Dvdclassik : cinéma et DVD

Bruno Reidal : 8/10
L'année du requin : 6,5/10
RRR : 5/10

Mi Iubita,Mon Amour : 6/10

Prey : 6.5/10
Pas mal mais peut mieux faire.

Flol a écrit : ↑6 août 22, 08:30 Prey : 6.5/10
Pas mal mais peut mieux faire.

Ayé, Disney a osé le crossover entre Pocahontas et Predator. Cousu de fil blanc, assez fade, VFX pas tjrs heureux et princesse rebelle au mieux insipide, au pire antipathique. Son frère est très cool par contre, sa baston à lui est chouettos. J'aurais préféré le suivre lui pour qq part venger l'indien tué hors champs ds PDT1. En vo, le gang des français est très amusant à entendre sinon. Fini en accéléré qd même, faut pas déconner. On n'est pas à ça prey.

Pas aimé cette sensation de suivre un avatar féminin ds un jeu vidéo en vue à la 3ème personne. De très beaux plans ça et là, d'autres non (le dépeçage du loup est gonflé / ours en cgi au-secours) mais c'est tellement calibré que je lui préfère nettement la version Shane Black, aussi bancale soit-elle. Je m'attendais à pire, j'avoue, mais cette tonalité standard interchangeable commence à me les briser menu. Un perso star wars disneyien pourrait débarquer dans cet univers sans que ça choque (on a des plans identiques à la série pourave Obiwan avec ces glissades sous des arbres - nettement mieux filmés ici toutefois), voire même le Mowgli live. Multivers palpable, mais mœurs unique 2020's avec cette vision homme / femme extrêmement puérile. Ca reste du dinsey avec un peu de gore, traité de façon inoffensive. Du jetable honorable, voilà. De la VOD. Un gosse de 12 ans peut kiffer des trucs là-dedans je pense. 4/10.

Bullet Train 5/10
Treize Vies (Amazon Prime) 7/10

Flol a écrit : ↑6 août 22, 08:30 Prey : 6.5/10
Pas mal mais peut mieux faire.

Prey : 5/10

A un moment j'ai cru que je regardais Le Livre de la jungle avec tous ces animaux en numérique moches. C'est pas mal mais tellement prévisible et déjà vu que ça n'est absolument pas mémorable. Et toujours cette photo numérique affreusement ennuyeuse.

Prey - 5,5

Spongebob a écrit : ↑6 août 22, 11:22

Flol a écrit : ↑6 août 22, 08:30 Prey : 6.5/10
Pas mal mais peut mieux faire.

Prey : 5/10

A un moment j'ai cru que je regardais Le Livre de la jungle avec tous ces animaux en numérique moches. C'est pas mal mais tellement prévisible et déjà vu que ça n'est absolument pas mémorable. Et toujours cette photo numérique affreusement ennuyeuse.

Et personne pour les Amérindiens très 2022 dans leur façon de parler qui ressemblent à des influenceurs? Ils auraient sorti un smartphone de leur pagne ça ne m'aurait pas plus choqué que ça.
Sinon le puma et l'ours en CGI, c'est pas possible. Appelez Jean Jacques Annaud!
Après, c'est back to the basics en 100 fois moins bien avec un prédator à tête de poule vénère.

Heureusement il y a une bonne nouvelle

Wile E. a écrit : ↑5 août 22, 17:02 Prey (2022) / Dan Trachtenberg _ 6

Navré pour le dérangement Karras, je vais descendre ma note à 5.
En moins de 24h le film s'efface déjà. C'est de l'ouvrage fait convenablement mais sans coeur.
L'image est (trop) clean, l'intrigue est (beaucoup trop) convenue, les personnages (trop) efficaces,... même la boue est propre. C'est sans la moindre surprise ni la moindre aspérité.
Ça relève tout même le niveau après l'immondice pondu par Shane Black en 2018.

Bullet Train : 4.5/10

Alors j'ignore si c’est la chaleur des derniers jours qui a fait fondre l’esprit critique de certains journalistes/blogueurs/forumeurs (coucou tchi-tcha ! ), autrement moins coulants d’ordinaire, mais je serais tenté de dire qu’à l’aune de ce Bullet Train une partie de la filmographie de David Leitch prend soudain des allures de quasi chefs-d’oeuvre. Caviardé de séquences flashback à l’intérêt très relatif étant donné les personnages en carto(o)n-pâte impliqués dans cette histoire de train à grande vitesse rempli de mercenaires (le summum étant atteint avec le passé d’une bouteille d’eau minérale !!!), le film qui se veut ultra cool avec ses petites punchlines et ses grosses gerbes de sang 100% synthétiques se révèle en fait très vite assommant à force de redondances en tous genre. Je pense au hasard à un des tueurs (nom de code : lemon) ayant pris place dans ce TGV à la japonaise dont l’appréhension de ses semblables repose entièrement sur la série d’animation Thomas le petit train qu’il regardait à la télé gamin. Si la référence prête à sourire au début, resservie une bonne vingtaine de fois elle ne suscite à la longue plus que des soupirs fatigués. Idem lorsque ce même tueur répète à untel qu’il est le diesel pour lui signifier qu’il est le méchant de l’histoire (moi j’aurais alors fait apparaître cette grosse endive bodybuildée de Vin Diesel au détour d’un compartiment, vu l’humour assez crétin qui irrigue le long-métrage et le nombre de guests qu’il aligne, ça n'aurait pas détoné plus que ça).

Toujours au rayon "j’en passe et des meilleures", je pourrais aussi évoquer le rôle tenu par un Michael Shannon mauvais comme un cochon (si-si, c'est possible) qui avec sa chevelure dans le vent filmée au ralenti m’a furtivement fait penser à Antonio Banderas en Mariachi (j’en connais qui seraient brusquement prêt à braver toutes ces épreuves juste pour voir à quoi ça ressemble). Et je ne parle même pas de l’ambiance sonore dans laquelle baigne le métrage qui donne l’impression d’écouter un juke-box complètement déréglé sautant d’une pop-song vintage toute en légèreté à un rock ultra braillard, en passant par une reprise à la sauce nippone du "Holding Out For A Hero" de Bonnie Tyler, déjà pas fameux à la base avec son tempo ultra syncopé et ses "ouh-ouh-ouh" à profusion, qui prend ici une autre dimension.

Heureusement que dans cette tambouille pas franchement digeste brille un Brad Pitt toute en désinvolture et classe naturelle qui permet de sauver un tant soit peu les meubles (bien aimé aussi l’assassin incarné par Aaron "Kick-Ass" Taylor-Johnson, assez savoureux avec sa petite moustache et son accent british). Parce que même avec ses bastons à gogo au demeurant plutôt bien mises en scène, il faut être sacrément endurant pour se farder sans broncher les 2H07 de ce truc certes clinquant mais totalement creux que je rebaptiserais bien Bullshit Train au passage (... à niveau, okay je sors ). Film qu’une amie qui m'accompagnait hier et auprès de laquelle je me suis excusé pour avoir su choisir une si jolie perle a d'ailleurs qualifié de "tellement mauvais qu’il en devient presque bon" (j’ai rajouté le "presque" qu’elle a oublié, très éreintée elle aussi au sortir de la projection). Hâte d'enchaîner sur le visionnage ce soir de The Gray Man des frères Russo, eux aussi extrêmement doués, qui je le sens a des chances de m'enthousiasmer tout autant

Carter (Netflix) (4/10) : épuisant.
Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? (5/10)
Buzz l'éclair (5/10)

L’année du requin : 6,5/10

Bullet train 6/10

Thor : Love and Thunder : 0.5/10