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Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 14:34
par Supfiction
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Dudley Moore (1935–2002)
Un acteur comique pour lequel j’ai beaucoup d’affection en dépit de films souvent inégaux.
Elle (10), Arthur contiennent de nombreuses scènes réjouissantes, alternant l’humour et la mélancolie du quadragénaire vieillissant..


Micki + Maude:
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtopic.php?t=6155


J’ouvre ce topic à la découverte dans le Top 15 Philippe Sarde l’existence de ce Lovesick (1983) de Marshall Brickman au casting réjouissant (Dudley Moore, Elisabeth McGovern, Alec Guiness, John Huston!). J’imagine bien que ce n’est pas un grand film mais j’aimerai beaucoup le découvrir. Quelqu’un l’a vu ?

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A titre de curiosité également, Mon père c’est moi avec Kirk Cameron et Sean Astin qui reprend sans originalité le concept inépuisable de Freaky Friday.
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Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 14:59
par Major Tom
Supfiction a écrit :J’ouvre ce topic à la découverte dans le Top 15 Philippe Sarde l’existence de ce Lovesick (1983) de Marshall Brickman au casting réjouissant (Dudley Moore, Elisabeth McGovern, Alec Guiness, John Huston!). J’imagine bien que ce n’est pas un grand film mais j’aimerai beaucoup le découvrir. Quelqu’un l’a vu ?
Bah moi, du coup. :lol: Oui hélas, comme on peut s'y attendre, ce n'est pas exceptionnel. Une comédie romantique réalisée façon téléfilm, où on s'ennuie et où on ne sourit pas. Le casting lui-même semble s'ennuyer (Guiness et Huston cachetonnent quoi) et c'est quand même dommage. Du coup, la rareté du film ne me paraît pas franchement surprenante.

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 15:11
par Boubakar
Major Tom a écrit :
Supfiction a écrit :J’ouvre ce topic à la découverte dans le Top 15 Philippe Sarde l’existence de ce Lovesick (1983) de Marshall Brickman au casting réjouissant (Dudley Moore, Elisabeth McGovern, Alec Guiness, John Huston!). J’imagine bien que ce n’est pas un grand film mais j’aimerai beaucoup le découvrir. Quelqu’un l’a vu ?
Bah moi, du coup. :lol: Oui hélas, comme on peut s'y attendre, ce n'est pas exceptionnel. Une comédie romantique réalisée façon téléfilm, où on s'ennuie et où on ne sourit pas. Le casting lui-même semble s'ennuyer (Guiness et Huston cachetonnent quoi) et c'est quand même dommage. Du coup, la rareté du film ne me paraît pas franchement surprenante.
Je vois que Dudley Moore a eu parallèlement une carrière de compositeur, notamment sur Fantasmes, ce qui être assez rare dans le domaine : https://www.imdb.com/name/nm0001545/#composer

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 15:14
par Major Tom
Boubakar a écrit :Je vois que Dudley Moore a eu parallèlement une carrière de compositeur, notamment sur Fantasmes, ce qui être assez rare dans le domaine : https://www.imdb.com/name/nm0001545/#composer
D'ailleurs dans Elle (Ten, pour le coup une comédie romantique très réussie, Edwards aux manettes oblige), il jouait le rôle d'un compositeur. ;)

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 15:36
par cinéfile
Supfiction a écrit :
Un comique américain pour lequel j’ai beaucoup d’affection en dépit de films souvent inégaux.
Je me permets une petite rectification : Dudley Moore était britannique.

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 15:49
par Supfiction
cinéfile a écrit :
Supfiction a écrit :
Un comique américain pour lequel j’ai beaucoup d’affection en dépit de films souvent inégaux.
Je me permets une petite rectification : Dudley Moore était britannique.
Oups. Merci. En plus quand on l’entend cela ne fait pas trop de doutes.

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 16:07
par cinéfile
Supfiction a écrit :
cinéfile a écrit :
Je me permets une petite rectification : Dudley Moore était britannique.
Oups. Merci. En plus quand on l’entend cela ne fait pas trop de doutes.
Dans Ten par exemple, cela crée de facto un décalage assez savoureux : le petit roquet british au milieu des palmiers californiens avec son accent pas possible lol , sa peur panique des coups de soleil avec sa peau de "rosbeef" etc. Le déphasage du personnage joue à plusieurs niveaux : générationnel, culturel... Un film vraiment chouette, très mélancolique au fond.

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 18:30
par Martine Cachet
Je suis désolé de casser l’ambiance mais Dudley Moore ne joue pas dans Le Brise-Coeur, c’est Charles Grodin...

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 19:15
par Supfiction
Martine Cachet a écrit :Je suis désolé de casser l’ambiance mais Dudley Moore ne joue pas dans Le Brise-Coeur, c’est Charles Grodin...
:oops: J'ai surement fait cette confusion pour les similarités entre Le brise-coeur et Ten.

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 14 avr. 19, 19:20
par A serious man
Je ne connais pas (encore) ses films mais je suis fan des parodies musicales du bonhomme:

https://www.youtube.com/watch?v=SIFzbLE6bHU

(La plus connue et la meilleure a mon sens! mais on en trouve aussi sur Britten, Fauré ou Schubert)

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 15 avr. 19, 12:13
par Flol
cinéfile a écrit :
Supfiction a écrit :
Un comique américain pour lequel j’ai beaucoup d’affection en dépit de films souvent inégaux.
Je me permets une petite rectification : Dudley Moore était britannique.
Je me permets quant à moi un petit ajout d'information : Dudley Moore a longtemps été l'alias de nul autre que Michel Sardou.

Re: Dudley Moore (1935–2002)

Publié : 15 mars 24, 08:54
par manuma
SIX WEEKS (1982)

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Ecrit par le scénariste de The Omen, un gros, gros mélo, façon L'arbre de Noël, épicé d'une histoire d'amour interdite (entre le personnage principal et la mère de la jeune enfant malade, je précise) qui, sans faire d'étincelles, franchit le seuil du regardable dans le genre. C'est assez improbable par moment, la gamine est bien trop futée pour son âge, mais l'ensemble est sauvé par quelques belles prises de vue du New York du début des années 80 et surtout un Tony Bill qui croit en ce qu'il raconte, abordant le genre simplement et frontalement. Côté interprétation, Dudley Moore est moins agaçant que d'habitude (moins cabotin, quoi...) et, même si je m'en veux de dire ça, la jeune actrice a une trombine un brin particulière.