Crazy bear : 3,5/10
Ça m’apprendra à aller voir un film en ne connaissant que le pitch et l’affiche, je pensais que c’était un film gore. Alors qu’en fait on se retrouve devant une comédie pas très drôle et très bavarde et qui offre son dernier rôle bien ridicule à Ray Liotta.
-magik- a écrit : ↑20 mars 23, 17:07Crazy bear : 3,5/10
Ça m’apprendra à aller voir un film en ne connaissant que le pitch et l’affiche, je pensais que c’était un film gore. Alors qu’en fait on se retrouve devant une comédie pas très drôle et très bavarde et qui offre son dernier rôle bien ridicule à Ray Liotta.
On the line (avec Mémel) 7/10 ou 4/10 je ne sais pas si c'est un gros foutage du gueule ou un petit film bien torché qui ne lâche pas un seul instant le spectateur pendant son heure et demi dans sa tour de la Défense (L.A. dans le film). Quand je dis foutage de gueule, je parle de la fin qui pourrait tout gâcher si on est mal luné.
Crazy bear. Là je sais. Gros foutage de gueule. 1/10
Dernière modification par odelay le 21 mars 23, 07:35, modifié 1 fois.
Empire of Light (Sam Mendes) 6/10
(Tiens ? Quand il ne dessine pas un tableau de l'Amérique, quand il ne psychanalyse pas James Bond, quand il ne joue pas au faux plan-séquence virtuose, Sam Mendes serait donc capable de réaliser un film sensible sur sa mère ? Car on aurait tort d'y voir une énième déclaration d'amour au 7ème Art (arrivant qui plus est après The Fabelmans). Même s'il en dit aussi long et en mieux en deux minutes sur la consolation du cinéma que Babylon en trois heures, c'est d'abord un portrait de la mère bipolaire du réalisateur. Mais entre le filtre de la fiction, sa pudeur et hélas aussi son académisme, Mendes gomme les aspérités, lisse tous ses - trop - nombreux sujets pour en rester à leur surface jolie et polie, dans tous les sens du terme. Dommage, même si ça reste certainement son œuvre la plus personnelle à ce jour.)
Crazy Bear (Elizabeth Banks) 3,5/10
(Il n'y a rien de pire qu'une comédie qui se croit drôle mais qui ne l'est pas. Tout le monde est persuadé de jouer dans un film supra marrant rien qu'avec son titre et son pitch délirant, mais l'entreprise manque de sadisme, de folie et de jusqu'au-boutisme, tellement occupée à parler de son grand sujet - la famille - qu'elle ne fait finalement pas grand chose de son ours défoncé à la coke. Écriture et rythme laborieux, triste fin de carrière pour Ray Liotta dans un ultime rôle de trafiquant bien loin des Affranchis, ce n'est pas non plus le film le plus sinistre de tous les temps mais ce n'est clairement pas à la hauteur de ses promesses. D'après une histoire vraie.)
65 : La Terre d'Avant (deux scénaristes de Sans un Bruit) 3/10
(Seuls rescapés du crash de leur vaisseau spatial sur la Terre à l'époque des dinosaures, Adam Driver et une gamine doivent traverser une région hostile pour rejoindre leur navette de secours. On reconnait les deux co-scénaristes de Sans un Bruit dans ce survival où on marche lentement en essayant d'échapper à de méchantes grosses bébêtes. 93 minutes c'est court, mais quand il ne s'y passe pas grand chose ça peut aussi être très long. D'après une histoire vraie.)