Nestor Almendros wrote: ↑6 Sep 20, 14:00Jonathan Cohen trouve ici un personnage en or de tête à claques qu'il parvient à rendre attachant. Il est irrésistible, le film lui doit beaucoup.
Le mec est définitivement partout, c'est Camille Cottin avec une barbe.
On m’a forcé à voir une heure de Budapest en Août, je ne m’en suis pas encore remis. J’ai déjà eu ma dose de Jonathan Cohen pour un bon moment.
EUROVISION SONG CONTEST: THE STORY OF FIRE SAGA : 3/10
Bien trop long et pas drôle (on a dû sourire 3/4 fois), souvent affligeant même, un gros plantage donc.
Point positif, ils ont casé 3 titres de Sigur Ros dans la BO du dernier quart.
En AVP : ADIEU LES CONS : 5.5/10
Ça fait longtemps qu'on a l'habitude de dire qu'Albert Dupontel s'est assagi (je m'étais même pris une volée de bois vert lorsque je lui avais posé une question sur ce changement en 2009 lors d'une AVP du "Vilain"), mais en conséquence ses films ont perdu en folie et grandement en intérêt. Bref, malgré sa courte durée le film tire sur la longueur et, à part une séquence assez émouvante dans le dernier quart je n'en garde pas grand chose...
Scooby Doo version Trainspotting. La première partie est amusante, puis ça part dans un délire totale et trash comme seuls Les anglais savent faire. Flol DJ Betterave va adorer. Il y a même du fond avec le fossé entre générations et la culture snow flakes.
Ça a un petit côté Breakfast Club 2020.
I'm Thinking of Ending Things : 8/10
Un véritable mindfuck labyrinthique aux allures de cauchemar fascinant et angoissant (certaines séquences sont dignes des plus grands films d'horreur).
J'ai été un peu moins emporté par la fin (et sa partie dansée), mais globalement Kaufman m'a vrillé la tête comme rarement. Ce que ça raconte sur la dépression, sur le fait de se sentir hors du monde, à l'écart, et tout ça par sa mise en scène (les regards caméra hyper troublants de Jessie Buckley), ses dialogues et sa gestion de la voix-off, c'est prodigieux.
Quel plaisir de pur cinéma, où l'on ne comprend pas tout, mais où l'on se perd avec délectation.