Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977)
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Très belle affiche pour la reprise en salle...
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Peux tu la poster ?
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Le film ressort en salles le 15 Juillet et le dvd/br sortirait vers Noel, avec en parallèle la sortie d'un livre "Sorcerer" par Samuel Blumenfeld!!!
La fin d'une immense attente !!!
https://pbs.twimg.com/media/CGH8mVQUQAAS8f4.jpg
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
On aura le droit a un coffret Wildside du Type COLORADO, FAT CITY etc ?
Manuel-vs-brsone.com
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
J'avais posté l'image, mais apparemment, l'URL ne fonctionne plus.BRS-One a écrit :Peux tu la poster ?
Voici le lien vers la page de CBO où l'on peut voir l'affiche :
http://www.cbo-boxoffice.com/v4/page000 ... &fid=24175
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
et surtout diffusion de la director's cut (quand le film etait passé sur arte c'etait quelle version du film ?)cineberry a écrit : Très belle affiche pour la reprise en salle...
la bande annonce pour cette ressortie
Mon site: http://mondialcinema.com
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
C'est peu de dire que j'attendais avec impatience cette ressortie, le film étant placé très haut dans mon panthéon personnel depuis que je l'avais vu en salle.
Cette révision m'a fait déchanter, je me suis grandement ennuyé notamment dans la partie finale bien moins forte que dans mon souvenir.
Restera une bonne exposition et des personnages intriguants.
Cette révision m'a fait déchanter, je me suis grandement ennuyé notamment dans la partie finale bien moins forte que dans mon souvenir.
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Je me sens moins seul.Rockatansky a écrit :C'est peu de dire que j'attendais avec impatience cette ressortie, le film étant placé très haut dans mon panthéon personnel depuis que je l'avais vu en salle.
Cette révision m'a fait déchanter, je me suis grandement ennuyé notamment dans la partie finale bien moins forte que dans mon souvenir.
Restera une bonne exposition et des personnages intriguants.
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Pareil!Demi-Lune a écrit :Pour que ça vaut (enfin, pour ne pas te laisser seul te prendre de la caillasse ), j'ai voulu regarder le Clouzot que je ne connaissais pas, et j'ai lâché l'affaire au bout d'une heure tellement c'était chiant et pas très bien interprété.Jeremy Fox a écrit :Je continue donc de préférer de loin l'original de Clouzot qui entre bien plus vite dans le vif du sujet alors que j'ai trouvé le prologue du Friedkin assez laborieux.
Enfin, moi, je parle du Friedkin...
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Il n'y a jamais eu qu'une version en France, la version sortie aux Etats-Unis. D'autres pays d'Europe avaient eu le droit à un montage légèrement différent (avec les scènes d'ouvertures disséminées au sein du film comme des flashbacks). L'usage du terme "director's cut" est donc impropre (mais bon, faut bien faire marcher le commerce).Nicolas Mag a écrit :et surtout diffusion de la director's cut (quand le film etait passé sur arte c'etait quelle version du film ?)cineberry a écrit : Très belle affiche pour la reprise en salle...
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Troll.AtCloseRange a écrit :Pareil!Demi-Lune a écrit : Pour que ça vaut (enfin, pour ne pas te laisser seul te prendre de la caillasse ), j'ai voulu regarder le Clouzot que je ne connaissais pas, et j'ai lâché l'affaire au bout d'une heure tellement c'était chiant et pas très bien interprété.
Enfin, moi, je parle du Friedkin...
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Par contre il n'est pas dit que je ne vois pas la 2ème heure un de ces jours...Demi-Lune a écrit :Troll.AtCloseRange a écrit : Pareil!
Enfin, moi, je parle du Friedkin...
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Encore plus chianteAtCloseRange a écrit : Par contre il n'est pas dit que je ne vois pas la 2ème heure un de ces jours...
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Re: Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977
Je ne sais pas si certains d'entre vous étaient à la projection à l'UGC George V en présence de Friedkin hier soir, mais pour ma part j'ai été plutôt déçu.
Copier coller de ma critique sur Sens Critique :
Paris, c'est souvent très chouette quand on est cinéphile : ce soir, j'ai pu assister à une projection de la version (magnifiquement) restaurée de Sorcerer en présence de William Friedkin, qui a préféré aller manger avec sa femme pendant la projection du film sous prétexte qu'il l'avait déjà vu trop de fois, mais qui nous a gratifié d'une séance de questions-réponses avec le public une fois le film terminé : c'est un type très sympa, très honnête et simple dans sa façon de parler, assez drôle parfois (et il nous a gratifié d'une jolie bourde avant la séance en associant Paris avec la naissance du cinéma et les frères Lumière) ; en tout cas c'est vraiment très intéressant de pouvoir poser nos questions à un réalisateur de ce calibre.
Pour ce qui est du film en lui-même, je nourrissais de bons espoirs, ayant adoré d'une part Le Salaire de la Peur, et d'autre part French Connection de Friedkin, qui a voulu faire une adaptation très libre du film original, en y reprenant le concept, certaines scènes et c'est tout, les personnages n'ayant rien à voir et les situations étant souvent différentes. Comme dans le Clouzot, il faut une heure de film pour que la partie avec les camions commence, ça ne se déroule pas de la même façon : la première demi-heure présente les vies des 4 personnages (ayant tous trempé dans le crime ou la magouille) dans leurs pays respectifs avant d'arriver en Amérique du Sud. Parfois critiquée par certains, cette partie n'est pas inutile, certains détails caractérisant les personnages étant importants pour la suite si on y prête attention (notamment par rapport à certains thèmes sur la fatalité et le destin auxquels Friedkin dit s'intéresser ici). La deuxième demi-heure se passe dans le village paumé d'Amérique du Sud où les personnages de Roy Scheider et Bruno Cremer vont être amenés à se croiser, et dont les problèmes d'argent vont les amener à accepter la dangereuse mission (avec 2 autres personnages) qui faisait tout le sel du film original.
J'étais impatient de voir comment Friedkin s'en était tiré avec la partie des camions, lui qui avait réalisé une des plus grandes scènes de courses-poursuites de l'histoire du cinéma avec French Connection, et je n'irais pas par 4 chemins : j'ai été très déçu, car j'ai carrément le sentiment qu'il n'a rien compris au film de Clouzot. En effet, le film original était mis en scène avec toute une minutie qui immergeait le spectateur autant que possible dans l'histoire avec les protagonistes, avec qui on était de tout cœur dans l'aventure ; et le cinéaste français avait tout un art de mettre en place un suspense et une tension virtuose, où l'on sentait que le moindre nid de poule ou la moindre bosse pouvait être fatale (c'est là tout l'art du pouvoir de suggestion). Ici, Friedkin reprend le style qui caractérisait French Connection avec un montage nerveux et une narration quelque peu elliptique qui se passe du superflu, ce qui donne à l'ensemble un aspect assez plus ou moins expéditif, que l'on peut voir rien qu'en comparant la durée de la partie du transport des explosifs entre les deux films : à vue de nez 85 minutes dans l'original et 45 minutes dans ce remake. Du coup, il y a bien la fameuse scène du pont suspendu qui est chouette, mais à vouloir réaliser le film comme French Connection, sans vouloir prendre son temps, le réalisateur passe à côté du concept échoue à reproduire l'authentique suspense de l'original, et à vraiment faire ressentir l'impression au spectateur de vivre un périple qui met les nerfs à rude épreuve. De plus, dans le film original, on s'attachait vraiment aux personnages, dont on ressentait à la fois le courage et le désespoir et avec qui on partageait quelques moments de vie simples, ce qui les rendaient humains ; ici, les protagonistes paraissent plutôt lâches et antipathiques, ce qui est peut-être intentionnel étant donné que ce sont des crapules, mais l'implication émotionnelle du spectateur s'en retrouve fort gênée ; et parallèlement, la prétendue noirceur que Friedkin paraît vouloir donner à l'ensemble a du mal à fonctionner (avec moi en tout cas).
La comparaison de 3 scènes des deux films permet de représenter l'échec que constitue à mon sens ce remake.
Premièrement, dans le film original, un des obstacles sur la route était constitué par un gros rocher qui barrait le chemin des personnages, qui étaient obligés de le faire exploser : après l'explosion, de nombreux cailloux retombent en menaçant dangereusement d'arriver sur un des camions et de faire exploser la nitroglycérine, ce qui ne manque pas de faire stresser le spectateur ; là, le rocher est remplacé par un gros arbre, il le font exploser (après une scène sans grand intérêt ou Roy Scheider s'attaque à la forêt avec sa machette), et puis c'est tout.
Deuxièmement,
Pour un peu, on aurait presque l'impression que Friedkin se désintéresse de toute la partie des camions, et à vrai dire on aurait presque pu enlever du scénario la cargaison de nitroglycérine capable d'exploser à la moindre secousse que le résultat ne serait pas très différent dans son déroulement. A côté de ça, le réalisateur a voulu insuffler certains de ses thèmes qui lui tiennent à cœur ("The Exorcist was a film about faith, Sorcerer is a film about fate", disait-il), sans que ça m'ait paru vraiment abouti, et la conclusion pessimiste (avec quand même une touche d'humour noir) m'a paru presque un peu arrivée comme un cheveu sur la soupe.
Je suis sans doute sévère avec Sorcerer par la comparaison avec Le Salaire de la Peur, mais même sans ça, le film me paraît un peu bancal et vain, sans être foncièrement médiocre. Je suis peut-être passé à côté de quelque chose, mais à part une belle photographie et quelques chouettes scènes, ça ne vaut pas mieux à mes yeux qu'une simple curiosité, et je suis surpris que Friedkin le considère comme son film le plus abouti...
Copier coller de ma critique sur Sens Critique :
Paris, c'est souvent très chouette quand on est cinéphile : ce soir, j'ai pu assister à une projection de la version (magnifiquement) restaurée de Sorcerer en présence de William Friedkin, qui a préféré aller manger avec sa femme pendant la projection du film sous prétexte qu'il l'avait déjà vu trop de fois, mais qui nous a gratifié d'une séance de questions-réponses avec le public une fois le film terminé : c'est un type très sympa, très honnête et simple dans sa façon de parler, assez drôle parfois (et il nous a gratifié d'une jolie bourde avant la séance en associant Paris avec la naissance du cinéma et les frères Lumière) ; en tout cas c'est vraiment très intéressant de pouvoir poser nos questions à un réalisateur de ce calibre.
Pour ce qui est du film en lui-même, je nourrissais de bons espoirs, ayant adoré d'une part Le Salaire de la Peur, et d'autre part French Connection de Friedkin, qui a voulu faire une adaptation très libre du film original, en y reprenant le concept, certaines scènes et c'est tout, les personnages n'ayant rien à voir et les situations étant souvent différentes. Comme dans le Clouzot, il faut une heure de film pour que la partie avec les camions commence, ça ne se déroule pas de la même façon : la première demi-heure présente les vies des 4 personnages (ayant tous trempé dans le crime ou la magouille) dans leurs pays respectifs avant d'arriver en Amérique du Sud. Parfois critiquée par certains, cette partie n'est pas inutile, certains détails caractérisant les personnages étant importants pour la suite si on y prête attention (notamment par rapport à certains thèmes sur la fatalité et le destin auxquels Friedkin dit s'intéresser ici). La deuxième demi-heure se passe dans le village paumé d'Amérique du Sud où les personnages de Roy Scheider et Bruno Cremer vont être amenés à se croiser, et dont les problèmes d'argent vont les amener à accepter la dangereuse mission (avec 2 autres personnages) qui faisait tout le sel du film original.
J'étais impatient de voir comment Friedkin s'en était tiré avec la partie des camions, lui qui avait réalisé une des plus grandes scènes de courses-poursuites de l'histoire du cinéma avec French Connection, et je n'irais pas par 4 chemins : j'ai été très déçu, car j'ai carrément le sentiment qu'il n'a rien compris au film de Clouzot. En effet, le film original était mis en scène avec toute une minutie qui immergeait le spectateur autant que possible dans l'histoire avec les protagonistes, avec qui on était de tout cœur dans l'aventure ; et le cinéaste français avait tout un art de mettre en place un suspense et une tension virtuose, où l'on sentait que le moindre nid de poule ou la moindre bosse pouvait être fatale (c'est là tout l'art du pouvoir de suggestion). Ici, Friedkin reprend le style qui caractérisait French Connection avec un montage nerveux et une narration quelque peu elliptique qui se passe du superflu, ce qui donne à l'ensemble un aspect assez plus ou moins expéditif, que l'on peut voir rien qu'en comparant la durée de la partie du transport des explosifs entre les deux films : à vue de nez 85 minutes dans l'original et 45 minutes dans ce remake. Du coup, il y a bien la fameuse scène du pont suspendu qui est chouette, mais à vouloir réaliser le film comme French Connection, sans vouloir prendre son temps, le réalisateur passe à côté du concept échoue à reproduire l'authentique suspense de l'original, et à vraiment faire ressentir l'impression au spectateur de vivre un périple qui met les nerfs à rude épreuve. De plus, dans le film original, on s'attachait vraiment aux personnages, dont on ressentait à la fois le courage et le désespoir et avec qui on partageait quelques moments de vie simples, ce qui les rendaient humains ; ici, les protagonistes paraissent plutôt lâches et antipathiques, ce qui est peut-être intentionnel étant donné que ce sont des crapules, mais l'implication émotionnelle du spectateur s'en retrouve fort gênée ; et parallèlement, la prétendue noirceur que Friedkin paraît vouloir donner à l'ensemble a du mal à fonctionner (avec moi en tout cas).
La comparaison de 3 scènes des deux films permet de représenter l'échec que constitue à mon sens ce remake.
Premièrement, dans le film original, un des obstacles sur la route était constitué par un gros rocher qui barrait le chemin des personnages, qui étaient obligés de le faire exploser : après l'explosion, de nombreux cailloux retombent en menaçant dangereusement d'arriver sur un des camions et de faire exploser la nitroglycérine, ce qui ne manque pas de faire stresser le spectateur ; là, le rocher est remplacé par un gros arbre, il le font exploser (après une scène sans grand intérêt ou Roy Scheider s'attaque à la forêt avec sa machette), et puis c'est tout.
Deuxièmement,
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Pour un peu, on aurait presque l'impression que Friedkin se désintéresse de toute la partie des camions, et à vrai dire on aurait presque pu enlever du scénario la cargaison de nitroglycérine capable d'exploser à la moindre secousse que le résultat ne serait pas très différent dans son déroulement. A côté de ça, le réalisateur a voulu insuffler certains de ses thèmes qui lui tiennent à cœur ("The Exorcist was a film about faith, Sorcerer is a film about fate", disait-il), sans que ça m'ait paru vraiment abouti, et la conclusion pessimiste (avec quand même une touche d'humour noir) m'a paru presque un peu arrivée comme un cheveu sur la soupe.
Je suis sans doute sévère avec Sorcerer par la comparaison avec Le Salaire de la Peur, mais même sans ça, le film me paraît un peu bancal et vain, sans être foncièrement médiocre. Je suis peut-être passé à côté de quelque chose, mais à part une belle photographie et quelques chouettes scènes, ça ne vaut pas mieux à mes yeux qu'une simple curiosité, et je suis surpris que Friedkin le considère comme son film le plus abouti...