A l'est d'Eden (Elia Kazan - 1954)
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A l'est d'Eden (Elia Kazan - 1954)
A l'est d'Eden d'Elia Kazan (1954)
Avec : James Dean, Raymond Massey, Julie Harris, Burl Ives.
DVD Warner : image soignée, un peu de flou sur 1 ou deux scènes de gros plan du visage de l'actrice Julie Harris mais rien de rédhibitoire pour ce film datant de 1954 !
Texte contenant des spoilers
Un jeune homme révolté contre son père emprunte à sa mère, tenancière de bordel, une somme d'argent qui lui permet de spéculer sur la guerre en faisant pousser des haricots. Devenu riche et voulant offrir son argent à son père <qui fut ruiné par une malheureuse expérience de réfrigération de laitue> essuie un refus par son père dont la morale désapprouve la manière employée par le jeune homme.
Anéanti, il révèle à son frère quelle est l'activité réelle de leur mère; celui-ci bouleversé s'engage pour aller combattre en Europe (nous sommes en 1917)
Quant au père, il est frappé d'une commotion cérébrale et c'est son fils indigne qui s'occupera de lui.
Ce film du réalisateur Elia Kazan est sans doute à ranger parmi les meilleurs de cet auteur
Et pour finir ce film permet au comédien James Dean (extraordinaire en adolescent révolté) de développer son jeu par la gestuelle de son corps qui fera de lui l'idole de toute une génération. Je ne suis pas loin de penser que A l'est d'Eden est peut-être son meilleur film.
Avec : James Dean, Raymond Massey, Julie Harris, Burl Ives.
DVD Warner : image soignée, un peu de flou sur 1 ou deux scènes de gros plan du visage de l'actrice Julie Harris mais rien de rédhibitoire pour ce film datant de 1954 !
Texte contenant des spoilers
Un jeune homme révolté contre son père emprunte à sa mère, tenancière de bordel, une somme d'argent qui lui permet de spéculer sur la guerre en faisant pousser des haricots. Devenu riche et voulant offrir son argent à son père <qui fut ruiné par une malheureuse expérience de réfrigération de laitue> essuie un refus par son père dont la morale désapprouve la manière employée par le jeune homme.
Anéanti, il révèle à son frère quelle est l'activité réelle de leur mère; celui-ci bouleversé s'engage pour aller combattre en Europe (nous sommes en 1917)
Quant au père, il est frappé d'une commotion cérébrale et c'est son fils indigne qui s'occupera de lui.
Ce film du réalisateur Elia Kazan est sans doute à ranger parmi les meilleurs de cet auteur
Et pour finir ce film permet au comédien James Dean (extraordinaire en adolescent révolté) de développer son jeu par la gestuelle de son corps qui fera de lui l'idole de toute une génération. Je ne suis pas loin de penser que A l'est d'Eden est peut-être son meilleur film.
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Ah on a pas déjà fait un topic sur ce film ? Je rigloe car je suis énervé par mon topic superflu sur Profession Reporter d'Antonioni
Sinon j'ai bien aimé cet "à l'est d'Eden" en son temps mais ce n'est pas le Kazan que je préfère: LA FIEVRE DANS LE SANG me semble beaucoup plus fort et limpide.
J'ai peu accroché à certaines situations de conflits avec les parents pour ce Kazan-dean ci. Les références à la bible m'indiffèrent
De même, LA FUREUR DE VIVRE me laisse un souvenir beaucoup plus précis et beau- je commence peut-être à être un fan de Natalie Wood moi!!!! Ce serait aller contre une idée reçue : REBEL WITHOUT A CAUSE n'a pas si mal vieilli que ça.
En tous cas un film qu'il me faut revoir avec l'ensemble de l'oeuvre de Kazan.Et un atout majeur: un beau scope-couleurs.
Nb: James Dean n'a fait que trois films mais ça faisait un moment que ce film se faisait attendre en Z2 france.
Sinon j'ai bien aimé cet "à l'est d'Eden" en son temps mais ce n'est pas le Kazan que je préfère: LA FIEVRE DANS LE SANG me semble beaucoup plus fort et limpide.
J'ai peu accroché à certaines situations de conflits avec les parents pour ce Kazan-dean ci. Les références à la bible m'indiffèrent
De même, LA FUREUR DE VIVRE me laisse un souvenir beaucoup plus précis et beau- je commence peut-être à être un fan de Natalie Wood moi!!!! Ce serait aller contre une idée reçue : REBEL WITHOUT A CAUSE n'a pas si mal vieilli que ça.
En tous cas un film qu'il me faut revoir avec l'ensemble de l'oeuvre de Kazan.Et un atout majeur: un beau scope-couleurs.
Nb: James Dean n'a fait que trois films mais ça faisait un moment que ce film se faisait attendre en Z2 france.
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Moi aussi ! meme si il est incroyable dans ce film (malgres quelques moues façon Brando), avec un role qu'il lui colle carrement à la peau.Sergius Karamzin a écrit :Et moi je préfère "La fureur de vivre".
L'un des meilleurs Kazan selon moi !
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Allez Griffin l'a dit alors je l'avoue : je n'aime pas ce film. Je déteste les effets de caméra désaxée, en balançoire, etc. Dean pleure grossièrement, tout est outré à l'extrême Kazanisé au possible dans le pire de Kazan.
Un des moins bons Kazan selon moi.
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Vous voulez maroufler ? Je suis votre homme...
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Moi, j'aime beaucoup cet acteur !bogart a écrit :Je ne suis pas non plus fan de ce comédienJack Griffin a écrit :Jamais accroché à ce film que je trouve être un des plus lourd de Kazan.
Et je ne suis pas un fan de Dean non plus
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J'ai aimé A l'est d'Eden lorsque je l'ai vu il y 3-4 ans, mais sans être scotché (pas mon Kazan préféré). La fureur de vivre, je n'aime pas, je pige pas ce film (je l'ai vu qu'une fois cela dit, mais il m'a emmerdé). Et je n'a pas vu Géant.
James Dean ne m'intéresse pas ! Un mythe en carton !
Je plaisante, mais je ne suis franchement pas fan. Il me saoule !
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A l'Est d'Eden d'Elia Kazan
Autant j'admire Un Tramway Nommé Désir, autant ce Kazan là me pompe méchamment.
James Dean n'a finalement pas la classe qu'on veut bien lui sacrer (même si ça reste un bon acteur) et cette histoire sur l'envers du décors et la zone hors paradis (si j'ose dire) n'a finalement pas tant de charme.
Kate -prononcez Cat- c'est à dire la chatte (pas de jeux mots cons inside), la féline est totalement sous-traitée et les personnages ne vivent finalement qu'au travers d'une image unilatéralle pas tant intéressante que Kazan veut bien céder à notre pauvre pupille. En bref, ce film ne restera vraiment pas gravé dans les mémoires. 2/6
Autant j'admire Un Tramway Nommé Désir, autant ce Kazan là me pompe méchamment.
James Dean n'a finalement pas la classe qu'on veut bien lui sacrer (même si ça reste un bon acteur) et cette histoire sur l'envers du décors et la zone hors paradis (si j'ose dire) n'a finalement pas tant de charme.
Kate -prononcez Cat- c'est à dire la chatte (pas de jeux mots cons inside), la féline est totalement sous-traitée et les personnages ne vivent finalement qu'au travers d'une image unilatéralle pas tant intéressante que Kazan veut bien céder à notre pauvre pupille. En bref, ce film ne restera vraiment pas gravé dans les mémoires. 2/6
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
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James Dean gueulant "I want talk to you !" à sa mère restera à jamais gravé dans la mienne de mémoire !MJ a écrit : En bref, ce film ne restera vraiment pas gravé dans les mémoires. 2/6
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Non, non, à sa mère (dans le bordel) !Alligator a écrit :A son père plutôt non?Kevin95 a écrit :
James Dean gueulant "I want talk to you !" à sa mère restera à jamais gravé dans la mienne de mémoire !
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