Mais il t'a fait quoi concrèment, le J.J. ? Brûlé ton chien ? Tabassé ta grand-mère ?
(t'as vu, ça marche très bien)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
hansolo a écrit : ↑26 août 20, 18:28 Le Premier ministre Jean Castex a annoncé ce mercredi 26 août, que le port du masque allait devenir obligatoire dans les salles de spectacle et de cinéma à la rentrée
https://amp.ouest-france.fr/culture/cor ... ce-6948827
hansolo a écrit : ↑26 août 20, 18:28 Le Premier ministre Jean Castex a annoncé ce mercredi 26 août, que le port du masque allait devenir obligatoire dans les salles de spectacle et de cinéma à la rentrée
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Ah bah même pas... C'est pas neuf mais je suis tombé là-dessus :Major Tom a écrit : ↑23 août 20, 13:07 Si l'on en croit le merveilleux """"philosophe"""" qu'est Michel Onfray ( ), je crois qu'on pourrait résumer en disant que le grand cinéma n'a de toute façon plus d'avenir depuis son passage à la couleur quasiment et sa reconversion comme outil de propagande américaine
Je crois qu'il est la "figure médiatique" (appelons-le comme ça) que je déteste le plus...Le vitrail de la révolution russe
La vérité de la révolution bolchevique n’est pas dans Octobre, le film de Sergueï Eisenstein, mais dans l’Archipel du goulag, le récit d’Alexandre Soljenitsyne.
Le cinéma est un art funeste qui exige beaucoup d’argent ; de ce fait, il n’a guère souci de la vérité. En mars 1951, Benjamin Péret écrivait dans « Contre le cinéma commercial » : « Création et argent sont à jamais ennemis. »
Le cinéma est à mes yeux l’art d’après la fin de l’art ; il permet de substituer la fiction à la réalité, la légende à l’histoire, le mythe à la clarté, le virtuel au réel, l’intelligible au sensible, l’idée au concret, la fantaisie à la rationalité, les fariboles et les fadaises à l’authentique matière du monde.
Longtemps le cinéaste propagandiste Eisenstein a fait la loi en imposant des images d’une révolution d’Octobre héroïque abondamment commentées dans les ciné-clubs du monde libre qui vantaient les mérites du monde rouge d’en face dans lequel aucun de ses thuriféraires n’était pourtant allé habiter. On mesure mal combien le cinéma est une activité d’abolition de la vérité au profit d’une substitution de fictions qui deviennent plus vraies que le vrai.
Le cinéma a été, il est et il sera l’instrument de prédilection du nihilisme.
C'est un "best of"? Il a quand même pas balancé tout ça d'un coup?Major Tom a écrit : ↑30 août 20, 15:59Ah bah même pas... C'est pas neuf mais je suis tombé là-dessus :Major Tom a écrit : ↑23 août 20, 13:07 Si l'on en croit le merveilleux """"philosophe"""" qu'est Michel Onfray ( ), je crois qu'on pourrait résumer en disant que le grand cinéma n'a de toute façon plus d'avenir depuis son passage à la couleur quasiment et sa reconversion comme outil de propagande américaine
Je crois qu'il est la "figure médiatique" (appelons-le comme ça) que je déteste le plus...Le vitrail de la révolution russe
La vérité de la révolution bolchevique n’est pas dans Octobre, le film de Sergueï Eisenstein, mais dans l’Archipel du goulag, le récit d’Alexandre Soljenitsyne.
Le cinéma est un art funeste qui exige beaucoup d’argent ; de ce fait, il n’a guère souci de la vérité. En mars 1951, Benjamin Péret écrivait dans « Contre le cinéma commercial » : « Création et argent sont à jamais ennemis. »
Le cinéma est à mes yeux l’art d’après la fin de l’art ; il permet de substituer la fiction à la réalité, la légende à l’histoire, le mythe à la clarté, le virtuel au réel, l’intelligible au sensible, l’idée au concret, la fantaisie à la rationalité, les fariboles et les fadaises à l’authentique matière du monde.
Longtemps le cinéaste propagandiste Eisenstein a fait la loi en imposant des images d’une révolution d’Octobre héroïque abondamment commentées dans les ciné-clubs du monde libre qui vantaient les mérites du monde rouge d’en face dans lequel aucun de ses thuriféraires n’était pourtant allé habiter. On mesure mal combien le cinéma est une activité d’abolition de la vérité au profit d’une substitution de fictions qui deviennent plus vraies que le vrai.
Le cinéma a été, il est et il sera l’instrument de prédilection du nihilisme.
(en creux, les acteurs de théâtre seront masqués ...)La ministre de l’Écologie a rappelé qu’un décret avait déjà été pris pour dispenser « les chanteurs d’opéra » du port du masque.
De combiner une obligation du port du masque avec la disparition de l'obligation de distanciation sociale dans la salle (en dehors des personnes qui viennent ensemble) : concretement, c'est pour autoriser à nouveau des salles sans sieges "condamnés" ...
"Allez au cinéma, allez au théâtre, vous ne craignez rien", a exhorté le Premier ministre, dans l'espoir de doper la fréquentation en augmentant la capacité d'accueil.
Cela pourrait représenter 850k entrées en moins d'une semaine chez nous, soit un des meilleurs démarrages de Nolan.
L'orientation purement économique des recommandations pour les cinémas est de plus en plus transparente, effectivement : les salles peuvent de nouveau être remplies à 100%, et en plus, tout est fait pour qu'elles puissent vendre comme avant des confiseries et cie aux spectateurs. On est très très loin d'une orientation sanitaire, mais bon, faut choisir ses priorités, je suppose.
C'est au contraire totalement cohérent : éliminer les jauges de remplissage, mais trouver une parade pour le justifier. Ce qui est, en fait, exactement ce qu'avait tenté le Puy du fou (mais comme ça se voyait de trop et qu'ils faisaient vraiment n'imp, ça a fini par se voir).