Publié : 31 juil. 04, 19:10
Le premier encore et toujours. Au regard des standards d'action des blockbusters d'aujourd'hui, le film peut paraître antinomique avec ces derniers voire anachronique, mais c'est à mon avis tout ce qui en fait le charme. Le scénario prend le temps de poser l'histoire, ça fermente, ça se développe, il y a peu d'ellipses et l'on s'attache de plus en plus à ce qui n'est pas encore Clark Kent, mais dès là naissance pourtant Superman.
L'arrivée du Clark Kent gauche et timide, puis sa transformation en super-héros sont des instantanés de plaisir ludique : ça décolle et dès lors que le costume rouge et bleu apparaît ça devient du bonheur en barre. Les effets spéciaux ont pris un coup de vieux, c'est évident, mais ils gardent une certaine naïveté qui n'est pas pour me déplaire, puisque corollaire à l'attitude et aux gestes de Clark Kent. La dualité de cet anti-héros qui doit faire face à la réalité de son quotidien est à se titre fascinante: journaliste le jour, bombardé de missives par son pingre de rédacteur en chef, et super-héros icônique, transcendé lorsqu'il revêt son costume, sauvant la veuve et l'orphelin et virevoltant dans les airs avec une grande agilité, tout en sachant qu'il ne peut pas aimer celle qu'il côtoie tous les jours sans pouvoir lui avouer qui il est, est traité de façon crédible et poétique.
C'est un film que j'aime toujours autant, le plus complet, le plus abouti et l'un des plus spectaculaires film de super-héros, même si Batman 2 n'est pas loin.
La séquence du barrage fracturé par les trombes d'eaux, la mort de Loïs dans le tremblement de Terre, la colère de Superman revenant sur la chronologie et inversant le temps, l'acarîatre Lex Luthor sont des images scellées dans mon esprit.
Le deux est correct, le 3 déjà parodique en s'assumant tel quel, le 4ième un pur nanar.
L'arrivée du Clark Kent gauche et timide, puis sa transformation en super-héros sont des instantanés de plaisir ludique : ça décolle et dès lors que le costume rouge et bleu apparaît ça devient du bonheur en barre. Les effets spéciaux ont pris un coup de vieux, c'est évident, mais ils gardent une certaine naïveté qui n'est pas pour me déplaire, puisque corollaire à l'attitude et aux gestes de Clark Kent. La dualité de cet anti-héros qui doit faire face à la réalité de son quotidien est à se titre fascinante: journaliste le jour, bombardé de missives par son pingre de rédacteur en chef, et super-héros icônique, transcendé lorsqu'il revêt son costume, sauvant la veuve et l'orphelin et virevoltant dans les airs avec une grande agilité, tout en sachant qu'il ne peut pas aimer celle qu'il côtoie tous les jours sans pouvoir lui avouer qui il est, est traité de façon crédible et poétique.
C'est un film que j'aime toujours autant, le plus complet, le plus abouti et l'un des plus spectaculaires film de super-héros, même si Batman 2 n'est pas loin.
La séquence du barrage fracturé par les trombes d'eaux, la mort de Loïs dans le tremblement de Terre, la colère de Superman revenant sur la chronologie et inversant le temps, l'acarîatre Lex Luthor sont des images scellées dans mon esprit.
Le deux est correct, le 3 déjà parodique en s'assumant tel quel, le 4ième un pur nanar.