Ah oui... Lene Lovitch, je me souviens.
Idem pour Pat Benatar. J'avais même acheté le 33 tours (avant de m'en débarrasser... enfin, je pense).
Et bien sûr Edith Nylon ! Le clip m'a rafraîchi la mémoire.
Gerry Rafferty me ramène plutôt au début de l'année scolaire 78-79 avec "Baker Street" ! (1er au hit-parade français en septembre !)
Marianne Faithfull, je n'aimais pas son timbre.
A propos de Hit-Parade, j'ai cette bible :
Karras a écrit :
Commissaire Juve a écrit :Hein ? 1979... avec Demis Roussos, Julio Iglesias, Chantal Goya et j'en passe... et pas "My Sharona" ???
Effectivement, il y a quelques lacunes dans cette compil. J''ai retrouvé à quelle moment ça passait sur un blog qui liste les tops des années 70, The Knack c'était plutôt à la fin de l'année (novembre-décembre).
D'après le bouquin ci-dessus, "My Sharona" était 10e des ventes en octobre et 3e en novembre.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Commissaire Juve a écrit :
Gerry Rafferty me ramène plutôt au début de l'année scolaire 78-79 avec "Baker Street" ! (1er au hit-parade français en septembre !)
C'est bizarre, j'aurais pensé que c'était plus vieux que cela (des idées comme ça), donc, du coup, si la chanson cartonnait au hit parade de l'automne 78, on entendait en même temps (et sans arrêt) la chanson-titre de Grease par Frankie Valli, dont je raffolais:
Mais j'ai toujours aimé la chanson de Rafferty avec sa dimension un peu rêveuse, pleine de sensations plus ou moins secrètes, plus ou moins enfouies. C'est une chanson qui me rendait nostalgique avant même que je sache ce que ça voulait dire (je commençais ma 5ème).
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :
Mais j'ai toujours aimé la chanson de Rafferty avec sa dimension un peu rêveuse, pleine de sensations plus ou moins secrètes, plus ou moins enfouies. C'est une chanson qui me rendait nostalgique avant même que je sache ce que ça voulait dire (je commençais ma 5ème).
"Baker Street" dans mon top 5 de mes chansons préférées. Gainsbourg en disait beaucoup de bien : "C'est une des plus belles chansons que j'ai jamais entendue. Dans vingt ans je crois que je la garderai comme une perfection".
Autre tube de l'année 78 qui me reviens ( mais j'aimais bien Frankie Valli aussi )
Karras a écrit :"Baker Street" dans mon top 5 de mes chansons préférées. Gainsbourg en disait beaucoup de bien : "C'est une des plus belles chansons que j'ai jamais entendue. Dans vingt ans je crois que je la garderai comme une perfection".
Ouahhh...
Mais c'est vrai qu'elle a et a toujours eu quelque chose qui n'a pas d'équivalent. Elle est belle parce qu'étrange et introvertie, comme si le chanteur nous confiait un secret.
Mais il est rappelé dans le texte que tu as posté que ça a été un immense tube "quelque peu oublié aujourd'hui", donc ce serait raccord avec le topic. Personnellement, j'aurais pas dit oublié.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Un album très sympa que j'écoute encore de temps en temps. Avec un clip de GOndry qui débutait. Le groove est toujours là.
Peter kItsh
Dad laisse moi conduire la cad
Karras a écrit :"Baker Street" dans mon top 5 de mes chansons préférées. Gainsbourg en disait beaucoup de bien : "C'est une des plus belles chansons que j'ai jamais entendue. Dans vingt ans je crois que je la garderai comme une perfection".
Ouahhh...
Mais c'est vrai qu'elle a et a toujours eu quelque chose qui n'a pas d'équivalent. Elle est belle parce qu'étrange et introvertie, comme si le chanteur nous confiait un secret.
Mais il est rappelé dans le texte que tu as posté que ça a été un immense tube "quelque peu oublié aujourd'hui", donc ce serait raccord avec le topic.
Ah tu découvres que ce qui est cité dans ce topic c'est du grand n'importe quoi depuis le début?
AtCloseRange a écrit :Ah tu découvres que ce qui est cité dans ce topic c'est du grand n'importe quoi depuis le début?
Ni plus, ni moins que dans le topic : "Les films que vous trouvez largement surestimés".
Ce sont des topics où tout le monde amène son pique-nique.
Souviens-toi aussi du topic "Ces films que vous êtes le seul à aimer" : c'est un peu la même chose. Des auberges espagnoles!
Mais là, c'est sympa, on écoute de la musique (enfin, de la musique, pas toujours ).
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
A propos de Kirsten Dunst... dans "Bachelorette", on entend "500 Miles" de The Proclaimers (1988). On l'entend aussi dans "Cadavres à la pelle" de John Landis.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...