Fulgurances et ratés
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Fulgurances et ratés
Avez-vous des exemples de films que vous estimez réussis mais plombés par des aspects bancals voire ratés?
Et au contraire des films que vous pensez globalement loupés mais traversés tout de même de fulgurances?
Comme disait Christophe Gans "on peut défendre et aimer un film pour une scène voire un plan".
Sujet passionnant, je sais...
Et au contraire des films que vous pensez globalement loupés mais traversés tout de même de fulgurances?
Comme disait Christophe Gans "on peut défendre et aimer un film pour une scène voire un plan".
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Dernière modification par mannhunter le 11 oct. 18, 10:39, modifié 3 fois.
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Re: Fulgurances et ratés...
ça commence à faire bcp non ?
en plus je suis sur qu'il doit y avoir un sujet similaire qui traine
en plus je suis sur qu'il doit y avoir un sujet similaire qui traine
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Fulgurances et ratés...
Possible!
Allez je me lance...j'aime bien le dernier Melville mais tous ceux qui l'ont vu seront peut-être d'accord pour dire qu'il y a une scène "autre" qui se cache dedans:
Le décrié "Los Angeles 2013" réserve le meilleur...pour sa fin (si, si), malgré quelques effets spéciaux "datés":
Allez je me lance...j'aime bien le dernier Melville mais tous ceux qui l'ont vu seront peut-être d'accord pour dire qu'il y a une scène "autre" qui se cache dedans:
Le décrié "Los Angeles 2013" réserve le meilleur...pour sa fin (si, si), malgré quelques effets spéciaux "datés":
Dernière modification par mannhunter le 3 oct. 15, 13:46, modifié 3 fois.
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Re: Fulgurances et ratés...
Je te fais plaisir et je dis Mother of Tearsmannhunter a écrit :Avez-vous des exemples de films que vous estimez réussis mais plombés par des aspects bancals voire ratés?
(pour de vrai )
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Re: Fulgurances et ratés...
Merci de sauver ce topic qui serait resté sinon fulgurant et raté...
Je ne sais plus quel cinéaste (non, ce n'est pas Christophe Gans ) sauvait "L'impasse" de De Palma pour ses 20 dernières minutes?
Je ne sais plus quel cinéaste (non, ce n'est pas Christophe Gans ) sauvait "L'impasse" de De Palma pour ses 20 dernières minutes?
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Re: Fulgurances et ratés...
Sinon plein de films bis sont globalement médiocre mais sauvé par UNE scène ou une idée fun (je pense à L'avion de l'apocalypse, Cannibal Ferox, etc. Même un nanar complet come Zombi 3 a quelques moments fun).
Et puis tous les produits d'exploitations évidemment, c'est même la caractéristique du genre: beaucoup de vide (plus ou moins plaisant) et une scène choc / gore / sexe qui marque. (style Ilsa, la marque du diable, Du sang pour dracula, Snuff, Cauchemar à Dayton Beach, Démons, etc. etc.)
Et puis tous les produits d'exploitations évidemment, c'est même la caractéristique du genre: beaucoup de vide (plus ou moins plaisant) et une scène choc / gore / sexe qui marque. (style Ilsa, la marque du diable, Du sang pour dracula, Snuff, Cauchemar à Dayton Beach, Démons, etc. etc.)
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Re: Fulgurances et ratés...
Il faudrait que je revoie "Phénomènes" de Shyamalan que j'avais trouvé assez loupé même s'il y avait dans mon souvenir un point de départ une scène d'intro (plan séquence?) pas si mal dans la lignée de "Frissons d'horreur" de Crispino.hellrick a écrit :Sinon plein de films bis sont globalement médiocre mais sauvé par UNE scène ou une idée fun
"Les dents de la mer 3" de Joe Alves...un plan inspiré qui faisait son petit effet en 1983...la mort de Manimal vue de l'intérieur de la bête!:
hellrick a écrit :Démons
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Dernière modification par mannhunter le 3 oct. 15, 11:33, modifié 2 fois.
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Re: Fulgurances et ratés...
Le premier qui me vient à l'esprit c'est Terreur sur la ligne de Fred Walton. L'introduction, qui dure pas moins de 20 minutes, est passionnante et super angoissante (avec la célèbre scène de "La porte qui s'ouvre" qui clôt la séquence ... pas trouvé d'autre nom) mais tout le reste du film est une banale - pour ne pas dire fatigante - enquête qui avance en dent de scie et qui ne donnera jamais de frissons aussi intense que dans son ouverture.
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Re: Fulgurances et ratés...
Non, c'est juste une rupture qui peut être effectivement surprenante/décevante. ça peut être déstabilisant mais ça aurait été impossible de toute façon de rester sur le même tempo que l'introduction. Le film prend juste une autre tournure beaucoup plus terre à terre en se plaçant à un niveau plus documentaire mais ça reste intéressant.Harkento a écrit :Le premier qui me vient à l'esprit c'est Terreur sur la ligne de Fred Walton. L'introduction, qui dure pas moins de 20 minutes, est passionnante et super angoissante (avec la célèbre scène de "La porte qui s'ouvre" qui clôt la séquence ... pas trouvé d'autre nom) mais tout le reste du film est une banale - pour ne pas dire fatigante - enquête qui avance en dent de scie et qui ne donnera jamais de frissons aussi intense que dans son ouverture.
Alors, bien sûr que l'intro est une fulgurance mais ça n'en réduit pas la qualité de ce qui suit (qui ne cherche justement pas à donner des frissons - donc difficile de lui reprocher qu'elle n'en donne pas, à part sur le final).
C'est le problème des films qui sont "vendus" d'une certaine façon. Parfois, ils ne vont pas toujours où on voudrait qu'ils aillent mais ce n'est pas forcément une mauvaise chose.
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Re: Fulgurances et ratés (De Palma and co inside)
Dans CQ, je trouve l'ensemble du film assez maladroit, mais la séquence où apparait Dean Stockwell se distingue du reste comme totalement supérieure. La caméra se pose, le dialogue est filmé avec douceur, maitrise, et une certaine inventivité (mais pas l'hystérie qui caractérise le reste du film), presque comme si c'était quelqu'un d'autre qui avait tourné cette séquence, ou comme si Roman Coppola s'était imposé des règles spécifiques pour cette séquence d'hommage à un père, je ne sais pas...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Fulgurances et ratés (De Palma and co inside)
La Vie d'un tatoué est un film plutôt sage de Seijun Suzuki et puis il y a 10 dernières minutes d'anthologie.
A revoir surtout pour ceux qui l'ont déjà vu bien sûr
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Re: Fulgurances et ratés (De Palma and co inside)
Je n'aime pas l'Important, C'est d'Aimer, mais la scène d'introduction est l'une des plus fortes que je connaisse.
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Re: Fulgurances et ratés (De Palma and co inside)
et "Possession" film raté avec ses fulgurances ou bon film avec des moments autres???
J'ai bien aimé "l'important c'est d'aimer", même s'il y a parfois des trucs irritants et "autres"...la patte Zulawski??
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Re: Fulgurances et ratés...
La galaxie de la terreur pas la peine de préciser la scènehellrick a écrit :Sinon plein de films bis sont globalement médiocre mais sauvé par UNE scène ou une idée fun (je pense à L'avion de l'apocalypse, Cannibal Ferox, etc. Même un nanar complet come Zombi 3 a quelques moments fun).
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Re: Fulgurances et ratés (De Palma and co inside)
La fin inattendue délirante et dérangeante de "Massacre au camp d'été"...déconseillé aux âmes sensibles!