Thaddeus a écrit : ↑3 déc. 23, 14:02
C'est vraiment inestimable, ce genre d'archive.
J'adore l'énorme blanc/malaise/incompréhension que provoque l'anecdote de Ciment à la fin.
J'avais pourtant écouté récemment cet extrait mais je n'avais pas vraiment fait attention à la fin.
En fait, c'est presque plus une incompréhension qu'un malaise : ils ne percutent pas vraiment sur une remarque plutôt en avance sur son temps. Aujourd'hui, après les frères Wachowski et autres, il n'y aurait pas de blanc.
Mais c'est vrai que c'est assez marrant.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Thaddeus a écrit : ↑3 déc. 23, 14:02
C'est vraiment inestimable, ce genre d'archive.
J'adore l'énorme blanc/malaise/incompréhension que provoque l'anecdote de Ciment à la fin.
Oui, autre temps, on ne comprenait pas que ça puisse exister (par contre Ciment se trompe c'est Walter et pas William).