Tommy Udo a écrit :Une fois pour la fin optimiste et une fois pour la fin pessimiste ?John Holden a écrit :La belle équipe de Julien Duvivier
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La belle équipe de Julien Duvivier

Corrigé.
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Tommy Udo a écrit :Une fois pour la fin optimiste et une fois pour la fin pessimiste ?John Holden a écrit :La belle équipe de Julien Duvivier
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La belle équipe de Julien Duvivier
Merci. Je crois en effet qu'il est rarement cité.Tommy Udo a écrit :Je n'y pensais plus à celui-là. Excellent choix !Dale Cooper a écrit : Le Million
Je l'ai cité pourtant dans mes tops annuelsDale Cooper a écrit :Merci. Je crois en effet qu'il est rarement cité.Tommy Udo a écrit : Je n'y pensais plus à celui-là. Excellent choix !
Ah... ben écoute, j'n'ai rien dit quand tu reprenais mes citations de Polanski sur La Corde ou de De Palma sur Vertigo dans ce topic, alors que, soit ça provenait de mon blog, soit je les avais retranscrites quelques pages plus tôt, alors hein...Hitchcock a écrit :Je l'ai cité pourtant dans mes tops annuelsDale Cooper a écrit : Merci. Je crois en effet qu'il est rarement cité.
Petite anecdote à propos de ce film pour ceux qui étaient passé à côté à l'époque:hellrick a écrit : - L'homme que j'ai tué
C'est au printemps que le chef de l'Etat a dévoilé sa préférence pour le film Broken Lullaby, d'Ernst Lubitsch souvent traduit par L'homme que j'ai tué. Sur sa page Facebook, il écrit son goût pour le cinéaste américano-allemand, et "notamment" pour ce long-métrage réalisé en 1932, qui fut un échec à sa sortie.
Il le cite depuis régulièrement, comme le 6 septembre, devant les personnalités du 7e art qu'il recevait à l'Elysée.
On avait compris que depuis 2009, Nicolas Sarkozy avait fait sa "révolution culturelle" en troquant ses films de Stallone et des Bronzés pour Visconti, Godard et Lynch. C'est maintenant à Broken Lullaby de prendre place dans la DVThèque présidentielle. Broken Lullaby peu connu même des plus cinéphiles, est loin de Ninotchka ou de To Be or Not to Be, les comédies aériennes de Lubitsch. Ce drame se déroule en 1919.
Un soldat français ne se remet pas d'avoir tué sur le front de la Grande Guerre un combattant allemand. N'ayant trouvé aucun réconfort auprès de l'Eglise, il part outre-Rhin rencontrer les parents du défunt. A la suite d'un quiproquo, ces derniers le prennent pour un ami de leur fils. Film sur le deuil impossible et le pardon, Broken Lullaby illustre les ravages d'une guerre - le chef des armées n'y a visiblement pas été insensible - en même temps qu'il porte un message sur la haine entre les peuples. C'est évidemment son épouse qui lui a fait découvrir, comme beaucoup d'autres, ce classique. "Avec Carla, on a vu 200 films cette année", assure le président dans Carla et les ambitieux
Le pauvre garçon ! Pas crédible une seconde.Supfiction a écrit :... Nicolas Sarkozy avait fait sa "révolution culturelle"
YeahhhhCommissaire Juve a écrit :Le pauvre garçon ! Pas crédible une seconde.Supfiction a écrit :... Nicolas Sarkozy avait fait sa "révolution culturelle"
UP !Randolph Carter a écrit :Rigolons pas... "Gribouille", je n'ai jamais pu regarder cette niaiserie jusqu'au bout .Commissaire Juve a écrit : ...
Comme dit Kiermavel, je préfère "Fanny", "Gribouille" ou "Entrée des artistes".
Commissaire Juve a écrit : Je me suis refait Gribouille ce soir. Je confirme : Marcel Achard est meilleur dialoguiste que Renoir (ah, l'adaptation de "La Bête humaine"... avec des moufles !).
Renoir a reconnu lui-même qu'il avait torché le scénar en deux semaines. C'est sérieux, ça ?Et puis, il y a les moments de mise en abyme : la marraine de Lantier qui nous "fait la lecture" pour nous expliquer le "mal" de son filleul... Et Lantier lui-même qui se met à parler à la place de Zola pour nous expliquer que son "mal" est le produit d'une hérédité chargée (lorsqu'il se confie à Flore / Blanchette Brunoy)...
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