Ah oui ok, tu préfères l'approche numérique dite "moche", quoi.

Moderators: cinephage, Karras, Rockatansky
Ah oui ok, tu préfères l'approche numérique dite "moche", quoi.
Cool que cela t'ait autant plu !Spongebob wrote: ↑16 Sep 20, 10:37 Adolescentes : 8,5/10
5 ans de tournage, 500 heures de rushs, 1 an de montage pour ce formidable documentaire sur deux amies adolescentes que tout oppose. Sébastien Lifshitz filme avec pudeur cinq ans de leur vie, de 13 ans à 18 ans, de la quatrième à la terminale. Cinq années résumées en deux heures qui passent comme un éclair. Le cinéaste parvient à capter les angoisses, les espoirs et la mélancolie propres à l'adolescence. C'est à la fois très drôle et très touchant tout en étant intelligent. Les deux "personnages" venant de milieux complètement opposés on ne peut s'empêcher de les comparer et de se demander quelle place occupe le déterminisme social dans leur parcours scolaire. Un coming of age movie qui m'a beaucoup fait penser au Boyhood de Linklater. Gros coup de coeur du mois.
Flol, il faut absolument que tu vois ce film !
On l’avait dit que tu allais poiler.Flol wrote: ↑18 Sep 20, 11:58 Get Duked ! : 6.5/10
Très fun. Bon, pas autant que je l'espérais (surtout après un tel départ en fanfare, les 10 premières minutes sont vraiment hilarantes), avec notamment un petit coup de mou aux 2 tiers du film, mais je me suis globalement plutôt bien poilé (et l'aspect hip hop apporte un petit plus pas désagréable).
Pas inoubliable mais vraiment cool.
Sans avoir vu le film, c'était quand même un peu cryptique ce DJ Betterave.Supfiction wrote: ↑18 Sep 20, 12:15On l’avait dit que tu allais poiler.Flol wrote: ↑18 Sep 20, 11:58 Get Duked ! : 6.5/10
Très fun. Bon, pas autant que je l'espérais (surtout après un tel départ en fanfare, les 10 premières minutes sont vraiment hilarantes), avec notamment un petit coup de mou aux 2 tiers du film, mais je me suis globalement plutôt bien poilé (et l'aspect hip hop apporte un petit plus pas désagréable).
Pas inoubliable mais vraiment cool.
Malheureusement, je constate aussi que l’esthétique des productions numériques issues des plateformes SVOD partagent pas mal de points communs. Ce rendu très plat, lisse, cette absence de matière, un rendu d’image que je qualifierai de mou, avec peu de contrastes et de dégradés francs, appuyés entre les plans ou les éléments. Il s’agit de faire une image qui puisse être vue sur les TV et smartphones, (dé)réglages compris. Et la compression rajoute une couche. On est bien loin des travaux photographiques de biens des films pensés pour la salle et le grand écran. La disparition des salles présente d’ailleurs ce risque que bien peu de monde n’a mis en avant jusque là : la disparition d’une certaine esthétique, d’un certain travail photographique qui survivra peu ou pas ou desiderata des plateformes et des supports de visionnage des consommateurs actuels.