Dvdclassik : cinéma et DVD

Nicolas Mag a écrit :breakfast club n'est pas potache selon moi, à vrai dire je deteste les films potaches, j'ai bien essayé d'en trouver un que j'aime mais j'arrive pas (j'avais pensé à borat mais c'est même pas potache)

Je suis d'accord... Même Ferris Bueller's Day Off (1986), je ne trouve pas ça potache...

Il n'y a plus de comédies intelligentes façon Ferris Bueller ou encore Breakfast Club laissant un regard doux amer sur la jeunesse, aujourd'hui comédie ado signifie comédie potache justement.

The_Thing a écrit :Il n'y a plus de comédies intelligentes façon Ferris Bueller ou encore Breakfast Club laissant un regard doux amer sur la jeunesse, aujourd'hui comédie ado signifie comédie potache justement.

Un film comme Superbad me semble au contraire tout à fait en phase avec la jeunesse actuelle et, derrière ses airs de comédie vulgaire, dégage, à mon sens, beaucoup d'honnêteté et un regard plutôt intelligent sur ces adolescents.

Tout à fait d'accord, j'ai hésité à le placer dans les comédies potaches mais le ton général du film contenait quelque chose se rapprochant des comédies façon John Hugues j'ai complètement zappé ce film vu qu'il a le derrière entre deux chaises.

J'aime pas trop le genre mais bon je dirais Porky's 2 (vu il y a 20 ans et plus jamais depuis)

Et ça mais je sais pas si ça entre vraiment dans la catégorie (les 6 premiers surement le reste )

- Profs
- Les Sous-doués
- Police Academy
- Revenge of the Nerds
- Back to School (a fond la fac)
- Profession Genié

- Je ne sais rien mais je dirais tout
- 13 Morts et demi
- Marie à tout prix
- Les Secret professionnels du Dr Apflegluck
- Une créature de rêve
- Ferris Bueler
- Le secret de mon succès

m'ont fait rire ou sourire en leur temps (sinon je supporte pas Dumb and dumber )

The_Thing a écrit :Il n'y a plus de comédies intelligentes façon Ferris Bueller ou encore Breakfast Club laissant un regard doux amer sur la jeunesse, aujourd'hui comédie ado signifie comédie potache justement.

Ouais...c'était mieux avant, quoi...
*rengaine connue*

eurotrip

Colqhoun a écrit :

The_Thing a écrit :Il n'y a plus de comédies intelligentes façon Ferris Bueller ou encore Breakfast Club laissant un regard doux amer sur la jeunesse, aujourd'hui comédie ado signifie comédie potache justement.

Un film comme Superbad me semble au contraire tout à fait en phase avec la jeunesse actuelle

Pour moi superbad est un mix dont on ne peut pas renié (malheureusement) sa filiation avec american pie (d'ailleurs le 1er est nettement moins potache que les autres)

Ratatouille a écrit :

The_Thing a écrit :Il n'y a plus de comédies intelligentes façon Ferris Bueller ou encore Breakfast Club laissant un regard doux amer sur la jeunesse, aujourd'hui comédie ado signifie comédie potache justement.

Ouais...c'était mieux avant, quoi...
*rengaine connue*

Trouve-moi des comédies pour ados actuelles qui arrivent à la cheville de ces deux là...
Aujourd'hui pour faire rire un ado, il faut etre vulgaire.

ça existe faut aller dans le cinema americain indépendant alors que les comedies de john hughes ne le sont pas
y a pas de nostalgie par rapport au passé (la preuve est cité en Porkys) c'est plus par rapport à john hughes

Frank Bannister a écrit :Trouve-moi des comédies pour ados actuelles qui arrivent à la cheville de ces deux là...
Aujourd'hui pour faire rire un ado, il faut etre vulgaire.

La vulgarité peut très bien n'être qu'une façade derrière un propos bien plus intelligent.
Et Breakfast Club, pour ma part, je ne comprend pas le buzz qui l'entoure. Je trouve le film trop mécanique, trop rapide dans l'évolution des personnages et du coup je n'arrive pas à y croire. D'accord, ça reste un joli film, bien interprété, mais à aucun moment je ne réussi à croire que ces ados passent par autant d'états d'âme en une matinée. Ce n'est pas crédible une seule seconde.

Colqhoun a écrit :
Breakfast Club, pour ma part, je ne comprend pas le buzz qui l'entoure. Je trouve le film trop mécanique, trop rapide dans l'évolution des personnages et du coup je n'arrive pas à y croire. D'accord, ça reste un joli film, bien interprété, mais à aucun moment je ne réussi à croire que ces ados passent par autant d'états d'âme en une matinée. Ce n'est pas crédible une seule seconde.

Je t'approuve pour l'avoir revu il y a quelques semaines...alors que j'avais vraiment apprécié à l'époque là je me suis dit, c'est pas possible que des ados changent autant en quelques heures...c'est un peu comme si on résumait tout leur parcours scolaire en une journée...celà dit j'avais quand même bien aimé cette revision...Mais je ne trouve pas vraiment qu'il s'agisse d'une comédie...dans le même style j'ai l'impression que tout le monde a pas mal oublié PUMP THE VOLUME qui, à mon avis, souffre aussi du même problème toutefois: le final est totalement non crédible...

Niveau comédie bien conne et à se fendre la poire en même temps il y a le fameux Moving Violations, par les producteurs du premier Police Academy, on rit pas mal devant la bande de joyeux fumistes obligés de repasser leur permis de conduire suite à de nombreuses infraction au code de la route. On y retrouve dans le premier rôle le frangin de Bill Murray John Murray et la débutante Jennifer tilly. Un film par moment à se décrocher les mâchoires même si ça ne vole pas bien haut le film à le mérite d'être campy et ne se prends certainement pas au sérieux.

Vu hier Le Palace en délire, réalisé par Neil Israel qui a scénarisé entre autres le premier Police Academy.
Ca raconte l'histoire d'une bande de couillons qui décide d'offrir un enterrement de vie de garçon digne de ce nom à leur bon copain, qui est un peu à sa manière le chef des couillons.
C'est loufoque, cocasse et ça se regarde gentiment. Et c'est rock ! Les vieux, les squareheads, les richards, tout le monde en prend pour son grade. Tout le monde il est dingo ! En filigrane (enfin, en hologramme plutôt) apparaît le message de cette bonne vieille Amérique retorse : "amusez-vous les jeunes ! demain vous serez tous notaires". Il faut donc prendre ce gros délire pour ce qu'il est : un film fait par des notaires à l'adresse des notaires de demain. La cravate est sur les cheveux mais dès huit heures elle aura repris sa place. C'est un avatar du comique troupier de naguère, ou de celui des anciens agitateurs devenus magnats de la presse d'aujourd'hui.
Les plus : des répliques salées, des situations parfois osées (même si tout est hors champ), des dialogues rigolos et des acteurs pleins d'entrain.
Les moins : une réalisation fonctionnelle, une absence quasi-totale de scénario, des gags tellement surjoués qu'ils en deviennent épuisants et un conformisme gênant pour qui a vu n'importe quelle "grande" comédie américaine, je ne vous ferai pas l'injure de citer de noms.
En résumé, pour l'amateur (et ils sont nombreux) : c'est plus équilibré que "American Collège" mais il y manque le génie de l'acteur principal ; c'est moins astringent que "Ferris Bueller" mais c'est aussi plus terne ; c'est plus rigolo que "Génération perdue", mais moins sanguinolent ; quant à Porky's, la matrice supposée de ce Palace et des teenage movies salaces, je ne l'ai pas vu.

Jean-Pierre Festina a écrit : ↑24 avr. 21, 09:31 Porky's, la matrice supposée de ce Palace et des teenage movies salaces, je ne l'ai pas vu.

Très peu de souvenirs du premier et aucun du 3ème mais beaucoup d'éclats de rire avec le 2ème beaucoup plus déjanté et moins salace d'ailleurs ("vous êtes le troupeau, je suis le berger")