two lovers a écrit :
Par hasard, auriez-vous acheté "Et la femme ... créa l'amour" (1964)...
Non. Désolé.
Pour les aficionados : j'ai revisionné Les Louves sur grand écran plat... tantôt zoomé, tantôt en mode "boîte aux lettres" (petite image entourée de noir). Je ne reviens pas sur ma comparaison avec "la VHS un peu fatiguée". Quant au striage horizontal, c'est uniquement pendant la séquence d'évasion nocturne au début.
Pour l'anecdote : le point de départ du film rappelle étonnamment le début de Reindeer Games / Piège fatal, de John Frankenheimer (2000). Les deux mecs en captivité, la correspondance avec la marraine, puis l'échange d'identité... Après, c'est différent (il n'y a pas de pères Noël qui attaquent un casino ).
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
two lovers a écrit :
Par hasard, auriez-vous acheté "Et la femme ... créa l'amour" (1964)...
Non. Désolé.
Pour les aficionados : j'ai revisionné Les Louves sur grand écran plat... tantôt zoomé, tantôt en mode "boîte aux lettres" (petite image entourée de noir). Je ne reviens pas sur ma comparaison avec "la VHS un peu fatiguée". Quant au striage horizontal, c'est uniquement pendant la séquence d'évasion nocturne au début.
Pour l'anecdote : le point de départ du film rappelle étonnamment le début de Reindeer Games / Piège fatal, de John Frankenheimer (2000). Les deux mecs en captivité, la correspondance avec la marraine, puis l'échange d'identité... Après, c'est différent (il n'y a pas de pères Noël qui attaquent un casino ).
Merci Commissaire pour votre réponse et vos compléments d'information.
Vu le peu d'acheteurs et donc de retour sur le DVD, je vais peut-être tenter ma chance pour "Et la femme ... créa l'amour" (1964) de Fabien COLLIN.
Quelqu'un aurait acheter Le Cavalier Lafleur et Le Cantinier de Le coloniale, Si oui comment sont-ils ? Merci. Sinon quelqu'un aurait une info sur les prochaines sorties ?
Commissaire Juve a écrit :
Bon ben, j'ai eu une petite rentrée d'argent récemment, j'ai commandé deux titres :
- Les Louves (1957)
- La Passante (1951)
La qualité a intérêt d'être au rendez-vous, sans quoi je risque fort de prendre ma retraite, moi aussi... mais en tant que client.
Reçu... vous voulez tout savoir ?
- Les Louves : bon à foutre à la poubelle (1.66 non anamorphique, probable repiquage de master VHS, striage horizontal sur quelques passages). C'est un film de 1957, hein, pas de 1927 ! Et j'ai quand même payé ça au prix d'un Blu-ray !
- La Passante : c'est bon... image lissée*, mais -- compte tenu que ce que j'ai vu sur "Les Louves" -- ça passe. Noir & blanc OK, bonne définition. Reste à savoir s'il y a des "mouvances".
* genre "musée Grévin"... Blu-ray Rimini.
Sur ce forum, nous sommes fréquemment très critiques vis-à-vis de certains films édités par René Château en pointant du doigt la piètre qualité technique de ces éditions et très souvent à juste titre. Mais lorsque Lobster Films édite en DVD le film Le disque 413 à partir d'une copie 16 mm rayée et avec de manques, il y a peu de critiques... Ne manquons-nous pas d'un peu d'équité dans nos jugements ? N'est-ce pas tout simplement parce que Serge Bromberg sait vendre son édition DVD en faisant vibrer notre corde de cinéphile avec des mots comme "film perdu", "négatif détruit" et "copie miraculeusement dénichée par l'équipe de Losbter Films" ?
Il y a sur le forum un socle d'acheteurs réguliers des sorties RC qui viennent faire leur retour ici, une sorte de micro communauté dédiée. C'est moins vrai pour Lobster. Je pense que c'est plus lié à ça, en tout cas pour ce qui se passe sur Classik.
rosay a écrit :... Mais lorsque Lobster Films édite en DVD le film Le disque 413 à partir d'une copie 16 mm rayée et avec de manques, il y a peu de critiques... Ne manquons-nous pas d'un peu d'équité dans nos jugements ?
Keuâââ ? Quel est ce mauvais procès ? J'ai toujours dit ce que j'avais à dire, Tantine ! Il se trouve simplement que j'achète peu de Lobster (pratiquement pas en fait... j'ai le coffret Clouzot + 4 titres de la collec "Bonbons des Vosges"... c'est tout). Alors que j'ai -- sauf oubli -- 316 René Chateau. Et ces derniers temps, techniquement parlant, ça part à vau-l'eau (deux achats sur trois -- quand ça n'est pas trois sur trois -- à la ramasse).
Avec les Gaumont à la demande, j'ai appris à mettre de l'eau dans mon vin. Mais ce n'est pas le même prix. Payer 18 euros pour des disques ni faits ni à faire (on n'est pas loin des 20 euros des nouveautés en Blu-ray), euh... j'aurais tendance à penser comme Charles-le-Téméraire :
Mais il me prend pour un pélican, pour Saint-Vincent-de-Paul, pour l'UNESCO, la vieille bourrique. Attends un peu !
Et la vieille bourrique, ça n'est pas Léontine. C'est René !
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Tout les éditeurs ont des casseroles mise à Part Pathé peut être mais l'essentiel est que nous puissions continué à découvrir de nouveaux titres et si possible dans les meilleures conditions.
Commissaire Juve a écrit :
Reçu... vous voulez tout savoir ?
- Les Louves : bon à foutre à la poubelle (1.66 non anamorphique, probable repiquage de master VHS, striage horizontal sur quelques passages). C'est un film de 1957, hein, pas de 1927 ! Et j'ai quand même payé ça au prix d'un Blu-ray !
- La Passante : c'est bon... image lissée*, mais -- compte tenu que ce que j'ai vu sur "Les Louves" -- ça passe. Noir & blanc OK, bonne définition. Reste à savoir s'il y a des "mouvances".
* genre "musée Grévin"... Blu-ray Rimini.
Sur ce forum, nous sommes fréquemment très critiques vis-à-vis de certains films édités par René Château en pointant du doigt la piètre qualité technique de ces éditions et très souvent à juste titre. Mais lorsque Lobster Films édite en DVD le film Le disque 413 à partir d'une copie 16 mm rayée et avec de manques, il y a peu de critiques... Ne manquons-nous pas d'un peu d'équité dans nos jugements ? N'est-ce pas tout simplement parce que Serge Bromberg sait vendre son édition DVD en faisant vibrer notre corde de cinéphile avec des mots comme "film perdu", "négatif détruit" et "copie miraculeusement dénichée par l'équipe de Losbter Films" ?
Ce n'est pas pour mettre de l'huile sur le feu mais En parlant d'édition à partir d'une 16 mm avec des manques , Accord final qui est de plus sous titré ce qui je crois n'est jamais arrivé ou presque . J'avoue être content malgré tout de sa sortie étant un admirateur inconditionnel de Berry.
Dernière modification par hammer le 13 oct. 18, 14:57, modifié 1 fois.
rosay a écrit :... Mais lorsque Lobster Films édite en DVD le film Le disque 413 à partir d'une copie 16 mm rayée et avec de manques, il y a peu de critiques... Ne manquons-nous pas d'un peu d'équité dans nos jugements ?
Keuâââ ? Quel est ce mauvais procès ? J'ai toujours dit ce que j'avais à dire, Tantine ! Il se trouve simplement que j'achète peu de Lobster (pratiquement pas en fait... j'ai le coffret Clouzot + 4 titres de la collec "Bonbons des Vosges"... c'est tout). Alors que j'ai -- sauf oubli -- 316 René Chateau. Et ces derniers temps, techniquement parlant, ça part à vau-l'eau (deux achats sur trois -- quand ça n'est pas trois sur trois -- à la ramasse).
Avec les Gaumont à la demande, j'ai appris à mettre de l'eau dans mon vin. Mais ce n'est pas le même prix. Payer 18 euros pour des disques ni faits ni à faire (on n'est pas loin des 20 euros des nouveautés en Blu-ray), euh... j'aurais tendance à penser comme Charles-le-Téméraire :
Mais il me prend pour un pélican, pour Saint-Vincent-de-Paul, pour l'UNESCO, la vieille bourrique. Attends un peu !
Et la vieille bourrique, ça n'est pas Léontine. C'est René !
Mon cher Commissaire,
Ce n'est pas un mauvais procès, ni une attaque personnelle. Si vous relisez ma publication, j'utilise le "nous" collectif et je m'inclus dedans.
Il y a plus de vingt ans, vous et moi avons connu les films édités en VHS à partir de copies 16mm non nettoyées et nous étions tous deux contents de découvrir des films jusqu'alors invisibles. L'arrivée du DVD puis du BR a relevé notre niveau d'exigence. Vos retours sur les DVD de René Château, que vous avez achetés, sont très utiles à tous et permettent d'éviter certains achats et de nous contenter du transfert, fait à partir de la VHS achetée des années auparavant.
J'exprimais juste une sensation de grande indulgence de notre part à tous vis-à-vis de Lobster Films grâce sans doute au talent de bonimenteur de Serge Bromberg...
Par ailleurs, avez-vous remarqué que les films édités en DVD par René Château ne sont presque jamais inclus dans le calendrier des sorties ?
rosay a écrit :... j'utilise le "nous" collectif et je m'inclus dedans.
Alors, ça va.
J'exprimais juste une sensation de grande indulgence de notre part à tous vis-à-vis de Lobster Films grâce sans doute au talent de bonimenteur de Serge Bromberg...
C'est vrai.
Personnellement, je trouve Bromberg sympathique. Même sa voix est plaisante... Quant à Emile (-du-Homard), il fait son boulot, il relaye les infos, mais je n'ai jamais eu l'impression d'être harcelé (d'avoir affaire au vrai bonimenteur* qui vient nous crier dans les oreilles...)
* d'ailleurs le mot m'évoque le film Jusqu'au dernier (Pierre Billon, 1957) où Raymond Pellegrin prend justement une leçon de "boniment".
Par ailleurs, avez-vous remarqué que les films édités en DVD par René Château ne sont presque jamais inclus dans le calendrier des sorties ?
Ça... René n'a jamais eu la carte. Mais il a son topic "dédié". J'imagine que c'est pour éviter de faire un doublon.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
hammer a écrit :Prochaines sorties, Farandole 1944/ la femme en rouge 1946/ l homme aux mains d argile 1949/la famille cucuroux 1953/sur le plancher des vaches.
Je prendrai le Ducis avec Noël-Noël La Femme en Rouge m'intrigue et me tente...
Content de voir que René continue son activité d'éditeur^^
Pour ma part Farandole est celui que je prendrai en premier( scénario et dialogue de Jeanson) c'est certes un film à Sketches mais quelle distribution !! Les autres il me semble ont été déjà édité en VHS mais j'en suis pas certain.
Dernière modification par hammer le 13 oct. 18, 20:08, modifié 1 fois.
Commissaire Juve a écrit :
Keuâââ ? Quel est ce mauvais procès ? J'ai toujours dit ce que j'avais à dire, Tantine ! Il se trouve simplement que j'achète peu de Lobster (pratiquement pas en fait... j'ai le coffret Clouzot + 4 titres de la collec "Bonbons des Vosges"... c'est tout). Alors que j'ai -- sauf oubli -- 316 René Chateau. Et ces derniers temps, techniquement parlant, ça part à vau-l'eau (deux achats sur trois -- quand ça n'est pas trois sur trois -- à la ramasse).
Avec les Gaumont à la demande, j'ai appris à mettre de l'eau dans mon vin. Mais ce n'est pas le même prix. Payer 18 euros pour des disques ni faits ni à faire (on n'est pas loin des 20 euros des nouveautés en Blu-ray), euh... j'aurais tendance à penser comme Charles-le-Téméraire :
Et la vieille bourrique, ça n'est pas Léontine. C'est René !
Mon cher Commissaire,
Ce n'est pas un mauvais procès, ni une attaque personnelle. Si vous relisez ma publication, j'utilise le "nous" collectif et je m'inclus dedans.
Il y a plus de vingt ans, vous et moi avons connu les films édités en VHS à partir de copies 16mm non nettoyées et nous étions tous deux contents de découvrir des films jusqu'alors invisibles. L'arrivée du DVD puis du BR a relevé notre niveau d'exigence. Vos retours sur les DVD de René Château, que vous avez achetés, sont très utiles à tous et permettent d'éviter certains achats et de nous contenter du transfert, fait à partir de la VHS achetée des années auparavant.
J'exprimais juste une sensation de grande indulgence de notre part à tous vis-à-vis de Lobster Films grâce sans doute au talent de bonimenteur de Serge Bromberg...
Par ailleurs, avez-vous remarqué que les films édités en DVD par René Château ne sont presque jamais inclus dans le calendrier des sorties ?
Il faut dire que repérer les nouveautés RC est un casse tête, au moins Lobster a le mérite de communiquer un minimum.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky