Bruce Lee (1940-1973)
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Bruce Lee (1940-1973)
Je pense que nous n'avons pas encore parler de cet acteur et par extension du cinéma d'arts martiaux des années 60-70. Bruce Lee est l'une de ses personnalités qui m'a fasciné depuis la vision de La fureur du dragon à douze ans. Une telle présence à l'écran, une telle gestuelle, une telle force.
Né en 1940, Bruce Lee, surnommé Le petit Dragon a eu une formation de base en kung fu dispensée par un maître du nom de Yim Pam. Après des tournois de karaté ( dont un qui fut organisé par Ed Parker, connut pour être un des pères du karaté américain) puis quelques séries ( dont le Frelon Vert), il a developpé l'art du jet kun do. Le premier film qui le met en avant, comme personnage principal est de The Big Boss de Lo Wei. Une histoire hyper banale, mais des combats déjà forts, et un magnétisme tout à fait stupéfiant.
Ont suivi Fist of Fury( 1972), La Fureur du Dragon ( 1972) qui le voit combattre Chuck Norris dans la séquence de fin du colisée, restée anthologique. Un côté western dans les zooms de cette séquence, les combats millimétrés en font un des meilleurs. Opération Dragon sort en 1973, et demeure une des oeuvres maîtresse d'une filmographie qui compte peu de films ( avec la scène des miroirs à la fin) C'est sur le tournage du Jeu de la mort, que disparaît l'idole du kung-fu dans des conditions très bizarres.
La légende est née.
Pour les précisions ou les coquilles, je laisse la place aux spécialistes.
Né en 1940, Bruce Lee, surnommé Le petit Dragon a eu une formation de base en kung fu dispensée par un maître du nom de Yim Pam. Après des tournois de karaté ( dont un qui fut organisé par Ed Parker, connut pour être un des pères du karaté américain) puis quelques séries ( dont le Frelon Vert), il a developpé l'art du jet kun do. Le premier film qui le met en avant, comme personnage principal est de The Big Boss de Lo Wei. Une histoire hyper banale, mais des combats déjà forts, et un magnétisme tout à fait stupéfiant.
Ont suivi Fist of Fury( 1972), La Fureur du Dragon ( 1972) qui le voit combattre Chuck Norris dans la séquence de fin du colisée, restée anthologique. Un côté western dans les zooms de cette séquence, les combats millimétrés en font un des meilleurs. Opération Dragon sort en 1973, et demeure une des oeuvres maîtresse d'une filmographie qui compte peu de films ( avec la scène des miroirs à la fin) C'est sur le tournage du Jeu de la mort, que disparaît l'idole du kung-fu dans des conditions très bizarres.
La légende est née.
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Merci Jordan !
J'adore Bruce Lee, découvert aussi vers l'âge de 12 ans.
A l'époque, je m'achetais la revue "Karate" tous les mois et je me fabriquais des nunchakus avec des manches à balai... Un vrai fan quoi.
Dans sa filmo, je place La fureur de vaincre et Opération dragon au-dessus du lot.
J'aime également beaucoup le côté "brut de pomme" de Big Boss, sans parler de La fureur du dragon et du duel final avec Chuck Norris dans le Colliséum.
Bref, j'aime tout, y compris Le jeu de la mort, et même les séquences où il est doublé ! (scène des motos par exemple).
Bien sûr, dans ce dernier film, les 15 minutes où le "vrai" Bruce Lee est à l'écran sont exceptionnelles, notamment le combat au nunchaku et le duel avec le géant, Karim Abdul Jabar. Sans parler de la musique que j'aime beaucoup dans ce dernier opus.
Bref, une légende, un mythe qui a ouvert la voie à de nombreuses imitations ou vocations, mais sans jamais être égalé.
J'adore Bruce Lee, découvert aussi vers l'âge de 12 ans.
A l'époque, je m'achetais la revue "Karate" tous les mois et je me fabriquais des nunchakus avec des manches à balai... Un vrai fan quoi.
Dans sa filmo, je place La fureur de vaincre et Opération dragon au-dessus du lot.
J'aime également beaucoup le côté "brut de pomme" de Big Boss, sans parler de La fureur du dragon et du duel final avec Chuck Norris dans le Colliséum.
Bref, j'aime tout, y compris Le jeu de la mort, et même les séquences où il est doublé ! (scène des motos par exemple).
Bien sûr, dans ce dernier film, les 15 minutes où le "vrai" Bruce Lee est à l'écran sont exceptionnelles, notamment le combat au nunchaku et le duel avec le géant, Karim Abdul Jabar. Sans parler de la musique que j'aime beaucoup dans ce dernier opus.
Bref, une légende, un mythe qui a ouvert la voie à de nombreuses imitations ou vocations, mais sans jamais être égalé.
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J'étais fan quand j'avais 12-14 ans et je ne manquai pas une diffusion : ils étaient d'ailleurs souvent diffusés sur la 5.Jordan White a écrit :S'ils t'ont laissé un bon souvenir, ce devrait être le cas encore maintenant, si on fait abstraction du manichéisme des scénars.George Bailey a écrit :J'ai vu tous les Bruce Lee dans ma jeunesse et j'ai peur de les regarder à nouveau.
Cela fait longtemps que je me tâte pour le coffret.
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Ce sont en fait plus de 40 minutes de combats d'etage en étage que l'on peut découvrir, montés comme le souhaitait Bruce Lee, dans le recent coffret édité par Metropolitan. Et c'est une toute autre approche de ces sequences que j'ai decouvert avec des yeux de gamin. Tout est question d'observation, d'adaptation et finalement de reaction. Une vraie leçon !Memento a écrit : Bien sûr, dans ce dernier film, les 15 minutes où le "vrai" Bruce Lee est à l'écran sont exceptionnelles, notamment le combat au nunchaku et le duel avec le géant, Karim Abdul Jabar.
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Il a inventé un art martial, respect ! coté acteur ce n'était pas un foudre de guerre mais son charisme à l'écran lors des scénes de combat est indéniable...
mort mystérieuse qui s'est d'ailleurs transmise à son fils
pour les amateurs de jet kun do et de Bruce Lee ...jettez un coup d'oeil à Cowboy Bebop, les scénes de combat avec spike spiegel sont du jet kun do et il y a même un hommage au combat Jabbar-Lee dans un des épisodes !
mort mystérieuse qui s'est d'ailleurs transmise à son fils
pour les amateurs de jet kun do et de Bruce Lee ...jettez un coup d'oeil à Cowboy Bebop, les scénes de combat avec spike spiegel sont du jet kun do et il y a même un hommage au combat Jabbar-Lee dans un des épisodes !
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- King of (lolli)pop
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J'ai lu, je crois sur Cinémasie, que la structure du Jeu de la Mort, s'il avait été finalisé aurait été emprunte à une Pagode: le héros monte les étages les uns après les autres en combattant le meilleur dans chaque discipline puis affronte le boss en dernier. Mais comme je n'ai pas le coffret Metropolitan et que tu dis qu'il y a 40 minutes de combats non stop, je suis plus que curieux, car dans mon souvenir c'est beaucoup moins.takezo a écrit :Ce sont en fait plus de 40 minutes de combats d'etage en étage que l'on peut découvrir, montés comme le souhaitait Bruce Lee, dans le recent coffret édité par Metropolitan. Et c'est une toute autre approche de ces sequences que j'ai decouvert avec des yeux de gamin. Tout est question d'observation, d'adaptation et finalement de reaction. Une vraie leçon !Memento a écrit : Bien sûr, dans ce dernier film, les 15 minutes où le "vrai" Bruce Lee est à l'écran sont exceptionnelles, notamment le combat au nunchaku et le duel avec le géant, Karim Abdul Jabar.
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Premier film que j'ai vu en salles : La fureur du dragon, vu lors d'une rétrospective Bruce Lee à laquelle me traina mon grand frère.
Je devais avoir 5-6 ans et, pourtant, je me souviens bien de cette première séance.
A partir de là le petit dragon a bercé mon enfance
Par contre ça doit bien faire plus de 15 ans que je n'ai pas revu un de ses films
Je devais avoir 5-6 ans et, pourtant, je me souviens bien de cette première séance.
A partir de là le petit dragon a bercé mon enfance
Par contre ça doit bien faire plus de 15 ans que je n'ai pas revu un de ses films
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
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- Francis Lalanne
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Oui c'est le concept, chaque niveau représente un art martial différent de plus en plus dur jusqu'au dernier niveau qui représente le summum celui qui pratique le jeet keun do. Pour réussir à franchir les étapes il doit s'adapter au style de combat de l'adversaire. No way as way, no limitation as limitation.Jordan White a écrit :J'ai lu, je crois sur Cinémasie, que la structure du Jeu de la Mort, s'il avait été finalisé aurait été emprunte à une Pagode: le héros monte les étages les uns après les autres en combattant le meilleur dans chaque discipline puis affronte le boss en dernier. Mais comme je n'ai pas le coffret Metropolitan et que tu dis qu'il y a 40 minutes de combats non stop, je suis plus que curieux, car dans mon souvenir c'est beaucoup moins.takezo a écrit : Ce sont en fait plus de 40 minutes de combats d'etage en étage que l'on peut découvrir, montés comme le souhaitait Bruce Lee, dans le recent coffret édité par Metropolitan. Et c'est une toute autre approche de ces sequences que j'ai decouvert avec des yeux de gamin. Tout est question d'observation, d'adaptation et finalement de reaction. Une vraie leçon !
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C'est marrant mais un peu comme pour John Woo on a tendance à oublier que Lee a eu une carrière au cinéma avant Big Boss. Evidemment c'est uniquement avec les films cités dans ce topic qu'on le connait ici mais ça n'enlève rien au fait qu'il a joué dans 16 films avant, en tant qu'enfant star puis jeune espoir du cinéma cantonais.George Bailey a écrit :J'ai vu tous les Bruce Lee dans ma jeunesse et j'ai peur de les regarder à nouveau.
Ceci étant dit je vais faire le rabat joie car je n'aime pas les films de kung fu qu'il a fait. Ses capacités martiales ne sont pas en cause, il était assurément très bon. Mais les films même sont moyens. Des scénarios bien limités, une production value faible et des scènes de combat honnêtes mais handicapés par l'absence d'opposition réel à Lee (ça s'améliorera un peu avec la Fureur du Dragon mais même là c'est pas vraiment ça...). Pour comparaison les séquences du Dojo dans le Hapkido de Huan Feng (tourné un peu dans la même période) sont à mes yeux bien meilleur que celle du film de Lo Wei.
Je lui reconnais son charisme (auquel je n'accrcohe pas perso), ses capacités martiales et le fait qu'il ait fait beaucoup pour que HK soit reconnu dans le monde (mais est ce que ça aurait duré de toute façon ?) mais artistiquement les films qu'il a fait entre 71 et 74 me semblent bien moyen.
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- Francis Lalanne
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Et en même temps il s'en ai voulu ce n'est pas pour rien qu'avant sa mort il avait commencé a fermer toute les écoles de jeet kuen do et qu'il n'avais pas publié son livre "ma méthode de combat" sorti plus tard par sa femme. Finalement ce phénomène la dépassé et il s'est rendu compte que le jeet kuen do était devenu un art martial a part entiere dans lequel les pratiquants était enfermés, hors sa philosophie tendait à trouvé sa propre voie sans cesse en évolution en ne gardant que le meilleurs de chaque art martial, il privilégie avant tout le combat et la mise en situation réel au coté artistique et philosophique des arts martiaux chose que lui reprocha beaucoup Liu Chia Liang.Phenryl a écrit :Il a inventé un art martial, respect !