Je ne parlais pas que de la musique, je pensais aussi au reste, aux bruitages (les bruits de rue, le son des pas, les sons d'ambiance quoi ...) ils sont extrêmement bien foutus et participent pleinement à l'ambiance du récit.
Tout à fait et je pensais bien que tu n'évoquais pas que la b.o.
D'ailleurs, même si les deux jeunes femmes au coeur de l'histoire ont un parcours différent, le traitement de Rosemary's baby m'a toujours paru comme une version couleur et américaine de Répulsion (isolement progressif de l'héroïne qui s'enferme dans ses phobies/craintes - et dans son appartement - au centre d'une mégapole pleine de bruits). Ce qui sera ensuite à nouveau le cas avec le personnage du Locataire.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
S'ils n'étaient pas maléfiques, ces apparts, les gens ne deviendraient pas fous dedans...
Plus sérieusement, c'est vrai que ces trois films développent (de manière différente), le thème de l'enfermement et de la folie (qui en est la cause ou la conséquence)
riqueuniee a écrit :Plus sérieusement, c'est vrai que ces trois films développent (de manière différente), le thème de l'enfermement et de la folie (qui en est la cause ou la conséquence)
riqueuniee a écrit :Plus sérieusement, c'est vrai que ces trois films développent (de manière différente), le thème de l'enfermement et de la folie (qui en est la cause ou la conséquence)
dans des appartements maléfiques.
D'ailleurs c'est marrant, ça forme comme une trilogie avec des gens un peu fous dedans.
Ratatouille a écrit :Et dans des habitations de type vertical, souvent.
A l'intérieur du dedans desquelles les gens ont une fâcheuse tendance à la folie maléfique... (j'ai comme l'impression qu'on n'est pas rendus avec ce fil )
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Joseph L. Mankiewicz
Souhaits : Alphabétiques - Par éditeurs - « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -