Les DVD Artus films

Rubrique consacrée aux DVD de films tournés avant 1980.

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hellrick
David O. Selznick
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Re: Artus films - un nouvel editeur

Message par hellrick »

BONNES FUNERAILLES AMIS, SARTANA PAIERA

Quatrième épisode officiel de la pentalogie consacrée au joueur / chasseur de primes Sartana, toujours incarné par Gianni Garko, BONNES FUNERAILLES AMIS, SARTANA PAIERA développe une intrigue tarabiscotée à souhait dans la tradition du western à l’italienne. En résumé, nul ne joue franc jeu et chacun se trahit dans la joie et la bonne humeur avant une ultime confrontation où Sartana devra jouer du révolver et des poings.

Tout débute par la mort d’un prospecteur d’or, Benson, tombé sur un filon important. Cette découverte ne lui porte guère chance puisqu’il est abattu par des bandits, eux-mêmes rapidement tués par Sartana, le vengeur tout de noir vêtu. Mais Sartana souhaite découvrir le commanditaire du meurtre aussi se rend-il dans la petite ville d’Indian Creek où il offre à la séduisante nièce de l’assassiné, Abigail, la possibilité de racheter le terrain aurifère du défunt. Bien sûr, la possibilité d’un enrichissement facile et rapide attise les convoitises, notamment du banquier corrompu Hoffman et du tenancier de casino Lee Tse Tung qui offrent tous deux une forte somme à Abigail afin d’acquérir son terrain. Sartana, de son côté, fait monter les enchères et supprime les importuns…

Personnage emblématique du western spaghetti, Sartana reste toujours ce pistolero plein d’humour qui agit en véritable fossoyeur (le titre du premier volet était, d’ailleurs, LE FOSSOYEUR) et débarrasse une ville de ses crapules dont il prend cependant soin de payer les funérailles et « sans lésiner sur les fleurs ! ». D’où des passages humoristiques certes attendus mais néanmoins efficaces comme ces tueurs qui surgissent de leur cercueil afin d’abattre Sartana, lequel les envoie rapidement au trépas…et dans leur boite en bois !

Maniant les cartes à jouer avec l’adresse meurtrière du Bullseye des comics Marvel, Sartana, tel son quasi homonyme Sabata, aime également les gadgets et joue volontiers du petit pistolet à quatre canons tandis que son adversaire use, pour sa part, d’un pistolet dissimulé dans un livre de comptabilité. Son vis-à-vis chinois, forcément, se révèle au final un redoutable adepte des arts martiaux qui délaisse ses manières souffreteuses pour défier l’Homme en noir avec énergie.
Les motivations de Sartana restent cependant floues : chasseur de primes appâté par le gain ou véritable justicier désintéressé ? A moins qu’il ne soit un être surnaturel comme en témoigne sa première apparition où il semble craché par les flammes de l’enfer ? Son incroyable don d’ubiquité nous vaut en outre des séquences typiquement italiennes au cours desquelles un salopard qui tente d’échapper à Sartana fuit en courant et se réfugie dans une église dont il referme la porte…pour s’apercevoir que le « fossoyeur » est déjà inexplicablement présent, l’arme à la main. Plus fort que Jason ou Michael Meyers, voilà Sartana !

Soutenu par une musique emphatique et appropriée du talentueux Bruno Nicolai, BONNES FUNERAILLES AMIS, SARTANA PAIERA constitue donc une agréable réussite adroitement mis en scène par un Giuliano Carmineo (alias Anthony Ascot) évitant de recourir aux effets éculés du western. A la photographie, le futur réalisateur Stelvio Massi (alias Max Steel) soigne le visuel et propose quelques cadrages bien pensées et originaux qui confèrent une indéniable plus-value à ce très sympathique western.
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Re: Artus films - un nouvel editeur

Message par hellrick »

LE JOUR DE LA HAINE

Co-écrit par les spécialistes du bis italien Ernesto Gastaldi et Luciano Martino (auxquels s’ajoute son frère non crédité, Sergio Martino), LE JOUR DE LA HAINE reste une des œuvres les plus notables du cinéaste débutant Giovanni Fago, auteur deux ans plus tard de l’étrange O CANGAÇEIRO avec Tomas Milian puis de nombreuses séries télévisées.

Typique de l’école italienne qui s’appuie davantage sur des récits dramatiques aux inspirations mythologiques que sur d’authentiques pages de l’histoire américaine, LE JOUR DE LA HAINE s’éloigne du vérisme hollywoodien (certes très relatif) pour privilégier une pure tragédie entre deux frères que tout oppose. Le cinéaste aboutit ainsi à une relecture d’Abel et Caïn dans un Far West fantasmé.

Le chasseur de primes Johnny Forrest a passé dix ans en prison pour un parricide qu’il n’a pas commis puisque le véritable auteur du meurtre était son demi-frère, le colérique et jaloux Clint. Aujourd’hui, Johnny souhaite se venger mais promet à sa mère agonisante d’amener Clint vivant devant la justice pour qu’il réponde de ses crimes.

Situé durant la Guerre Civile Américaine qui sert de toile de fond à cette sombre histoire de vengeance, LE JOUR DE LA HAINE s’appuie sur les performances impeccables de Gianni Garko et Claudio Camaso qui incarnent avec beaucoup de talent les deux frangins engagés dans une haine mortelle.
Garko, bien connu des amateurs de westerns pour son rôle de Sartana, campe ici un chasseur de primes revanchard décidé à conduire son demi-frère (qui le traite sans cesse de bâtard) devant la justice. Ce frangin est, pour sa part, interprété par Claudio Camaso, alias Claudio Volonté (frère de Gian Maria) vu dans BAIE SANGLANTE et décédé par suicide en 1977 alors qu’il était emprisonné pour le meurtre d’un électricien, tué lors d’une bagarre.

A ce casting de qualité s’ajoute la musique de Nora Orlandi qui soutient efficacement l’action et confère une plus-value indéniable au long-métrage. Le scénario s’avère pour sa part bien écrit en dépit de quelques longueurs, notamment une scène interminable qui montre Garko, crucifié la tête, essayer de se délivrer avec l’aide de sa maitresse mortellement blessée.

La mise en scène, elle, reste correcte mais n’innove guère et les invraisemblances, assez nombreuses, tempèrent malheureusement l’enthousiasme, le film semblant manquer quelque peu de finitions. Des scènes de flashback incongrus, pas vraiment explicités et à l’inutilité flagrante ponctuent en outre le film d’intermèdes romantiques dont l’unique but semble de rallonger le temps de projection pour atteindre la durée réglementaire.

Toutefois, LE JOUR DE LA HAINE se révèle divertissant et suffisamment bien mené pour s’élever un peu au-dessus d’une honnête (mais routinière) moyenne. Les inconditionnels du western spaghetti seront ravis, les autres peuvent se tourner vers des productions plus prestigieuses ou tenter ce titre certes mineur mais point déplaisant.
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Helena
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Re: Artus films - un nouvel editeur

Message par Helena »

Oui, oui, ooooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

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Et voilà, dispo début juin. Certainement en exclusivité au Bloody Weekend fin mai.

LES AMANTS D'OUTRE TOMBE CHEF D'OEUVRE ^-^
Coffret digipack avec livre 64 pages "20 ans de cinéma Gothique italien"
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Suppléments : Alain Petit, Mario Caiano, Paul Muller...

SUPERARGO CONTRE DIABOLIKUS
Digipack - VF + VOST
Suppléments : Curd Ridel, Ferruccio Castronuovo...

KRIMINAL
Digipack - VF + VOST
Suppléments : Umberto Lenzi, David Didelot...

LE RETOUR DE KRIMINAL
Digipack - VF + VOST
Suppléments : Curd Ridel...

C'est pas beau, tout ça ???
Des oeuvres cultes, un chef d'oeuvre, je suis contente. ^_^
"Esotika, Erotika, Psicotika."
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Re: Artus films

Message par Julien Léonard »

Au passage, pour ceux/celles qui chercheraient à se procurer La sorcière sanglante (Antonio Margheriti, 1964), avec l'inoubliable Barbara Steele, et cela à prix décent, Artus a encore 4 exemplaires en stock, pas un de plus (info reçue de l'éditeur il y a quelques minutes). Dispo sur le site de la Fnac pour un prix raisonnable : 14,90€ (en marketplace, vendeur : Artus lui-même).

http://video.fnac.com/Dawson-la-sorcier ... irect#neuf

Je rappelle qu'on ne le trouve plus que d'occasion sur Amazon (à 60€ !) ou sur Priceminister (un exemplaire neuf sous blister à plus de 200€... n'importe quoi).

Bref, titre épuisé en vue (jolie édition collector en plus), n'hésitez pas. :)
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Shin Cyberlapinou
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Re: Artus films

Message par Shin Cyberlapinou »

Début des soldes de Noël sur le site! Pas mal de trucs bundles sympathiques, dommage que j'aie déjà pas mal picoré ces derniers mois...
Monnezza
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Re: Artus films

Message par Monnezza »

Le facebook de l'éditeur, relayé par devildead, annonce les 2 premiers titres pour 2015 :

- Opération Goldman / Operazione Goldman de Antonio Margheriti : pas vu, peut-être s'agit-il de la tant attendue adaptation ciné de Génération Goldman :|
- Terreur / La Settima Donna de Franco Prosperi : vu il y a des années en VHS, je n'en garde pas un souvenir fou mais je le redécouvrirai avec plaisir. En tout cas, pour les amateurs, il s'agit d'un rape and revenge avec Ray Lovelock et Florinda Bolkan, qui contient quelques scènes plutôt corsées.
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Re: Artus films

Message par hellrick »

Monnezza a écrit : - Terreur / La Settima Donna de Franco Prosperi : vu il y a des années en VHS, je n'en garde pas un souvenir fou mais je le redécouvrirai avec plaisir. En tout cas, pour les amateurs, il s'agit d'un rape and revenge avec Ray Lovelock et Florinda Bolkan, qui contient quelques scènes plutôt corsées.
Ca reste assez soft en fait pour ce genre de film, les Italiens nous ont habitués à bien plus pervers. Et c'est disons moyen. David Didelot de Videotopsie fera un bonus sur le rape and revenge à l'italienne, j'espère que d'autres titres de ce genre seront édités, notamment le sympa Terror Express. :wink:

A noter de grosses promos de Noel sur tout le catalogue d'Artus pour ceux qui ne les ont pas tous :wink:
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Re: Artus films

Message par Monnezza »

Terror Express, j'en garde pas un souvenir formidable non plus.
En ce qui concerne Terreur, je suis d'accord qu'il y a eu pire, encore que ça fait très longtemps que je n'ai pas vu ou revu de films du genre. Mais je me souviens de 2 scènes (l'une impliquant un fer à repasser, l'autre un manche à balai) assez brutales. Bonne interprétation de Ray Lovelock aussi, ordure de la pire espèce derrière un visage angélique.
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Kevin95
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Re: Artus films

Message par Kevin95 »

Monnezza a écrit :Le facebook de l'éditeur, relayé par devildead, annonce les 2 premiers titres pour 2015 :

- Opération Goldman / Operazione Goldman de Antonio Margheriti : pas vu, peut-être s'agit-il de la tant attendue adaptation ciné de Génération Goldman :|
- Terreur / La Settima Donna de Franco Prosperi : vu il y a des années en VHS, je n'en garde pas un souvenir fou mais je le redécouvrirai avec plaisir. En tout cas, pour les amateurs, il s'agit d'un rape and revenge avec Ray Lovelock et Florinda Bolkan, qui contient quelques scènes plutôt corsées.
J'adore le titre français de La settima donna adopté par Artus, pas du tout référentiel (La Dernière Maison sur la plage). Sinon, dommage que la promo ne concerne pas les titres à l'unité (pour les malheureux qui ont un ou deux titres de chaque collection).
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Re: Artus films

Message par Monnezza »

je crois qu'il s'agit de la traduction du titre vidéo lorsque le film est sorti aux Etats-Unis.
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Kevin95
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Re: Artus films

Message par Kevin95 »

Monnezza a écrit :je crois qu'il s'agit de la traduction du titre vidéo lorsque le film est sorti aux Etats-Unis.
Oui oui, je viens de voir ça sur le net (dans le même genre, il y a le titre de l'excellent La Maison au fond du parc qui lui est son titre "original"). :mrgreen:
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Re: Artus films

Message par hellrick »

OPERATION GOLDMAN

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Dans la seconde moitié des sixties, la « bondmania » bat son plein et les imitations (plus ou moins réussies…souvent moins évidemment) du plus célèbres des agents secrets se multiplient. Les Italiens se manifestent immédiatement et de nombreuses productions, dénommées de manière un peu condescendante « espionite » (ou de façon plus neutre « eurospy ») apparaissent sur les écrans. Parmi celles-ci, OPERATION GOLDMAN se distingue en axant davantage son intrigue sur la science-fiction. Le cinéaste Antonio Margheriti, on le sait, apprécie le genre ainsi que les effets spéciaux amoureusement bricolés et, après une aventure de l’agent 077 Bob Fleming (sic !), il se lance dans un récit plus ouvertement « pulp ». L’intrigue, typique, s’intéresse pour sa part à des fusées spatiales sabotées. Un riche espion, Harry Sennet, est chargé d’enquêter et de découvrir à qui profite le crime. Il mettra à jour le plan redoutable d’un mégalomane.

Très classique, du moins dans sa première partie, le scénario laisse la part belle aux scènes d’action même si ces dernières manquent parfois d’ampleur. Margheriti aime les maquettes et en fait ainsi un usage immodéré, des miniatures parfois réussies, souvent moyennes, qui trahissent leur vraie nature de modèles réduits sans que cela soit particulièrement gênant : à tout prendre une belle maquette tendrement confectionnée reste préférable à une moche image de synthèse.
Anthony Eisley, de son côté, se montre assez peu convaincant. Il dispose cependant de l’attirail habituel de l’agent secret : quelques gadgets vintage, un charme ravageur, un humour volontiers empreint de sous-entendus sexuels et, surtout, un gros chéquier puisque sa principale qualité semble être la somme d’argent dont il dispose. D’où, probablement, ce titre de « Goldman » (ou l’encore plus explicite « Cashman » selon les versions). Il accompagne sa chef, Patricia Flanagan, désignée comme une experte en combat rapproché et en arts martiaux. Mais le machisme reste sauf : on ne verra jamais la demoiselle se battre et ce sera à Harry Sennet de la sauver à plusieurs reprises. Evidemment, comme son homologue britannique, l’espion croise la route d’une poignée de beautés joliment mises en valeur.

Débuté de manière humoristique mais traditionnelle, OPERATION GOLDMAN se fait plus délirant dans une seconde partie qui semble avoir focalisé davantage l’attention du cinéaste et dilapidé la majorité du budget disponible. Ce qui apparaissait comme un « simple » plan pour détruire quelques fusées se révèle alors bien plus important et global, le vilain visant en réalité la domination mondiale à l’aide d’un immense canon laser lunaire. Margheriti se fait manifestement plaisir et joue des clichés de la science-fiction « pulp », notamment lorsqu’il dévoile les alliés involontaires du savant fou : une bande de scientifiques cryogénisés et « réveillés » lorsque le besoin s’en fait sentir. Bien sûr, tout cela finira classiquement : l’espion fera triompher le monde libre, supprimera le méchant et détruira sa base sous-marine pourtant gardée par des similis ninjas tout droit échappés d’un fumetti.

Divertissant et sans prétention, OPERATION GOLDMAN assume ses influences et ne cherche pas à révolutionner le genre : le cinéaste italien livre clairement un décalque des James Bond de la même époque (l’intrigue mixe joyeusement DOCTEUR NO, GOLDFINGER et OPERATION TONNERRE) mais le tout reste digeste et globalement amusant. Pas un chef d’œuvre, loin de là, mais un bon moment pour les nostalgiques.
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Monnezza
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Re: Artus films

Message par Monnezza »

Après Terreur et Opération Goldman, Artus annonce ses prochaines sorties :
Suite du planning 2015
Avril (début mars sur notre site)
- L'espion qui venait du surgelé, de Mario Bava. Collection Ciné Fumetti. Digipack double DVD.
- Le grand défi. Collection Péplum. Avec la VF d'origine !
Mai (début avril sur notre site)
- Big racket (Collection Polar)
- Mort ou vif... de préférence mort (Collection Western européen)
La suite très bientôt...
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Rick Blaine
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Re: Artus films

Message par Rick Blaine »

Monnezza a écrit : - L'espion qui venait du surgelé, de Mario Bava.
:lol:

Je ne connais absolument pas le film, mais le titre français vaut le coup!
Frank 'Spig' Wead
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Re: Artus films

Message par Frank 'Spig' Wead »

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