Evolution de la cinéphilie française
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- Alphonse Tram
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Je repêche ce topic pour en faire profiter les jeunes pousses de dvdclassik.
Ils avaient de la sève à l'époque, les vieux roustons de classik
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- « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
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Re: évolution de la cinéphilie française
ce Kurtz était un peu con quand même.Alphonse Tram a écrit :Je repêche ce topic pour en faire profiter les jeunes pousses de dvdclassik.
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Re: évolution de la cinéphilie française
Aller... !Tancrède a écrit :ce Kurtz était un peu con quand même.
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Re: évolution de la cinéphilie française
En janvier 2012, l'émission de France Culture La fabrique de l'histoire s'était penchée sur L'histoire de la cinéphilie (et sans se limiter à la cinéphilie parisienne ) :
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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Re: évolution de la cinéphilie française
Federico a écrit :
partie 2
J'aurais bien aimé voir sa réaction à une certaine projection de "Gertrud" (à l'Action Christine) ; il aurait eu à faire !On s'engueulait... de fauteuil à fauteuil quelquefois... Je me rappelle, pour cette séance du "Tigre du Bengale", ça s'est passé à la Cinémathèque, eh bien, il y avait deux ou trois idiots qui se sont permis de rire, et je vous assure que je les ai... je... je me suis levé et je leur ai dit : "Bande de cons, taisez-vous !"
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Re: évolution de la cinéphilie française
Gertrud, ça devait être vers 1983-84, non ?Commissaire Juve a écrit :Federico a écrit :
partie 2J'aurais bien aimé voir sa réaction à une certaine projection de "Gertrud" (à l'Action Christine) ; il aurait eu à faire !On s'engueulait... de fauteuil à fauteuil quelquefois... Je me rappelle, pour cette séance du "Tigre du Bengale", ça s'est passé à la Cinémathèque, eh bien, il y avait deux ou trois idiots qui se sont permis de rire, et je vous assure que je les ai... je... je me suis levé et je leur ai dit : "Bande de cons, taisez-vous !"
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Re: Evolution de la cinéphilie française
Nan, au milieu des années 90 (j'ai la date dans mon journal de l'époque, mais là je ne suis pas chez moi).
EDIT : c'était le 16 novembre 1994, à l'Action Christine.
EDIT : c'était le 16 novembre 1994, à l'Action Christine.
Dernière modification par Commissaire Juve le 17 janv. 14, 12:46, modifié 2 fois.
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Re: Evolution de la cinéphilie française
Il y a cette notion de faire mûrir le film qu'on vient de voir, à chaud on peut être interdit et le film est trop jeune encore pour en parler.
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Re: Evolution de la cinéphilie française
L'émission n°3 est une vraie purge... La n°4 est vachement plus intéressante.
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Re: évolution de la cinéphilie française
Merci beaucoup, Federico. Je viens de finir la première émission et j'ai hâte d'écouter la suite. Comme les émissions du site de l'INA, je pourrais écouter ça en continu non stop pendant des jours et des jours si je le pouvais, c'est passionnant.
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Re: Evolution de la cinéphilie française
Je mets ça là pour ne pas polluer le topic bons plans, mais j’ai trouvé que c’était une perle en son genre :
Je dis ça mais je m’égare aussi souvent dans le visionnage de nombreuses séries ou de films en me disant après coup que j’aurais mieux fait de revoir mes films fètiches plutot que d’avoir perdu du temps à donner sa chance à des œuvres qui n’avaient qu’une infime chance d’être de bonnes surprises.
Pour ma part, je trouve qu’on est arrivé dans une ère de telle profusion audiovisuelle que je crois avoir inconsciemment choisi la qualité sur la quantité, la connaissance intime des oeuvres sur le nombre. D’autant plus que je préfère presque tout le temps la seconde vision d’un film à la première.Torrente a écrit : L'horloge tourne et je veux voir un max' de films avant de passer l'arme à gauche donc je ne veux pas perdre mon temps à savoir si l'ambiance était formidable sur le plateau
Je dis ça mais je m’égare aussi souvent dans le visionnage de nombreuses séries ou de films en me disant après coup que j’aurais mieux fait de revoir mes films fètiches plutot que d’avoir perdu du temps à donner sa chance à des œuvres qui n’avaient qu’une infime chance d’être de bonnes surprises.
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Re: Evolution de la cinéphilie française
Je comprends. Mais j'ai toujours eu une approche boulimique (de tout), une soif de voir, lire, écouter, apprendre, le plus possible.
Et pour le cinoche, comme de toute façon, je préfère les petits B, les films à mauvaise réputation ou les films moins connus plutôt que les gros loukoums établis, forcément...
Je tiens beaucoup à cette recherche de la petite perle perdue dans un océan de fientes. C'est ce qui meut ma cinéphagie.
Tant pis si ça (te) défrise
Et pour le cinoche, comme de toute façon, je préfère les petits B, les films à mauvaise réputation ou les films moins connus plutôt que les gros loukoums établis, forcément...
Je tiens beaucoup à cette recherche de la petite perle perdue dans un océan de fientes. C'est ce qui meut ma cinéphagie.
Tant pis si ça (te) défrise
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Re: Evolution de la cinéphilie française
Un an pour exercer ton droit de reponse!Torrente a écrit :Je comprends. Mais j'ai toujours eu une approche boulimique (de tout), une soif de voir, lire, écouter, apprendre, le plus possible.
Et pour le cinoche, comme de toute façon, je préfère les petits B, les films à mauvaise réputation ou les films moins connus plutôt que les gros loukoums établis, forcément...
Je tiens beaucoup à cette recherche de la petite perle perdue dans un océan de fientes. C'est ce qui meut ma cinéphagie.
Tant pis si ça (te) défrise
Je ne me rappelais même plus de ce message ni à quel tournage tu faisais référence. Et comme je l’ai écrit, je continue malgré tout à faire un peu comme toi. Ça dépend du moment, de l’état de santé physique et moral. Dans les périodes plus difficiles, se rabattre sur ses classiques et fondamentaux sans doute..
Néanmoins, avec le temps, il est évident que j’ai arrêté par exemple d’aller voir certains trucs comme 90% des films d’action américains ou une partie des comédies françaises (Tuches et compagnie). Je fais davantage d’efforts pour les films dits d’auteur qui ont le mérite de garder le suspense de la bonne ou très bonne surprise.
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- Howard Hughes
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Re: Evolution de la cinéphilie française
Je me suis rendu compte qu'il y avait un petit bouton "notifications" en haut à droite de la page avec un chiffre rouge à côté, qui me perturbait. Alors j'ai cliqué et j'ai découvert une série de posts me citant et me répondant. Bref, j'ai découvert comment marchait le forum 12 ans après mon inscription (mais il n'est jamais trop tard)
J'ai trouvé que ce serait bien de te répondre, et voilà.
Rassure-toi, je comprends bien ce que tu veux dire.
D'ailleurs j'ai moi aussi des limites...
Elles se situent principalement dans les pays du tiers monde (dont les cinématographies m'intéressent moins étant un gros occidental paresseux de merde, à part celle du Ghana mais c'est parce que j'aime bien me marrer devant de mauvais films d'action) et les pays parlant portugais et espagnols (car ces langues m’ insupportent mais je fais de gros efforts avec certains réalisateurs ainsi que pour certains polars).
J'ai également très peu de tolérance face à certaines cinématographies de l'Est, selon les époques. J'ai essayé quelques comédies et quelques polars contemporains hongrois, par exemple et ce fut un moment douloureux... disons simplement qu'on était plus proche d'Oteniente et Pirès que de Wilder et Fincher.
Il y a aussi une série de réalisateurs que j'ai bannis avec l'âge. Au début je m'obstinais, pour la découverte culturelle, l'élévation intellectuelle, le paraître mais j'ai fini par comprendre que c'était peine perdue et qu'ils ne méritaient pas mon temps.
Je me fais aussi avoir de temps en temps par des comédies françaises mais je m'efforce de ne pas tomber trop bas, en éradiquant du mieux que je peux les films de "comiques de télévision" très en vogue depuis le début du siècle.
Le chemin est pavé d'embûches
Sinon, on ne parlait pas d'un tournage en particulier, on parlait de Blu-rays et des bonus en général, je pense. Ça devait être sur un topic du style du Chat qui fume ou autre.
Je disais, en gros, que j'avais autre chose à foutre que de mater des bonus.
J'ai trouvé que ce serait bien de te répondre, et voilà.
Rassure-toi, je comprends bien ce que tu veux dire.
D'ailleurs j'ai moi aussi des limites...
Elles se situent principalement dans les pays du tiers monde (dont les cinématographies m'intéressent moins étant un gros occidental paresseux de merde, à part celle du Ghana mais c'est parce que j'aime bien me marrer devant de mauvais films d'action) et les pays parlant portugais et espagnols (car ces langues m’ insupportent mais je fais de gros efforts avec certains réalisateurs ainsi que pour certains polars).
J'ai également très peu de tolérance face à certaines cinématographies de l'Est, selon les époques. J'ai essayé quelques comédies et quelques polars contemporains hongrois, par exemple et ce fut un moment douloureux... disons simplement qu'on était plus proche d'Oteniente et Pirès que de Wilder et Fincher.
Il y a aussi une série de réalisateurs que j'ai bannis avec l'âge. Au début je m'obstinais, pour la découverte culturelle, l'élévation intellectuelle, le paraître mais j'ai fini par comprendre que c'était peine perdue et qu'ils ne méritaient pas mon temps.
Je me fais aussi avoir de temps en temps par des comédies françaises mais je m'efforce de ne pas tomber trop bas, en éradiquant du mieux que je peux les films de "comiques de télévision" très en vogue depuis le début du siècle.
Le chemin est pavé d'embûches
Sinon, on ne parlait pas d'un tournage en particulier, on parlait de Blu-rays et des bonus en général, je pense. Ça devait être sur un topic du style du Chat qui fume ou autre.
Je disais, en gros, que j'avais autre chose à foutre que de mater des bonus.