Classement des sorties VOD/DTV/Cinéma 2021 [clos]

[origan42]

House of Gucci : 6,5/10

[Flavia]

Promising Young Woman : 7/10

[Spongebob]

Les Amours d'Anaïs : 7/10

[Roilo Pintu]

Titane - Julia Ducournau : 3/10
Film excessif qui tombe régulièrement dans le ridicule ; entre ses multiples références, son ambiance voulue comme oppressante, Titane est à l’image de son héroïne, une coquille vide qui recueille les fantasmes de violences graphiques. Le film aurait pu être drôle et distrayant, mais Ducournau fait tomber son film dans un drame familiale où il m’est difficile de m’intéresser à ses personnages. Alexia reste insignifiante, du début jusqu’à la fin, la faute à un scénario qui m’a paru dénuer de sens, alors que son actrice s’implique à 200%.

Annette - Leos Carax : 3/10
Trop long, assez prétentieux, Annette est pour moi une horreur musicale qui tombe à plat, malgré une première scène qui m’a immédiatement happé. Les chansons suivantes sont assez répétitives et lassantes, une seule et même ligne qui devient grinçante, à mesure que le film avance, le point culminant de non retour étant pour moi le personnage d’Annette, qui a provoqué en moi une réaction viscérale re rejet. L’expérience pour terminer ces 140 minutes n’en fut que plus difficile. Adam Driver domine totalement le film et noie dans tous les sens du terme la présence de la fade Marion Cotillard.

Les 2 Alfred - Bruno Podalydès : 7/10
Très agréable plongée avec Podalydès dans le monde du travail à l’ère de la start-up nation, pas si caricaturale, l’ubérisation de la société à peine grossie, les compromis pour trouver et maintenir son emploi... Les petits moments de plaisir sont réguliers, la satire du franco-anglais est savoureuse. C’est très sage et peu grinçant, mais le tout est empaqueté en 1h30 et de manière assez légère. Parfois, il n’en faut pas plus.

Julie (en 12 chapitres) - Joachim Trier : 7,5/10
La personnalité de Julie explorée dans une douzaine de courts métrages qui balaient les registres, de la comédie au drame, du merveilleux au tragique. Un voyage coloré par la joie mais aussi parfois les regrets. Une très belle surprise, racontée de manière singulière et portée par une actrice que j'ai rapidement envie de revoir, Renate Reinsve est rafraichissante, amusante, touchante, irréfléchie, craquante (!)

[Supfiction]

Titane - Julia Ducournau : 3/10
Film excessif qui tombe régulièrement dans le ridicule ; entre ses multiples références, son ambiance voulue comme oppressante, Titane est à l’image de son héroïne, une coquille vide qui recueille les fantasmes de violences graphiques. Le film aurait pu être drôle et distrayant, mais Ducournau fait tomber son film dans un drame familiale où il m’est difficile de m’intéresser à ses personnages. Alexia reste insignifiante, du début jusqu’à la fin, la faute à un scénario qui m’a paru dénuer de sens, alors que son actrice s’implique à 200%.

Annette - Leos Carax : 3/10
Trop long, assez prétentieux, Annette est pour moi une horreur musicale qui tombe à plat, malgré une première scène qui m’a immédiatement happé. Les chansons suivantes sont assez répétitives et lassantes, une seule et même ligne qui devient grinçante, à mesure que le film avance, le point culminant de non retour étant pour moi le personnage d’Annette, qui a provoqué en moi une réaction viscérale re rejet. L’expérience pour terminer ces 140 minutes n’en fut que plus difficile. Adam Driver domine totalement le film et noie dans tous les sens du terme la présence de la fade Marion Cotillard.

Les 2 Alfred - Bruno Podalydès : 7/10
Très agréable plongée avec Podalydès dans le monde du travail à l’ère de la start-up nation, pas si caricaturale, l’ubérisation de la société à peine grossie, les compromis pour trouver et maintenir son emploi... Les petits moments de plaisir sont réguliers, la satire du franco-anglais est savoureuse. C’est très sage et peu grinçant, mais le tout est empaqueté en 1h30 et de manière assez légère. Parfois, il n’en faut pas plus.

Julie (en 12 chapitres) - Joachim Trier : 7,5/10
La personnalité de Julie explorée dans une douzaine de courts métrages qui balaient les registres, de la comédie au drame, du merveilleux au tragique. Un voyage coloré par la joie mais aussi parfois les regrets. Une très belle surprise, racontée de manière singulière et portée par une actrice que j'ai rapidement envie de revoir, Renate Reinsve est rafraichissante, amusante, touchante, irréfléchie, craquante (!)

J’approuve en bloc (même si je me suis épargné Titane).

[Roilo Pintu]

Oui tu peux te l'épargner, sauf à être curieux, notamment pour le voir sous l'angle "Palme d'or".
Ducournau échoue aussi bien sur l'esthétique que le narratif, c'est lourd et pesant. Déjà qu'elle avait un peu carte blanche, car elle avait un peu la carte, je n'ose imaginer ce que sera son troisième film (je n'ai pas plus aimé Grave).

[Wile E.]

Mandibules (2020) / Quentin Dupieux _ 6

Tout ce qui tourne autour de la mouche et de son dressage par Jean-Gab (David Marsais) est génial et très drôle.
Malheureusement quand Manu (Grégoire Ludig) et Agnès (Adèle Exarchopoulos) se mettent à parler ça vire à l'agaçant voir l'insupportable.

[Flavia]

House of Gucci : 5/10

[origan42]

Compartiment n°6 : 6,5/10

Burden : 8/10

[Boubakar]

Candyman : 4/10

[Wulfa]

Rouge, Farid Bentoumi : 6/10.

[origan42]

Free Guy : 7,5/10

[Roilo Pintu]

France – Bruno Dumont : 4/10
La réflexion sur le monde contemporain, l’hyper présence des médias, l’info-spectacle, la perte de valeurs, même si le réalisateur force volontairement le trait, l’ensemble sonne faux, la charge reste factice, grâce à la surestimée Léa Seydoux qui joue sa gamme habituelle et ne semble pas plus croire que moi à son parcours de rédemption. Une approche qui repose sur une scène d’ouverture ratée, une répétition à outrance des situations et des caricatures qui affaiblissent le propos. Chiant.

Drive my car – Ryūsuke Hamaguchi : 5/10
Beaucoup trop intellectuel et pas assez d’émotions, la magie n’opère pas du tout sur moi, j’ai suivi le film à distance. Spectacle de personnages presque déshumanisés, « presque » car la relation de Misaki et Yusuke apportent des choses plaisantes sur les rares échanges qui nourrissent une relation quasi muette, mais cela reste rare. Une exigence narrative sur laquelle j’ai du mal à me plier, les scènes de lecture sont répétitives et la récompense de cette représentation multilingues compense bien trop peu.
(J’ai toujours adoré la Saab 900)

Oranges sanguines – Jean-Christophe Meurisse : 6,5/10
Le film enchaine les situations absurdes avec une futilité et une liberté surprenante, avance pas à pas vers des scènes qui sont arrivées à me prendre de revers, parfois de manière assez perturbante. Ça ressemble plus à une succession de sketchs qui racontent au final assez peu, qu’à un ensemble cohérent, une histoire ; mais j’ai aimé être surpris par ce chaos noir et nihiliste qui ne ménage ni le spectateur, ni ses personnages.

[origan42]

Lui : 0,5/10...

[Addis-Abeba]

-Merrick:

Pachydermique ...


1/10