Dvdclassik : cinéma et DVD

Je cherche un topic où l’on parle des « jeunes » actrices mais il ne semble pas y en avoir..
Tu pourrais nous expliquer pourquoi tu trouves Léa si nulle.

Elle dégage rien.
Y'a qu'à voir dans le Bond...c'est sensé être une James Bond girl ça ?

Pas la peine d'ouvrir un topic spécifique pour ça : elle ne dégage strictement rien, ne sait pas articuler et fait toujours la même tête.

Allez hop, revenons-en à Anaïs.

Erreur de quote.

Billy Budd a écrit : ↑13 mars 21, 21:06

Supfiction a écrit :

Avec son rôle antipathique dans La fille au bracelet, elle a pour la première fois l’occasion de briser cette image. Cela avait commencé doucement dans La villa et dans Gloria Mundi dans lesquels elle est bien en plus exactement la copine exemplaire.

As-tu déjà assisté à un procès d’assises ?

Je l’ai trouvée très juste, comme tout le film.

Tu te méprends. C’est Rick Blaine qui a critiqué Anaïs Demoustier, pas moi.

Cela m’apprendra à quoter sur mon téléphone ; désolé, je rectifierai dès que je serai sur mon ordinateur.

Rick Blaine a écrit : ↑14 sept. 20, 17:20

Supfiction a écrit : ↑14 sept. 20, 16:44 Avec son rôle antipathique dans La fille au bracelet, elle a pour la première fois l’occasion de briser cette image.

Occasion manquée car elle est la seule faiblesse de ce film plutôt très réussi par ailleurs. Elle n'est pas crédible une seconde dans ce rôle de procureur.
Plus globalement, et indépendamment des considérations du premier poste, je demande a être convaincu de son talent d'actrice. Pour l'instant, je reste très circonspect.

As-tu déjà assisté à un procès d'assises ?

Je la trouve très juste, comme tout le film d'ailleurs.

Billy Budd a écrit : ↑13 mars 21, 23:55

Rick Blaine a écrit : ↑14 sept. 20, 17:20 Occasion manquée car elle est la seule faiblesse de ce film plutôt très réussi par ailleurs. Elle n'est pas crédible une seconde dans ce rôle de procureur.
Plus globalement, et indépendamment des considérations du premier poste, je demande a être convaincu de son talent d'actrice. Pour l'instant, je reste très circonspect.

As-tu déjà assisté à un procès d'assises ?

Je la trouve très juste, comme tout le film d'ailleurs.

Non, jamais. Disons que j'ai eu l'impression qu'elle manquait un peu d'étoffe dans le rôle, du point de la dramaturgie du film.
Côté réalisme, je ne sais pas effectivement.

En parlant de la Fille au Bracelet (et de l'actualité récente des Césars), j'ai été déçu de constater que le film n'aura finalement recueilli que deux maigres nominations. Certes, il y a une statuette au bout ("meilleure adaptation") mais elle semble très incongrue : le réalisateur raconte n'avoir même pas vu Acusada (film honorable mais très éloigné de celui qui nous intéresse ici), l'initiative venant du producteur qui aurait juste soufflé à S. Demoustier le point de départ d'une 'intrigue.

Le "problème" pour l’Académie venait sûrement du fait que deux des interprètes principaux avaient déjà été couronnés l'an passé (Zem/A. Demoustier), mais franchement je les ai trouvés tellement excellents que cela ne m'aurait pas choqué de les voir encore nominés cette année. Et puis, c'est sans compter la très grand interprétation de Chiara Mastroianni !

C'est nul doute mon film préfèré de 2020 en salles !

Anaïs Demoustier alert

On dirait qu'elle joue dans Fumer Fait Tousser de Quentin Dupieux :

tchi-tcha a écrit : ↑4 déc. 22, 20:40
...sur la note de 6,5, il y a un demi-point pour Anaïs Demoustier

Rom a écrit : ↑5 déc. 22, 20:23
Reste Anaïs (émojicoeursdanslesyeux), encore parfaite en belle écervelée...

TheGentlemanBat a écrit : ↑5 déc. 22, 22:36
Tombé également sous le charme de l'actrice, que j'avoue presque découvrir vu que je suis très modérément consommateur de cinéma français.

Bonus : une interview sur France Inter quand Léa Salamé la laisse parler

J'ai toujours aimé Anais Demoustier, mais dans la Bête dans le Jungle, elle donne quasi toute sa note au film. Non je rigole j'ai beaucoup aimé ce film qui m'a littéralement happé dans son histoire et surtout dans son ambiance.

Mais Anais, mon Dieu, quelle prestance, quelle beauté

La chef-opératrice Celine Bozon a capté avec justesse le visage et la lumière chez elle. Dans un conte transformiste comme celui-là, c'est assez exceptionnelle. Le film de Patric Chiha possède une confiance absolue à sa mis en scène, j'ai beaucoup pensé à Don Juan de Serge Bozon.

Après, il y a pas de juste milieu : au pire on comprend rien au film (ce qu'on me fait comprendre deux lycéennes à la sortie de la salle, fan d'Anäis Demoustier, mais qui ont pas capté la démarche de ce film), au pire on l'accepte totalement. Et quand on connait le milieu de la nuit, du Rex Club à la Concrete en passant les teufs de 1er mai, dans l'histoire, l'harmonisation à sa déchéance ne peux que ce finir comme cela.

Séance de rattrapage pour Les amours d'Anaïs :

https://www.arte.tv/fr/videos/109066-00 ... s-d-anais/

Replay disponible jusqu'au 5 octobre seulement, il ne faudra donc pas trop tarder pour voir Anaïs Demoustier virevolter et illuminer l'écran (en un mot, elle y est radieuse).