Publié : 22 juin 04, 19:10
C'est vrai qu'elle avait écrit The man with the child in his eyes à 13 ans, et vu les paroles, c'est quand même heu... Bizarre... pour employer un euphémisme. En tout cas ça met mal à l'aise.
Sinon j'aime bcp ce clip de Cloudbusting avec Sutherland ainsi que bien sûr la chanson avec ses cordes à la Nyman. C'est vrai que cet album s'approche de la perfection dans son inspiration, sa variété, sa construction (le sequencing est un modèle) et surtout sa cohésion. Si Running up that hill a pris un petit coup de vieux (rien de grave docteur), le reste de l'album tient superbement le coup.
Cet album à la pochette si attrayante et étrange avait tellement convaincu que le suivant The sensual World avait un peu déçu. Pourtant, même si on ne retrouvait pas cette même inspiration ou cohésion, il était difficile de résister à la beauté de la chanson titre ou alors au fabuleux This Woman Work qui en a sans doute ému plus d'un (les amateurs de John Hugues connaissaient déjà ce titre car il était sorti un an auparavant sur la BO de La vie en plus). La présence de voix bulgares était aussi un plus pour cet album.
Le dernier en date The red Shoes alterne entre l'excellent et le moins inspiré. On y retrouvait des gens comme Eric Clapton ou Prince (K. Bush lui rendra la pareille sur le formidable My computer en 96), pour un album moins osé que les autres mais qui nous donnait un beau sourire sur des titres comme Eat the music ou The red shoes. A noter qu'un moyen métrage à partir des titres de l'album avec l'excellente Frances Barber avait été tourné. Je ne l'ai jamais vu, il n'existait qu'en VHS PAL.
Depuis plus rien, à part une ou deux apparitions guests ou alors à des remises de prix. Un album se préparerait...
Sinon j'aime bcp ce clip de Cloudbusting avec Sutherland ainsi que bien sûr la chanson avec ses cordes à la Nyman. C'est vrai que cet album s'approche de la perfection dans son inspiration, sa variété, sa construction (le sequencing est un modèle) et surtout sa cohésion. Si Running up that hill a pris un petit coup de vieux (rien de grave docteur), le reste de l'album tient superbement le coup.
Cet album à la pochette si attrayante et étrange avait tellement convaincu que le suivant The sensual World avait un peu déçu. Pourtant, même si on ne retrouvait pas cette même inspiration ou cohésion, il était difficile de résister à la beauté de la chanson titre ou alors au fabuleux This Woman Work qui en a sans doute ému plus d'un (les amateurs de John Hugues connaissaient déjà ce titre car il était sorti un an auparavant sur la BO de La vie en plus). La présence de voix bulgares était aussi un plus pour cet album.
Le dernier en date The red Shoes alterne entre l'excellent et le moins inspiré. On y retrouvait des gens comme Eric Clapton ou Prince (K. Bush lui rendra la pareille sur le formidable My computer en 96), pour un album moins osé que les autres mais qui nous donnait un beau sourire sur des titres comme Eat the music ou The red shoes. A noter qu'un moyen métrage à partir des titres de l'album avec l'excellente Frances Barber avait été tourné. Je ne l'ai jamais vu, il n'existait qu'en VHS PAL.
Depuis plus rien, à part une ou deux apparitions guests ou alors à des remises de prix. Un album se préparerait...