Beule a écrit :Je ne suis pas loin de penser non plus que le rôle de Captain Jack reste le plus fort de toute la carrière de Bronson, bien qu'il n'y ait finalement qu'un second rôle (avis hautement subjectif, pas taper ).
Oki, je tape pas , mais as-tu vu Mitraillette Kelly de Corman ?
Concernant Daves, j'ai une connaissance trop partielle de son oeuvre pour me prononcer.
Dark Passage est un chef d'oeuvre, j'aime bien 3h10 pour Yuma, La Dernière Caravane et The Badlanders...
Faut que je revois La Flèche brisée qui repasse jsutement ces jours-ci sur le cable...
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.
vic a écrit :
Oki, je tape pas , mais as-tu vu Mitraillette Kelly de Corman ?
Oui mais il y a si longtemps que ça revient à dire non, c'est vrai. Je garde néanmoins un excellent souvenir de Bronson dans ce film c'est vrai. Du sur mesure.
vic a écrit :
Oki, je tape pas , mais as-tu vu Mitraillette Kelly de Corman ?
Oui mais il y a si longtemps que ça revient à dire non, c'est vrai. Je garde néanmoins un excellent souvenir de Bronson dans ce film c'est vrai. Du sur mesure.
Je le préfère en Captain Jack qu'en Mitraillete kelly, autre grand rôle cependant
Jeremy Fox a écrit :
Felicia Farr : tiens j'aurais du la mettre dans le topic sur les actrices de western : je la trouve belle à se damner et la scène dans 3h10 pour Yuma ou elle drague Glen Ford est tout simplement sublime.
Felicia Farr:(putain elle est bonne celle la )
je crois que je vais aller acheter le dvd de 3h10 pour yuma
Sans l'avoir vu, je peux néanmoins affirmer sans risques que le film s'inscrit dans la série de mélodrames lacrymaux - généralement traitant de la jeunesse - dont Delmer Daves s'était fait une spécialité à la fin de sa carrière.
Spencer's Mountain n'a pas très bonne réputation, mais il offre le notable avantage de nous épargner la présence de Troy Donahue; un acteur irrémédiablement nul que Daves mit en vedette à plusieurs reprises dans ses dernières réalisations.
Lord Henry a écrit :Sans l'avoir vu, je peux néanmoins affirmer sans risques que le film s'inscrit dans la série de mélodrames lacrymaux - généralement traitant de la jeunesse - dont Delmer Daves s'était fait une spécialité à la fin de sa carrière.
Spencer's Mountain n'a pas très bonne réputation, mais il offre le notable avantage de nous épargner la présence de Troy Donahue; un acteur irrémédiablement nul que Daves mit en vedette à plusieurs reprises dans ses dernières réalisations.
je suis dac avec toi concernant"troy donahue,quel nom et quel acteur j'adhère pas.
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
yeux noirs a écrit :bon, ce n'est pas très réjouissant
Merci Lord Henry.
Parmi ces mélodrames de fin de carrière, certains sont même franchement risibles. Celui-ci est le seul que je n'ai pas vu mais si tu possèdes le Tavernier/Coursodon, ils en parlent surement car ce sont quasiment les seus à défendre les mélos de Daves (parfois pas à tort : 'rome adventure')
A vrai dire Jacques Lourcelles egalement apporte une appreciation flatteuse au 3eme film de la serie des melodrames de fin de carriere de Delmer Daves , il s'agit de "Susan Slade" que j'avoue n'avoir jamais vu ,curieusement car il passe regulierement sur TCM.
daniel gregg a écrit :A vrai dire Jacques Lourcelles egalement apporte une appreciation flatteuse au 3eme film de la serie des melodrames de fin de carriere de Delmer Daves , il s'agit de "Susan Slade" que j'avoue n'avoir jamais vu ,curieusement car il passe regulierement sur TCM.
Ah oui c'est peut-être Lourcelle effectivement et non tatav
- L'or du Hollandais de Delmer Daves. L'intérêt de retranscrire l'intrigue d'Asphalt Jungle dans le cadre d'un Western ne m'a pas sauté aux yeux, cependant le film se suit avec grand plaisir, notamment grâce au très beau personnage incarné par le grand Ernest Borgnine. Le film m'a semblé cependant un peu hâtif dans sa conclusion pour ne pas dire bâclé. Sympathique mais un peu bancal.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
C'est en gros le souvenir que j'en ai, Borgnine est excellent, Alan Ladd fait du Alan Ladd et la fin est expédiée et pas dut out conforme à celle du bouquin (mais il fallait s'y attendre.)
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.