L'Homme qui rétrécit (Jack Arnold - 1957)
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Re: Notez les films naphtas - Janvier 2010
Un peu comme Hellrick :Jolan a écrit :Bonjour à toutes et à tous.
Passant le plus clair de mon temps à visionner de vieux films, je suis pris depuis quelques temps d'une envie de partager cette passion sur un forum, donc je suis tombé sur le vôtre, et me voila parmi vous tout de go.
En guise de présentation - n'ayant pas vu de topic consacré à cette politesse - voici mes avis succincts sur mes vieux films vus ce mois
(...)
« L’Homme qui rétrécit » de Jack ARNOLD - 1957
C’est original, moderne pour l’époque, bien réalisé, mais j’ai fini par trouver le temps long à partir de la très longue séquence dans la cave. Le film s’achève sur une réflexion philosophique incongrue par rapport au reste, et j’ai trouvé ça ridicule, d’autant qu’il aurait pu y avoir un développement fort intéressant. Dommage. Un remake est annoncé pour cette année avec Eddie Murphy, autant dire qu'il n'en restera qu'une farce grotesque inutile.
8/20
(...)



Tu es dur pour le coup. Je n'ai pas revu le film depuis une éternité mais je me souviens plus d'une oeuvre très prenante avec des scènes dont les effets spéciaux n'ont nullement à pâtir face à ceux d'aujourd'hui (l'attaque du chat, la tarentule dans la cave...). Quand à la cave (je me base sur le roman de Richard Matheson), elle permet de mettre en place un certain suspens : on sait que cet homme rétrécit et normalement, on le voit croiser le chemin de l'araignée une première fois, mais elle reste encore inoffensive pour lui. Mais on sait qu'il rétrécit donc la stupeur et l'horreur sont encore plus grande quand il recroise le chemin du monstre, devenu cette fois bien plus grand que lui. C'est du moins le climax de suspens tel qu'on le ressent dans le livre. Quand à la réflexion philosophique, je pense plus à une manière de voir la vie et de continuer jusqu'au bout alors qu'il continue de rétrécir jusqu'au bout, une façon de tenir bon face à une situation pourtant extrême. Mais je le redis, je me base plus sur le roman de Matheson, je n'ai pas vu le film depuis un bon moment même si je crois qu'il lui reste assez fidèle.

Sinon, bienvenue ici ami cinéphile fan de Thorgal.


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Re: Notez les films naphtas - Janvier 2010
Ce film m'a valu, avec d'autres films de Jack Arnold, de faire la meilleure affaire de ma vie...Acheté $33 sur eBay en 2006 (dans la "Classic Sci-Fi Ultimate Collection"), revendu $127.50 un an plus tard. Aucun regret.Jolan a écrit : « L’Homme qui rétrécit » de Jack ARNOLD - 1957
C’est original, moderne pour l’époque, bien réalisé, mais j’ai fini par trouver le temps long à partir de la très longue séquence dans la cave. Le film s’achève sur une réflexion philosophique incongrue par rapport au reste, et j’ai trouvé ça ridicule, d’autant qu’il aurait pu y avoir un développement fort intéressant. Dommage. Un remake est annoncé pour cette année avec Eddie Murphy, autant dire qu'il n'en restera qu'une farce grotesque inutile.
8/20[/b]
on faisait queue devant la porte des WC comme au ciné lors du passage de l'Atlantide à l'écran. Jean Ray, Hôtel de Famille, 1922
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Re: Notez les films naphtas - Janvier 2010
Oui, il y a certes une tension avec l'araignée, mais 53 ans plus tard, l'effet ne peut plus être le même, sur tout ce qui concerne les effets ( qui sont habiles pour l'époque, mais visibles néanmoins ). J'aurais donc été plus tolérant avec un scénario un peu plus diversifié, qui serait revenu sur la lente transformation ( on n'en a que des petites parties, beaucoup d'ellipses ), le côté fantastique, voire philosophique ( amorcé in extremis ), plutôt que de s'éterniser sur le suspens/terreur ( même si les scènes marquantes avec le chat, l'araignée, et l'inondation sont réussies ). C'est donc un film de genre réussi, mais ce genre n'ayant pas ma faveur au demeurant...
Je n'ai pas lu le livre, donc je ne peux comparer, mais l'aspect psychologique y était peut-être plus présent, et les différentes scènes plus équilibrées rythmiquement.
Comme modèle de film un peu SF réussi de l'époque, j'avais en tête l'excellent "Le Jour où la terre s'arrêta", donc j'ai été déçu par celui-ci.
Voila.
Je n'ai pas lu le livre, donc je ne peux comparer, mais l'aspect psychologique y était peut-être plus présent, et les différentes scènes plus équilibrées rythmiquement.
Comme modèle de film un peu SF réussi de l'époque, j'avais en tête l'excellent "Le Jour où la terre s'arrêta", donc j'ai été déçu par celui-ci.
Voila.
- cinephage
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Re: Notez les films naphtas - Janvier 2010
Il y a tout de même, dans le film d'Arnold, une donnée qui n'existe pas dans le bouquin, qui traite le rétrécissement du héros par une espèce de perte de sexualité, ou de virilité, plutôt...
Ca fait longtemps que je ne l'ai pas revu, mais je crois me souvenir qu'il se retrouve avec des habits qui ne sont plus ceux d'un homme, d'enfant ou de femme, avant de se retrouver en tenue de poupée...
Il multiplie les substituts phalliques, et l'araignée devient comme une espèce de symbole de féminité dévorante (l'autre ennemi étant un chat, un autre animal ... Il faudrait que je le revoie, c'est un peu confus aujourd'hui, mais cet aspect m'avait frappé comme portant un regard intéressant (et sans doute discret, mais pas inexistant) sur l'homo americanus à l'époque d'Ike and Mamie...
Ca commence comme ça...

Puis ça continue comme ça...

Petit homme, grande femme...

Ici, il est avec son gros clou... Mais à un moment, c'est d'une épingle géante, ou un gros crayon qu'il se sert...Les dangers sont de l'ordre de la tapette ou du ciseau...
Enfin, bref, j'avais eu l'impression dépassait le seul premier degré de lecture. Mais j'aurais du mal à le défendre aujourd'hui, sans le revoir...
Ca fait longtemps que je ne l'ai pas revu, mais je crois me souvenir qu'il se retrouve avec des habits qui ne sont plus ceux d'un homme, d'enfant ou de femme, avant de se retrouver en tenue de poupée...
Il multiplie les substituts phalliques, et l'araignée devient comme une espèce de symbole de féminité dévorante (l'autre ennemi étant un chat, un autre animal ... Il faudrait que je le revoie, c'est un peu confus aujourd'hui, mais cet aspect m'avait frappé comme portant un regard intéressant (et sans doute discret, mais pas inexistant) sur l'homo americanus à l'époque d'Ike and Mamie...
Ca commence comme ça...

Puis ça continue comme ça...

Petit homme, grande femme...

Ici, il est avec son gros clou... Mais à un moment, c'est d'une épingle géante, ou un gros crayon qu'il se sert...Les dangers sont de l'ordre de la tapette ou du ciseau...
Enfin, bref, j'avais eu l'impression dépassait le seul premier degré de lecture. Mais j'aurais du mal à le défendre aujourd'hui, sans le revoir...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Notez les films naphtas - Janvier 2010
Non seulement "L'homme qui rétrécit" (vu lors de sa sortie, revu maintes fois, et encore récemment) n'a rien perdu de sa force, mais c'est toujours un des réels chefs-d'oeuvre de cette époque. La fin, non seulement n'a rien de ridicule, mais elle a une grandeur tout à fait inédite en son temps, qui surprit plus d'un critique. La fin idiote, que ne manqueraient pas de nous imposer certains studios américains actuels, dans leur désir de "faire familial" et de ne choquer personne, eût été de nous montrer Scott Carey miraculeusement guéri et de retour parmi les siens.
C'est donc un film au moins aussi réussi que "Le jour où la Terre s'arrêta", que "Des monstres attaquent la ville", ou que "Les survivants de l'infini".
Quant aux effets spéciaux, ils sont ingénieux et très réussis. Sauf un détail, que j'avais déjà remarqué en 1957. Lorsque le héros, s'échappant de la maison de poupée, et poursuivi par le chat, court vers la porte ouverte de la cave, il n'a pas d'ombre. De nos jours, avec les ordinateurs, ce genre de défaut n'a pas lieu d'exister. Mais cela démontre qu'en 1957, tout n'était pas possible en matière de truquages. Loin de diminuer le film, ca ne fait qu'en accentuer les mérites, en soulignant les difficultés technique de sa réalisation (tout comme, bien avant, le "King Kong" de Schoedsack & Cooper, "L'homme invisible" de Whale, "Les poupées du diable" de Browning, etc.)
C'est donc un film au moins aussi réussi que "Le jour où la Terre s'arrêta", que "Des monstres attaquent la ville", ou que "Les survivants de l'infini".
Quant aux effets spéciaux, ils sont ingénieux et très réussis. Sauf un détail, que j'avais déjà remarqué en 1957. Lorsque le héros, s'échappant de la maison de poupée, et poursuivi par le chat, court vers la porte ouverte de la cave, il n'a pas d'ombre. De nos jours, avec les ordinateurs, ce genre de défaut n'a pas lieu d'exister. Mais cela démontre qu'en 1957, tout n'était pas possible en matière de truquages. Loin de diminuer le film, ca ne fait qu'en accentuer les mérites, en soulignant les difficultés technique de sa réalisation (tout comme, bien avant, le "King Kong" de Schoedsack & Cooper, "L'homme invisible" de Whale, "Les poupées du diable" de Browning, etc.)
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Re: L'Homme qui retrécit (Jack Arnold, 1957)
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J'ai tellement lu de bouquins sur le cinéma SF que je crois avoir déjà tout lu sur ce classique du genre. Et il apparait si simple dans le fond comme dans la forme que je crains de verser dans la fade redite. Comme quoi, en matière de bavardage ciné, on devrait s'en tenir au ressenti. Oui, la douce vérité de sa subjectivité. On ne vous l'enlèvera jamais. A moins d'avoir la triste ambition de devenir un dictionnaire, mieux vaut se lover dans les plis de son nombril.
Alors, personnellement, j'ai passé un joli moment de cinéma, très bonbon sucré, ravi de voir ce monde si familier transfiguré par le gigantisme des décors. Les effets spéciaux sont ingénieux et plus que corrects pour l'époque. Ils parviennent à leur fin : embarquer les spectateurs pour un voyage inédit. C'est d'ailleurs tout l'enjeu et le sel du film qui résident dans l'acceptation par le public de cette miniaturisation du personnage. Les décors du quotidien américain tel que "l'American Way of Life" l'exige (réfrigérateur, poste tv, grille-pain, banlieue résidentielle) sont transformés de manière à placer la victime expiatoire sur une sorte d'autel sacrificiel pour le plus grand plaisir mêlé de perversité et d'angoisse du spectateur. La lente décomposition de l'univers de Grant Williams est une torture mentale et physique, le cauchemar ultime que réserve peut-être ce truc bizarre que les scientifiques manipulent dans le plus grand secret pour foutre la pâtée aux cocos : l'atome. A l'époque, la peur de la guerre nucléaire s'immisçait bien sûr jusque dans l'imaginaire collectif (elle va se gêner) et produisait ce genre de film où le pire à craindre se matérialise sous les yeux humides des amateurs de ciné. On se fait peur? Oui, oui, on adore ça. Il y a effectivement ce côté jouissif et ludique de pousser une idée au bout du bout, vers les contrées antipathiques des mauvais rêves.
Ce film s'amuse à poser des questions qui se résument à "et si?" Et s'il est tout petit, comment réagirait son chat? Et une araignée? Et quid de sa femme, leur relation résistera-t-elle? Comment le peut-elle? Et s'il continue ainsi à rapetisser, comment survivra-t-il dans un monde atomique? Et s'il est tout petit, à combien de mètres de sa télé doit-il se positionner pour regarder la victoire de Bordeaux sur le Paris-St-Germain? Toutes ces vertigineuses questions existentielles sont passionnantes mais le film ne peut répondre qu'à un petit nombre ; suffisamment cependant pour nous faire passer un bon moment, presque horrifique (l'araignée, beurk).
Une espèce d'épisode de Twilight zone qui dure 1h20. Succulent.

J'ai tellement lu de bouquins sur le cinéma SF que je crois avoir déjà tout lu sur ce classique du genre. Et il apparait si simple dans le fond comme dans la forme que je crains de verser dans la fade redite. Comme quoi, en matière de bavardage ciné, on devrait s'en tenir au ressenti. Oui, la douce vérité de sa subjectivité. On ne vous l'enlèvera jamais. A moins d'avoir la triste ambition de devenir un dictionnaire, mieux vaut se lover dans les plis de son nombril.
Alors, personnellement, j'ai passé un joli moment de cinéma, très bonbon sucré, ravi de voir ce monde si familier transfiguré par le gigantisme des décors. Les effets spéciaux sont ingénieux et plus que corrects pour l'époque. Ils parviennent à leur fin : embarquer les spectateurs pour un voyage inédit. C'est d'ailleurs tout l'enjeu et le sel du film qui résident dans l'acceptation par le public de cette miniaturisation du personnage. Les décors du quotidien américain tel que "l'American Way of Life" l'exige (réfrigérateur, poste tv, grille-pain, banlieue résidentielle) sont transformés de manière à placer la victime expiatoire sur une sorte d'autel sacrificiel pour le plus grand plaisir mêlé de perversité et d'angoisse du spectateur. La lente décomposition de l'univers de Grant Williams est une torture mentale et physique, le cauchemar ultime que réserve peut-être ce truc bizarre que les scientifiques manipulent dans le plus grand secret pour foutre la pâtée aux cocos : l'atome. A l'époque, la peur de la guerre nucléaire s'immisçait bien sûr jusque dans l'imaginaire collectif (elle va se gêner) et produisait ce genre de film où le pire à craindre se matérialise sous les yeux humides des amateurs de ciné. On se fait peur? Oui, oui, on adore ça. Il y a effectivement ce côté jouissif et ludique de pousser une idée au bout du bout, vers les contrées antipathiques des mauvais rêves.
Ce film s'amuse à poser des questions qui se résument à "et si?" Et s'il est tout petit, comment réagirait son chat? Et une araignée? Et quid de sa femme, leur relation résistera-t-elle? Comment le peut-elle? Et s'il continue ainsi à rapetisser, comment survivra-t-il dans un monde atomique? Et s'il est tout petit, à combien de mètres de sa télé doit-il se positionner pour regarder la victoire de Bordeaux sur le Paris-St-Germain? Toutes ces vertigineuses questions existentielles sont passionnantes mais le film ne peut répondre qu'à un petit nombre ; suffisamment cependant pour nous faire passer un bon moment, presque horrifique (l'araignée, beurk).
Une espèce d'épisode de Twilight zone qui dure 1h20. Succulent.
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Re: L'Homme qui rétrécit (Jack Arnold - 1957)
Une petite remontée de topic pour Rick 

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Re: L'Homme qui rétrécit (Jack Arnold - 1957)
Merci!Père Jules a écrit :Une petite remontée de topic pour Rick
Je viens justement de le voir hier soir, je suis emballé! Voilà un film de SF intelligent et remarquablement bien mené. Immédiatement, le film nous met en empathie avec le personnage principal dont on va suivre l'aventure, une empathie soutenue par plusieurs scènes émouvantes (notamment la rencontre avec la naine).
Cela soutient des scènes très impressionnantes visuellement et mises en scène avec beaucoup d'ingéniosité par Jack Arnold. Lorsque Scott Carey se retrouve enfermé dans la cave, nous voilà face à un film d'aventure en milieu domestique. Carey affronte des canyons, des falaises, des monstres grâce à la force de son intelligence, jusqu'à une fin surprenante et intrigante.
L'Homme qui rétrécit est extrêmement divertissant, 1h20 menées tambour battant, sans baisse de rythmes, inventant des situations étonnantes à chaque scènes et des effets visuels fonctionnant très bien.
Un excellent moment. Merci à ceux qui me l'ont recommandé, je vais poursuivre mon 'rattrapage' dans le week end.

- Père Jules
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Re: L'Homme qui rétrécit (Jack Arnold - 1957)
Ça se joue entre La Machine à Remonter le temps et Planète Interdite.Jeremy Fox a écrit :Planète Interdite maintenant ?

Je pense que je ne vais pas choisir et enchainer les deux ce soir!!
- Père Jules
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Re: L'Homme qui rétrécit (Jack Arnold - 1957)
Heureux homme...
Je regrette une seule chose: ne pas avoir été gamin quand j'ai découvert Forbidden Planet...
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- Jeremy Fox
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Re: L'Homme qui rétrécit (Jack Arnold - 1957)
Ben moi gamin, il m'avait ennuyé ; alors pas trop de regretPère Jules a écrit :Heureux homme...
Je regrette une seule chose: ne pas avoir été gamin quand j'ai découvert Forbidden Planet...
