Le cinéma mexicain
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Re: Cinema mexicain
Ripstein et Reygadas sont également des incontournables du cinéma mexicain, même si je connais assez mal (voir pas du tout le second).
J'avais apprécié La Camarista (39ème), un peu moins La Region salvaje (47ème), pas trop La Ninas bien (26ème).
Pour Tatiana Huezo (6ème avec Tempestad), j'avais préféré d'elle El lugar más pequeño.
Sinon mériterait d'apparaître dans ce classement le travail documentaire d'Eugenio Polgovsky (Los Herederos en particulier).
J'avais apprécié La Camarista (39ème), un peu moins La Region salvaje (47ème), pas trop La Ninas bien (26ème).
Pour Tatiana Huezo (6ème avec Tempestad), j'avais préféré d'elle El lugar más pequeño.
Sinon mériterait d'apparaître dans ce classement le travail documentaire d'Eugenio Polgovsky (Los Herederos en particulier).
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Re: Cinema mexicain
Hélas, c'est pas un mec si con comme moi qui va pouvoir t'aider...
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Re: Le cinéma mexicain
28 films vus dans cette liste
beb a écrit : ↑4 juin 22, 14:38
La liste formattée si vous voulez l'utiliser
- Spoiler (cliquez pour afficher)

Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
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Re: Le cinéma mexicain
Le grand oublié. Ce chef d'œuvre absolu qu'est Children of men D'Alfonso Cuarón en 2006.
I quit.
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Re: Le cinéma mexicain
Ce n'est pas un film mexicain, normal (coproduction anglo-americaine)

Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
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Re: Le cinéma mexicain
Ah, j'ai lu de travers alors. Pardon. M'enfin, il fallait quand même que je le citeJack Carter a écrit : ↑5 juin 22, 11:29 Ce n'est pas un film mexicain, normal (coproduction anglo-americaine)

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Re: Le cinéma mexicain
A la suite de Nouvel Ordre de Franco, j'avais entendu parler de la trilogie mexicaine de Luis Estrada. J'ai commencé par le 2e, Un mundo maravilloso (Un monde merveilleux) sorti en 2006.
Critique sociale virulente qui applique son propos à la truelle sans épargner personne, à certains égards le film m'a rappelé Affreux, Sales et Méchants, notamment dans les scènes de bidonville et la tonalité "brute".
L'ouverture sur le discours lunaire d'un ministre au "World Financial Center" se félicitant de ses politiques ayant éradiqué la pauvreté au Mexique donne le ton du film.
Juan Perez, SDF cherchant un toit et un moyen de conquérir sa dulcinée, se retrouve instrumentalisé par ce ministre revant de devenir directeur du WFC, et le directeur d'un journal de gauche pas plus enviable que ces "Tchicago Boys" du gouvernement qu'il veut voir tomber coûte que coûte. L'église en prend également sévérement pour son grade.
Malheureusement vu dans une copie trop mauvaise pour vraiment l'apprécier sur la forme, le film m'a semblé assez académique, et donc peu marquant au-delà d'une bonne comédie satirique populaire.
Le final fait le lien avec le film de Michel Franco, à se demander si ce dernier y répond volontairement.


Critique sociale virulente qui applique son propos à la truelle sans épargner personne, à certains égards le film m'a rappelé Affreux, Sales et Méchants, notamment dans les scènes de bidonville et la tonalité "brute".
L'ouverture sur le discours lunaire d'un ministre au "World Financial Center" se félicitant de ses politiques ayant éradiqué la pauvreté au Mexique donne le ton du film.
Juan Perez, SDF cherchant un toit et un moyen de conquérir sa dulcinée, se retrouve instrumentalisé par ce ministre revant de devenir directeur du WFC, et le directeur d'un journal de gauche pas plus enviable que ces "Tchicago Boys" du gouvernement qu'il veut voir tomber coûte que coûte. L'église en prend également sévérement pour son grade.
Malheureusement vu dans une copie trop mauvaise pour vraiment l'apprécier sur la forme, le film m'a semblé assez académique, et donc peu marquant au-delà d'une bonne comédie satirique populaire.
Le final fait le lien avec le film de Michel Franco, à se demander si ce dernier y répond volontairement.


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Re: Le cinéma mexicain
Olivier Père, à propos des deux Bracho
https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2 ... io-bracho/
https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2 ... io-bracho/
à propos de Salon Mexico (Emilio Fernandez)
https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2 ... fernandez/
Et aussi :
https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2 ... tillo-oro/
https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2 ... do-mendez/
https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2 ... io-bracho/
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à propos de Salon Mexico (Emilio Fernandez)
https://www.arte.tv/sites/olivierpere/2 ... fernandez/
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Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
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Re: Le cinéma mexicain
En salles demain (à Paris et Lyon seulement
)











Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)