Dvdclassik : cinéma et DVD

A nos amours, l’enfance nue, nous ne vieillirons pas ensemble, passe ton bac d’abord, la gueule ouverte et Loulou dispo dès le 22 décembre sur Prime. Des Yves Robert aussi.

odelay a écrit : ↑1 déc. 20, 18:47 A nos amours, l’enfance nue, nous ne vieillirons pas ensemble, passe ton bac d’abord, la gueule ouverte et Loulou dispo dès le 22 décembre sur Prime. Des Yves Robert aussi.

Ils annoncent même l’intégrale pour Yves Robert.

S’ils pouvaient acheter des classiques plutôt que de produire des films de merde, ce serait cool.
Ça devrait rentrer dans leurs obligations légales en fait.

Ben c’est ce qu’ils font, la preuve. Il y en a pas mal sur prime.

Oui.
On a chaque mois de nouveaux classiques français et étrangers mis à dispo.
Pour 4€ par mois (avec en plus la livraison rapide incluse) c'est imbattable

Supfiction a écrit : ↑23 déc. 20, 14:06 S’ils pouvaient acheter des classiques plutôt que de produire des films de merde, ce serait cool.
Ça devrait rentrer dans leurs obligations légales en fait.

Ça tombe bien, c'est exactement ce que signalent les 2 messages précédant le tien

"Intégrale" Yves Robert en ce moment(21 films!) .
Un très sympa Courage, fuyons! Notamment, avec un délicieux Rochefort et une sublime Deneuve...

The two jakes est là.

J'adore la classification par genre d'Amazon Prime...

Surprise très intéressante, Hotel terminus de Marcel Ophuls, docu de 4h15 sur Klaus Barbie vient d’être ajouté.

Arrivée aujourd'hui de Palm Springs, comédie romantique pour laquelle j'ai craqué à sa découverte il y a quelques mois (6ème de mon Top 10 de 2020) :


Si vous ne connaissez rien sur son sujet, essayez de la découvrir totalement vierge d'esprit.

Ah merci pour l'info ! Je l'ajoute à ma liste.

Avec un pompage/hommage/clin d’œil à Ouvre les yeux dès l’intro.

Spoiler (cliquez pour afficher)

Sans parler de Un jour sans fin évidemment (qui est devenu un genre en soi) qui est allègrement exploité.

Supfiction a écrit : ↑12 févr. 21, 12:26 Avec un pompage/hommage/clin d’œil à Ouvre les yeux dès l’intro.

Spoiler (cliquez pour afficher)

Sans parler de Un jour sans fin évidemment (qui est devenu un genre en soi) qui est allègrement exploité.

Tu vois, il n'est plus sur Salto !
Pour la référence en spoiler, oui bien sûr le concept est totalement repompé, mais d'une part j'ignorais totalement cette filiation en découvrant le film, et d'autre part ce film le transcende totalement.

Pour moi, le film n’arrive pas à la cheville de son chef-d’œuvre de modèle. Je trouve Andy Samberg totalement transparent et incapable de transmettre une émotion. Tout cela me fait penser à un super épisode spécial hommage d’une sitcom comme Community. Mais Community m’amuse beaucoup plus grâce à ses personnages loufoques, ses talentueux acteurs de comédie et sa qualité d’écriture au seconde degré.
Dommage, quelques bons moments quand même (Kate Bush en b.o., ça file inévitablement des frissons) mais globalement je n’ai pas du tout accroché.