peu passée)..
Pour ma part j'avais préféré Ava Gardner dans Les tueurs avec Burt lancaster , dans La nuit de l'iguane où elle etait géniale ou même dans Mayerling où elle est encore resplendissante en Sissi..
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Pandora
Un film beau, ni plus ni moins. La photographie technicolor de Jack Cardiff est belle ; la réalisation minutieuse et le scénario d’Albert Lewin est beau ; le regard de James Mason, plein de désillusion et de mystères, est beau, et Ava Gardner n’a jamais été aussi belle que dans la peau de cette femme suprême (que ce soit enroulée dans des robes drapées et lamées ou bien nageant nue dans l’océan)… et l’amour formidable, surréaliste et chimérique, que partage leur deux personnages est beau. On peut trouver ce film prétentieux, on peut le trouver « trop » beau peut être… mais on peut aussi être charmé par sa beauté qui nous prend à la gorge ou être envoûté par son atmosphère particulière entre légende, littérature et rêverie. Une expérience à tenter quoiqu’il en soit…
8/10
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Miss Nobody a écrit :
Pandora
Un film beau, ni plus ni moins. La photographie technicolor de Jack Cardiff est belle ; la réalisation minutieuse et le scénario d’Albert Lewin est beau ; le regard de James Mason, plein de désillusion et de mystères, est beau, et Ava Gardner n’a jamais été aussi belle que dans la peau de cette femme suprême (que ce soit enroulée dans des robes drapées et lamées ou bien nageant nue dans l’océan)… et l’amour formidable, surréaliste et chimérique, que partage leur deux personnages est beau. On peut trouver ce film prétentieux, on peut le trouver « trop » beau peut être… mais on peut aussi être charmé par sa beauté qui nous prend à la gorge ou être envoûté par son atmosphère particulière entre légende, littérature et rêverie. Une expérience à tenter quoiqu’il en soit…
8/10
ça fait plaisir total chef d'oeuvre un des plus beaux films du monde !
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Drôle comme chaque film d'Albert Lewin me prennent à la gorge d'une manière très particulière... En visionnant Le portrait de Dorian Gray, je ne parvenais quelque fois plus à respirer...!Profondo Rosso a écrit :Miss Nobody a écrit :
Pandora
Un film beau, ni plus ni moins. La photographie technicolor de Jack Cardiff est belle ; la réalisation minutieuse et le scénario d’Albert Lewin est beau ; le regard de James Mason, plein de désillusion et de mystères, est beau, et Ava Gardner n’a jamais été aussi belle que dans la peau de cette femme suprême (que ce soit enroulée dans des robes drapées et lamées ou bien nageant nue dans l’océan)… et l’amour formidable, surréaliste et chimérique, que partage leur deux personnages est beau. On peut trouver ce film prétentieux, on peut le trouver « trop » beau peut être… mais on peut aussi être charmé par sa beauté qui nous prend à la gorge ou être envoûté par son atmosphère particulière entre légende, littérature et rêverie. Une expérience à tenter quoiqu’il en soit…
8/10
ça fait plaisir total chef d'oeuvre un des plus beaux films du monde !
Même sensation (un peu moins marquée) devant Pandora (pourtant, il est possible que je préfère ce dernier...).
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Pandora
Un grand film d'amour mystique et contemplatif qui joue habilement de son rythme assez lent et mystérieux, belle découverte que celle de Lewin donc, même s'il manque au film comme un petit supplément de folie artistique qui le rendrait directement plus trenscendant. Ava gardner est toutefois un effet spécial puissant à elle toute seule...
Un grand film d'amour mystique et contemplatif qui joue habilement de son rythme assez lent et mystérieux, belle découverte que celle de Lewin donc, même s'il manque au film comme un petit supplément de folie artistique qui le rendrait directement plus trenscendant. Ava gardner est toutefois un effet spécial puissant à elle toute seule...
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Clairement un de mes films d'amour préféré.Ben Castellano a écrit :Pandora
Un grand film d'amour mystique et contemplatif qui joue habilement de son rythme assez lent et mystérieux, belle découverte que celle de Lewin donc, même s'il manque au film comme un petit supplément de folie artistique qui le rendrait directement plus trenscendant. Ava gardner est toutefois un effet spécial puissant à elle toute seule...
Je trouve pour ma part qu'il y a dans ces statues abandonnées qui hantent les plages méditerranéennes toute la folie artistique que tu n'as pas trouvé dans le film. Cette permanente atmosphère de fin de fête et l'ambiance tragique qui plane autour des prétendants de pandora en font un film entêtant et vénéneux, mais aussi transfiguré par sa fin romantique et amoureuse.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY de Albert Lewin
Cette adaptation m’a provoqué quelques peu le même effet que la lecture du roman d’Oscar Wilde. L’histoire a beau rester fascinante sur bien des points et les ficelles du récit être souvent ingénieuses, le tout peine à me capter à cause d’un rythme terriblement lent. Le film se retrouve d’autant plus difficile à suivre par l’usage plombant de la voix off et une mise en scène qui sur bien des aspects assume mal son âge. En dépit de quelques brillantes compositions de plans et d’idées assez impressionnantes (l’usage de la couleur sur les deux magnifiques tableaux), je trouve le film trop souvent statique et théâtral. Ajouté à cela le fait que j’ai difficilement supporté la bogossité de Hurd Hatfield, ce portrait de Dorian Gray m’a laissé un goût amer.
Cette adaptation m’a provoqué quelques peu le même effet que la lecture du roman d’Oscar Wilde. L’histoire a beau rester fascinante sur bien des points et les ficelles du récit être souvent ingénieuses, le tout peine à me capter à cause d’un rythme terriblement lent. Le film se retrouve d’autant plus difficile à suivre par l’usage plombant de la voix off et une mise en scène qui sur bien des aspects assume mal son âge. En dépit de quelques brillantes compositions de plans et d’idées assez impressionnantes (l’usage de la couleur sur les deux magnifiques tableaux), je trouve le film trop souvent statique et théâtral. Ajouté à cela le fait que j’ai difficilement supporté la bogossité de Hurd Hatfield, ce portrait de Dorian Gray m’a laissé un goût amer.
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Re: Notez les films de mai 2008
Le portrait de Dorian Gray
Depuis le temps que je voulais le voir ce film, et bien c'est fait. Sublime. Et maintenant je sais enfin d'où vient l'avatar d'un certain forumeur (et je me demande si Lord Henry n'aurait par là même pas repris son pseudo en clin d'oeil à ce film plutôt qu'au livre d'Oscar Wilde dont il est tiré).
Bref, en 1945 Albert Lewin réalise l'un des plus beaux films fantastiques des 40's. Véritable adaptation fidèle au roman de Wilde qui se propose de magnifier le tableau à travers de rares plans couleurs (toujours subjectifs : on voit ce que voit Dorian quand il voit le tableau, l'effet en est purement saisissant) afin d'appuyer l'impact de sa dégénérescence tandis que Dorian lui ne change pas et que le reste du film est entièrement en noir et blanc. Ajoutez à celà une poésie et un charme issu du rythme, des costumes et personnages qui font que le film est resté incroyablement moderne. Excellent.
Depuis le temps que je voulais le voir ce film, et bien c'est fait. Sublime. Et maintenant je sais enfin d'où vient l'avatar d'un certain forumeur (et je me demande si Lord Henry n'aurait par là même pas repris son pseudo en clin d'oeil à ce film plutôt qu'au livre d'Oscar Wilde dont il est tiré).
Bref, en 1945 Albert Lewin réalise l'un des plus beaux films fantastiques des 40's. Véritable adaptation fidèle au roman de Wilde qui se propose de magnifier le tableau à travers de rares plans couleurs (toujours subjectifs : on voit ce que voit Dorian quand il voit le tableau, l'effet en est purement saisissant) afin d'appuyer l'impact de sa dégénérescence tandis que Dorian lui ne change pas et que le reste du film est entièrement en noir et blanc. Ajoutez à celà une poésie et un charme issu du rythme, des costumes et personnages qui font que le film est resté incroyablement moderne. Excellent.
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- Profondo Rosso
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Re: Notez les films naphtas - Mai 2009
revu pour la énième fois toujours un des plus beaux films du monde
Pandora de Albert Lewin (1951)
Quelques années après son excellent "Portrait de Dorian Gray" Albert Lewin réalise un nouveau classique du fantastique avec ce qui reste son chef d'oeuvre, Pandora, un des rares film à pratiquement égaler la magie de "L'Aventure de Madame Muir" de Mankiewicz.
Une histoire d'amour maudit intemporelle dans un scénario très original proposant une relecture flamboyante du mythe du hollandais volant et de celui de la boite de Pandore qui se fondent toujours aussi bien avec l'ambiance décadente de la jet set
Le film possède une dimension tres litteraire avec des dialogues plein d'emphase (qui si on passe à côté du film peuvent paraître pompeux) et de poésie qui se marie parfaitement avec des images d'une beautés fabuleuse. La photo de Jack Cardiff au technicolor flamboyant magnifie les décors ensoleillés de la cote espagnole, amplifie le coté fantastique, iconise et rend irréele chaque apparition d'Ava Gardner, une de ses créations les plus mémorable avec son travail sur les films de Michael Powell. Le cadre espagnol change vraiment de l'atmosphère gothique typique de ce genre de récit ancré dans la culture anglo saxonne.
Sinon le plus beau rôle de Ava Gardner (avec "La Comtesse au Pieds Nus") qui devient de plus en plus belle au fil du film quand elle découvre l'amour au côté de James Mason, ce dernier bien ténébreux et habité tout aussi bons. La grande scène où il dévoile sont passé, la fête sur la plage au milieu des statues antique et la fin magistrale sont vraiments de grands moments. Par contre à quand une belle édition, la copie de Montparnasse sans être catastrophique ne rend vraiment pas justice au film, ça serait bien qu'un éditeur à la Carlotta ou Wild Side se penche dessus... 6/6
Pandora de Albert Lewin (1951)
Quelques années après son excellent "Portrait de Dorian Gray" Albert Lewin réalise un nouveau classique du fantastique avec ce qui reste son chef d'oeuvre, Pandora, un des rares film à pratiquement égaler la magie de "L'Aventure de Madame Muir" de Mankiewicz.
Une histoire d'amour maudit intemporelle dans un scénario très original proposant une relecture flamboyante du mythe du hollandais volant et de celui de la boite de Pandore qui se fondent toujours aussi bien avec l'ambiance décadente de la jet set
Le film possède une dimension tres litteraire avec des dialogues plein d'emphase (qui si on passe à côté du film peuvent paraître pompeux) et de poésie qui se marie parfaitement avec des images d'une beautés fabuleuse. La photo de Jack Cardiff au technicolor flamboyant magnifie les décors ensoleillés de la cote espagnole, amplifie le coté fantastique, iconise et rend irréele chaque apparition d'Ava Gardner, une de ses créations les plus mémorable avec son travail sur les films de Michael Powell. Le cadre espagnol change vraiment de l'atmosphère gothique typique de ce genre de récit ancré dans la culture anglo saxonne.
Sinon le plus beau rôle de Ava Gardner (avec "La Comtesse au Pieds Nus") qui devient de plus en plus belle au fil du film quand elle découvre l'amour au côté de James Mason, ce dernier bien ténébreux et habité tout aussi bons. La grande scène où il dévoile sont passé, la fête sur la plage au milieu des statues antique et la fin magistrale sont vraiments de grands moments. Par contre à quand une belle édition, la copie de Montparnasse sans être catastrophique ne rend vraiment pas justice au film, ça serait bien qu'un éditeur à la Carlotta ou Wild Side se penche dessus... 6/6
- Ann Harding
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Re: Albert Lewin (1894-1968)
J'ai visionné hier soir la nouvelle restauration numérique de Pandora and the Flying Dutchman publiée en GB par Park Circus. La restauration rend enfin justice au travail fabuleux de Jack Cardiff. Voici quelques captures qui permettent d'apprécier le travail sur les couleurs, les scènes nocturnes et la finesse du grain.
Petit problème: cette version ne comporte aucun sous-titres. Le DVD est vendu dans un boîtier couplant version Blu-Ray et DVD normal pour le prix d'un seul DVD.
Petit problème: cette version ne comporte aucun sous-titres. Le DVD est vendu dans un boîtier couplant version Blu-Ray et DVD normal pour le prix d'un seul DVD.
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Re: Albert Lewin (1894-1968)
Comme beaucoup (tous?) les nombreux films de patrimoine sortis en blu-ray en Angleterre. Pourvu qu'un éditeur courageux ne tarde pas à le sortir chez nous...Ann Harding a écrit :Petit problème: cette version ne comporte aucun sous-titres.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Re: Albert Lewin (1894-1968)
Lewin fut un véritable OVNI dans le monde très industrieux d'Hollywood. Encore plus raffiné, cultivé et esthète que Sirk, Lang, Minnelli et Mankiewicz réunis, c'est hallucinant de réaliser qu'on lui laissa un temps les clés du camion et diriger quelques très grandes stars de l'époque. Pour un résultat qui laisse pantois. Ses quatre premiers films sont hors-concours, d'une richesse et d'une inventivité incroyables. Les deux derniers marquent une forte décadence mais il faut quand même les voir malgré leurs défauts et la bascule dans un kitsch pas toujours contrôlé. Je me souviens de magnifiques plans de nuit près de temples pré-colombiens dans The living idol et de la beauté de Rita Gam dans Saadia (film à la distribution assez dingue et à classer dans les nanars haut-de-gamme si on a mauvais esprit).
Un p'tit jeu de piste sous forme de quiz. Trouvez les passerelles liant les films suivants :
Shanghai Gesture --> Pandora
Le portrait de Dorian Gray --> L'Etrangleur de Boston
La soluce ci-dessous :
Un p'tit jeu de piste sous forme de quiz. Trouvez les passerelles liant les films suivants :
Shanghai Gesture --> Pandora
Le portrait de Dorian Gray --> L'Etrangleur de Boston
La soluce ci-dessous :
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Dernière modification par Federico le 1 nov. 10, 11:41, modifié 4 fois.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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Re: Albert Lewin (1894-1968)
Les films français qui sortent en France sont aussi tous (à de rares exceptions près) dépourvus de ST. Je connais bq d'anglophones qui rêvent de découvrir des chefs d'oeuvre du cinéma français, mais qui ne peuvent le faire faute de ST....Nestor Almendros a écrit :Comme beaucoup (tous?) les nombreux films de patrimoine sortis en blu-ray en Angleterre. Pourvu qu'un éditeur courageux ne tarde pas à le sortir chez nous...Ann Harding a écrit :Petit problème: cette version ne comporte aucun sous-titres.
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Re: Albert Lewin (1894-1968)
je me souviens aussi d'une citation de James Mason laissant entendre qu'il fut très déçu par Pandora, ayant espéré beaucoup plus au moment de s'engager dans le tournage (en raison de l'aura de Levin précisément). Le moment est peut-être venu de "vérifier" tout cela avec cette sortie du film en haute définition après l'amère déception à l'époque du dvd granuleux des éditions montparnasse.Federico a écrit :Lewin fut un véritable OVNI dans le monde très industrieux d'Hollywood. Encore plus raffiné, cultivé et esthète que Sirk, Lang, Minnelli et Mankiewicz réunis, c'est hallucinant de réaliser qu'on lui laissa un temps les clés du camion et diriger quelques très grandes stars de l'époque. Pour un résultat qui laisse pantois.
Ego sum qui sum