la rédac' en a conscience, c'est pour cela qu'elle crée des topic ad hoc à présent.harry callahan a écrit :Ou comment se faire prendre en flagrant délit de non consultation du site ....Tuck pendleton a écrit :en aout chez Warner..c'est dans les news du site
Le Village des damnés (Wolf Rilla - 1960)
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Alex Blackwell
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Night of the hunter forever
Caramba, encore raté.
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harry callahan
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Alex Blackwell
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Brice Kantor
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C'est une déception en ce qui me concerne, et pourtant j'attendais vraiment depuis longtemps de voir la version originale de ce film, avec ses photos très belles et son réalisateur au nom fantastique à lui tout seul. Bon, j'ai sans doute eu un problème du fait que j'ai vu le film de Carpenter avant, un film que j'avais bien apprécié malgré sa mauvaise réputation... Et Big John est très fidèle à l'original, reprenant toute ses bonnes idées et en gommant certain de ses défauts.
Alors en essayant de me placer dans la peau du spectateur qui découvre le film à l'époque, il faut quand même mettre au tribut de Rilla d'avoir créer toute ces images fortes devenus plus ou moins mythiques: le village évanouit, les fameux enfants donc, et le mur de brique. Mais j'ai trouvé que le film était plus désuet que poétique. La mise en scène est fluide mais peu inspirée dans l'ensemble, et le film est sans doute trop court, presque expéditif... Carpenter a crée de superbes compositions en cinémascope avec l'idée de la ligne blanche, et il avait lui emmené des intrigues secondaires que je trouvai intéressante, comme le fait qu'un des enfants puisse être tenté de devenir humain et s'extraire du groupe.
Le film de Carpenter dans tout son ensemble est plus humain d'ailleurs, tout particulièrement en ce qui concerne les personnages. Transposé aux Etats-Unis, l'idée communautaire était plus intéressante, ici dans ce petit village anglais, on a un club de trois ou quatre personnes agées en complet veston discutant du sort des enfants, ce qui n'est guère palpitant. La différence d'âge entre Sanders et sa femme renforce le côté paternaliste un peu agaçant. Zellaby n'est pas un personnage très net et attachant... Même quand il va s'agir pour lui de racheter son erreur d'appreciation, la chose est mal emmené.
Ceci dis, tout ça me donne l'envie après "La révolte des Triffides" de découvrir John Wyndman en tant qu'écrivain.
2,5/6
Alors en essayant de me placer dans la peau du spectateur qui découvre le film à l'époque, il faut quand même mettre au tribut de Rilla d'avoir créer toute ces images fortes devenus plus ou moins mythiques: le village évanouit, les fameux enfants donc, et le mur de brique. Mais j'ai trouvé que le film était plus désuet que poétique. La mise en scène est fluide mais peu inspirée dans l'ensemble, et le film est sans doute trop court, presque expéditif... Carpenter a crée de superbes compositions en cinémascope avec l'idée de la ligne blanche, et il avait lui emmené des intrigues secondaires que je trouvai intéressante, comme le fait qu'un des enfants puisse être tenté de devenir humain et s'extraire du groupe.
Le film de Carpenter dans tout son ensemble est plus humain d'ailleurs, tout particulièrement en ce qui concerne les personnages. Transposé aux Etats-Unis, l'idée communautaire était plus intéressante, ici dans ce petit village anglais, on a un club de trois ou quatre personnes agées en complet veston discutant du sort des enfants, ce qui n'est guère palpitant. La différence d'âge entre Sanders et sa femme renforce le côté paternaliste un peu agaçant. Zellaby n'est pas un personnage très net et attachant... Même quand il va s'agir pour lui de racheter son erreur d'appreciation, la chose est mal emmené.
Ceci dis, tout ça me donne l'envie après "La révolte des Triffides" de découvrir John Wyndman en tant qu'écrivain.
2,5/6
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O'Malley
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Idem que toi, en moins dur tout de même...Mac Lean a écrit :C'est une déception en ce qui me concerne, et pourtant j'attendais vraiment depuis longtemps de voir la version originale de ce film, avec ses photos très belles et son réalisateur au nom fantastique à lui tout seul. Bon, j'ai sans doute eu un problème du fait que j'ai vu le film de Carpenter avant, un film que j'avais bien apprécié malgré sa mauvaise réputation... Et Big John est très fidèle à l'original, reprenant toute ses bonnes idées et en gommant certain de ses défauts.
Alors en essayant de me placer dans la peau du spectateur qui découvre le film à l'époque, il faut quand même mettre au tribut de Rilla d'avoir créer toute ces images fortes devenus plus ou moins mythiques: le village évanouit, les fameux enfants donc, et le mur de brique. Mais j'ai trouvé que le film était plus désuet que poétique. La mise en scène est fluide mais peu inspirée dans l'ensemble, et le film est sans doute trop court, presque expéditif... Carpenter a crée de superbes compositions en cinémascope avec l'idée de la ligne blanche, et il avait lui emmené des intrigues secondaires que je trouvai intéressante, comme le fait qu'un des enfants puisse être tenté de devenir humain et s'extraire du groupe.
Le film de Carpenter dans tout son ensemble est plus humain d'ailleurs, tout particulièrement en ce qui concerne les personnages. Transposé aux Etats-Unis, l'idée communautaire était plus intéressante, ici dans ce petit village anglais, on a un club de trois ou quatre personnes agées en complet veston discutant du sort des enfants, ce qui n'est guère palpitant. La différence d'âge entre Sanders et sa femme renforce le côté paternaliste un peu agaçant. Zellaby n'est pas un personnage très net et attachant... Même quand il va s'agir pour lui de racheter son erreur d'appreciation, la chose est mal emmené.
Ceci dis, tout ça me donne l'envie après "La révolte des Triffides" de découvrir John Wyndman en tant qu'écrivain.
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le sujet est fort original et passionnant mais le développement laisse un peu à désirer et opte parfois pour la facilité...de même, le film confirme que Wolf Rilla n'est pas un grand metteur en scène (qu'a t-il fait d'autre d'ailleurs qui est resté dans les mémoires?): celle-ci souligne bcp les effets (la musique aussi d'ailleurs) et à part, queluqes scènes et plans inquiétants, cela ne s'élève pas au dessus d'une série télé myenne;;dnc une déception... 3,5/6
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Philip Marlowe
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Pareil.O'Malley a écrit : Idem que toi, en moins dur tout de même...
le sujet est fort original et passionnant mais le développement laisse un peu à désirer et opte parfois pour la facilité...de même, le film confirme que Wolf Rilla n'est pas un grand metteur en scène (qu'a t-il fait d'autre d'ailleurs qui est resté dans les mémoires?): celle-ci souligne bcp les effets (la musique aussi d'ailleurs) et à part, queluqes scènes et plans inquiétants, cela ne s'élève pas au dessus d'une série télé myenne;;dnc une déception... 3,5/6
Je retiendrai surtout l'ouverture, où tout un village s'endort et qu'après s'affiche sur l'écran Le Village des Damnés. Ca jette un certain malaise.
Mais après, même si ça se regarde sans déplaisir et que certaines images marquent, ça décolle pas vraiment.
Au final, un bon petit film fantastique bien plus intéressant sur le fond que sur la forme.
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Carlotta Montay
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Cinetudes
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Salut,
j'ai vu le double DVD hier soir et je vous trouve quand même assez dur dans l'ensemble avec le Village des Damnés.
Certes Wolf Rilla n'est pas un metteur en scène de génie et le film peine un peu dans son ensemble à transcender l'histoire géniale qu'il illustre mais tout de même que de grands moments dans ce film.
Les enfants sont absolument glaçants, George Sanders incarne à la perfection un personnage passionnant, l'interprétation générale est de qualité et les effets spéciaux trés réussis.
Bien sur, de nombreuses piste ouvertes par le film ne sont pas exploitées et certaines scènes paraissent même avoir été coupées (celle ou la mêre plonge sa main dans l'eau bouillante).
Mais dans l'ensemble, voici un film fantastique trés original de par son scénario dont la mise en scène est peut être un peu trop plan plan (encore que la scène ou le pêre déçu se suicide et la fin soit vraiment trés bien réalisée) mais qui remplit son contrat à la perfection.
Pour mettre en valeur cette esthétique propre à MGM Angleterre, je dirai qu'il s'agit d'un super épisode de The Avengers (même si la série est postérieure) et combien de petits films de Science-Fiction Américains ressemblent à un long épisode de The Twillight Zone.
Sa suite est trés étonnante elle aussi. Children of the Damned est aussi réalisé par un illustre inconnu (Anton M Leader) qui du coup le met en scène de façon trés simple et illustrative également.
Le scénariste John Briley à eu l'intelligence de s'éloigner du traitement du premier film et de développer l'influence des enfants à l'échelle mondiale et ainsi fustiger la bétise généralisée des ceux qui nous gouvernent, toutjours dans ce climat de paranoia aigue crée par la guerre froide dans les années 60.
Les acteurs sont tous convaincants et le film réserve quelques scènes absolument mémorables, telles toutes celles qui se passent dans l'église qui arrivent à montrer de façon simple mais trés efficace les pouvoirs de ces enfants.
De plus dans ce film, leur nature est différente et leurs intentions aussi et cela en renforce grandement l'intérêt.
Deux petits films qui à mes yeux remplissent parfaitement leur contrat (malgré leurs faiblesses respectives, qui restent cependant trés mineures à mes yeux), grace à un postulat de départ absolument génial qui reste certes légèrement sous exploité mais surtout jamais trahi ou baclé.
Vraiment une soirée cinéma fort agréable hier soir
!!!!
Stefan
j'ai vu le double DVD hier soir et je vous trouve quand même assez dur dans l'ensemble avec le Village des Damnés.
Certes Wolf Rilla n'est pas un metteur en scène de génie et le film peine un peu dans son ensemble à transcender l'histoire géniale qu'il illustre mais tout de même que de grands moments dans ce film.
Les enfants sont absolument glaçants, George Sanders incarne à la perfection un personnage passionnant, l'interprétation générale est de qualité et les effets spéciaux trés réussis.
Bien sur, de nombreuses piste ouvertes par le film ne sont pas exploitées et certaines scènes paraissent même avoir été coupées (celle ou la mêre plonge sa main dans l'eau bouillante).
Mais dans l'ensemble, voici un film fantastique trés original de par son scénario dont la mise en scène est peut être un peu trop plan plan (encore que la scène ou le pêre déçu se suicide et la fin soit vraiment trés bien réalisée) mais qui remplit son contrat à la perfection.
Pour mettre en valeur cette esthétique propre à MGM Angleterre, je dirai qu'il s'agit d'un super épisode de The Avengers (même si la série est postérieure) et combien de petits films de Science-Fiction Américains ressemblent à un long épisode de The Twillight Zone.
Sa suite est trés étonnante elle aussi. Children of the Damned est aussi réalisé par un illustre inconnu (Anton M Leader) qui du coup le met en scène de façon trés simple et illustrative également.
Le scénariste John Briley à eu l'intelligence de s'éloigner du traitement du premier film et de développer l'influence des enfants à l'échelle mondiale et ainsi fustiger la bétise généralisée des ceux qui nous gouvernent, toutjours dans ce climat de paranoia aigue crée par la guerre froide dans les années 60.
Les acteurs sont tous convaincants et le film réserve quelques scènes absolument mémorables, telles toutes celles qui se passent dans l'église qui arrivent à montrer de façon simple mais trés efficace les pouvoirs de ces enfants.
De plus dans ce film, leur nature est différente et leurs intentions aussi et cela en renforce grandement l'intérêt.
Deux petits films qui à mes yeux remplissent parfaitement leur contrat (malgré leurs faiblesses respectives, qui restent cependant trés mineures à mes yeux), grace à un postulat de départ absolument génial qui reste certes légèrement sous exploité mais surtout jamais trahi ou baclé.
Vraiment une soirée cinéma fort agréable hier soir
!!!!Stefan
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Cinetudes
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Mon cher Phibes,
je suis d'accord sur la première partie de ta phrase mais je ne comprends absolument pas ta haine du remake de Carpenter qui à mes yeux est largement à la hauteur du film de Rilla.
Il à même su mieux exploiter certaines scènes (la mêre plongeant sa mian dans l'eau bouillante) et y instiller plus d'acidité (le curé sniper).
En quoi ce film te parait il si inférieur à celui de Rilla?
Stefan
je suis d'accord sur la première partie de ta phrase mais je ne comprends absolument pas ta haine du remake de Carpenter qui à mes yeux est largement à la hauteur du film de Rilla.
Il à même su mieux exploiter certaines scènes (la mêre plongeant sa mian dans l'eau bouillante) et y instiller plus d'acidité (le curé sniper).
En quoi ce film te parait il si inférieur à celui de Rilla?
Stefan
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phibes
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je pense simplement mon cher cinétude , que ce film est inutile , pourquoi refaire ce qui est déjà parfais ? carpenter n'est pas le seul concerné par des remakes inutiles , pourquoi pas un remake de " bride of frankenstein " ou de " horror of dracula " pendant qu'on y est .
carpenter n'avait pas mieux à faire comme" starman" , film remarquable et complètement sous estimé , au profit de ce " E T " . très surestimé !
carpenter n'avait pas mieux à faire comme" starman" , film remarquable et complètement sous estimé , au profit de ce " E T " . très surestimé !
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Brice Kantor
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Cinetudes
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Ah mais mon cher Phibes, pour une fois qu'un remake apporte quelque chose à un excellent sans pour autant perdre en qualité.
Je suis le premier à pester contre les remake qui fleurissent un peu de partout mais il faut reconnaitre à Big John une telle maitrise de son médium et un tel amour du cinéma fantastiques des années 50/60 que je ne pense pas un seul instant que sa démarche soit mercantile.
Certes le film de Carpenter est trés proche de celui de Rilla dans sa construction mais dans le même temps il apporte à cette histoire une intensité et une façon de voir les choses légèrement différente.
De plus, j'apprécie énormément le film de Rilla mais j'aurai du mal à dire qu'il est parfait même si effectivement les "défauts" de cet oeuvre me semblent limités au maximum.
Enfin bon, le remake de Carpenter est quand même à mille lieues des récentes opérations marketing style The Texas Chainsaw Massacre. Si le remake est moins mauvais que ce à quoi je m'attendais, il dénature totalement le film précédent et ne fait qu'abatardir encore un peu plus la sensation du grand public autour de ce film unique en y mettant bcp de sang et en supprimant tout intérêt vis à vis de la famille. Ceci dit le réalisateur à un talent certain mais clairement sous exploité dans ce film hyper bancal et profondément inutile pour le coup.
Enfin mon cher Phibes, je vois déja ta colère homèrique quand Hollywood décidera de s'attaquer aux remakes des films "poussiéreux" ( , c'est de la provoc, ne t'énerves pas hein) de la Hammer et qu'ils vont t'en faire des remakes à effets spéciaux à mort.
Stefan
Ps: ceci n'est pas de la provoc mais je prefère Starman à ET également mais dans l'ensemble ce type de films me fait un peu chier.
Je suis le premier à pester contre les remake qui fleurissent un peu de partout mais il faut reconnaitre à Big John une telle maitrise de son médium et un tel amour du cinéma fantastiques des années 50/60 que je ne pense pas un seul instant que sa démarche soit mercantile.
Certes le film de Carpenter est trés proche de celui de Rilla dans sa construction mais dans le même temps il apporte à cette histoire une intensité et une façon de voir les choses légèrement différente.
De plus, j'apprécie énormément le film de Rilla mais j'aurai du mal à dire qu'il est parfait même si effectivement les "défauts" de cet oeuvre me semblent limités au maximum.
Enfin bon, le remake de Carpenter est quand même à mille lieues des récentes opérations marketing style The Texas Chainsaw Massacre. Si le remake est moins mauvais que ce à quoi je m'attendais, il dénature totalement le film précédent et ne fait qu'abatardir encore un peu plus la sensation du grand public autour de ce film unique en y mettant bcp de sang et en supprimant tout intérêt vis à vis de la famille. Ceci dit le réalisateur à un talent certain mais clairement sous exploité dans ce film hyper bancal et profondément inutile pour le coup.
Enfin mon cher Phibes, je vois déja ta colère homèrique quand Hollywood décidera de s'attaquer aux remakes des films "poussiéreux" (
, c'est de la provoc, ne t'énerves pas hein) de la Hammer et qu'ils vont t'en faire des remakes à effets spéciaux à mort.Stefan
Ps: ceci n'est pas de la provoc mais je prefère Starman à ET également mais dans l'ensemble ce type de films me fait un peu chier.