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Jean-Luc Godard (1930-2022)
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
rectification : dans les salles parisiennes uniquement
Merci de l'info sinon.
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
Revu Le mépris avec plaisir hier soir, sur Arte. Toujours aussi fort, toujours aussi beau, toujours aussi novateur sur la forme et le découpage, toujours aussi juste dans sa radiographie du couple et sa vision sans concession du cinéma.
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Symptomatique de mon rapport avec Godard, depuis toujours : tout ou rien ; ça passe ou ça casse.
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
C'est vraiment pas sympa.Zelda Zonk a écrit : ↑15 sept. 22, 15:16
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
Là, au moins, j'ai regardé jusqu'au bout !Rick Blaine a écrit : ↑15 sept. 22, 15:25C'est vraiment pas sympa.Zelda Zonk a écrit : ↑15 sept. 22, 15:16
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
Seul bémol (et encore ça peut servir le film) : Jack Palance n'est pas bon du tout. Il a un vrai balais dans le cul.Zelda Zonk a écrit : ↑15 sept. 22, 15:16 Revu Le mépris avec plaisir hier soir, sur Arte. Toujours aussi fort, toujours aussi beau, toujours aussi novateur sur la forme et le découpage, toujours aussi juste dans sa radiographie du couple et sa vision sans concession du cinéma.
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Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
C'est vrai, mais du coup ça sert quelque peu le film, car s'il avait été beau, sympathique et charismatique, "l'infidélité" de Bardot aurait emprunté des chemins balisés et convenus. On sent bien qu'elle agit à son corps défendant, plus pour punir, provoquer et stimuler son mari, que par une quelconque attirance pour Prokosch. Je pense même que, dans le fond, elle le déteste.Alexandre Angel a écrit : ↑15 sept. 22, 15:37Seul bémol (et encore ça peut servir le film) : Jack Palance n'est pas bon du tout. Il a un vrai balais dans le cul.Zelda Zonk a écrit : ↑15 sept. 22, 15:16 Revu Le mépris avec plaisir hier soir, sur Arte. Toujours aussi fort, toujours aussi beau, toujours aussi novateur sur la forme et le découpage, toujours aussi juste dans sa radiographie du couple et sa vision sans concession du cinéma.
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
Oui voilà.
Mais il n'empêche qu'il joue mal et on le sent mal à l'aise, ne comprenant que pouic à ce à quoi il participe.
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
Il joue très mal mais c'est ce qu'il fallait quelque part, je rejoins Zelda, ça sert totalement le film.
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
Normal.Zelda Zonk a écrit : ↑15 sept. 22, 15:16
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
Oui et puis on sait que chez Godard, on ne réfléchit pas en termes de comédiens convaincants ou non. Les acteurs participent à une entreprise d'atomisation des canons d'expressivité classiques.Rick Blaine a écrit : ↑15 sept. 22, 16:16 Il joue très mal mais c'est ce qu'il fallait quelque part, je rejoins Zelda, ça sert totalement le film.
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
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Re: Jean-Luc Godard (1930-2022)
Oui ^^ par exemple Prénom Carmen, ou Jacques Bonaffé il est gratiné quand même. Un film assez nawak parfois, assez WTF aussi, mais alors la photographie et quand Godard ose se caricaturer avec stupeur et classe, là, je reste vraiment bouche-bée. 1er degré. Et, on la voit pas beaucoup, mais pointe d'émotion avec l'assistante de Godard à l'hospice, joué par Valérie Dréville. Je l'ai découvert il y a 7 ans avec le bluffant et magnétique Suite Armoricaine de Pascale Breton, et la voir jouer dans un Godard, presque premier role au cinéma, à 20 ans, toujours avec son sourire magnifique, elle joue pépouze en plus, très simple par rapport aux personnages de Prénom : Carmen. Mais cette photographie sur les visages féminins, incroyable de vérité. Et, c'est très subtile, mais le fait que le début des 80's était synonyme de la résolution et esthétique Vidéo, on voit bien le grain changer, du 35mm à la vidéo dans ses 15 dernières minutes dans le casino.Oui et puis on sait que chez Godard, on ne réfléchit pas en termes de comédiens convaincants ou non. Les acteurs participent à une entreprise d'atomisation des canons d'expressivité classiques.