Robert Redford
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Robert Redford
Pas encore de topic consacré à ce grand monsieur, tout autant talentueux devant que derrière la caméra. Voilà qui est fait. Un jour je dirais tout le bien que je pense de films tels Et au milieu coule une rivière ou encore le magnifique L'homme qui murmura à l'oreille des chevaux mais je l'ouvre ce jour pour avoir découvert sa dernière oeuvre en date en tant que réalisateur, le très beau Sous surveillance (The Company You Keep) sorti en 2012.
Alors que je pensais découvrir un thriller, je tombe sur l'histoire d'une enquête à propos d'un groupe d'activistes ayant sévi durant les années 70, leur recherche ayant fait chou blanc jusqu'à ce jour où un de leurs membres se fait arrêter. Leur passé remonte et pour ceux qui s'étaient rangés, la cavale recommence. Surtout une jolie réflexion sur l'engagement porté par un casting haut de gamme : Susan Sarandon, Brenda Gleeson, Nick Nolte, Sam Elliott mais surtout les trois personnages principaux interprétés un très bon Shia Labeouf ainsi bien évidemment que Robert Redford et Julie Christie qui, ensemble, ont la plus belle et plus intéressante séquence du film, celle de leur retrouvaille dans une cabane perdue à la frontière canadienne. Réalisation très classique, rythme assez lent mais néanmoins toujours soutenu, très belles plages musicales signées Cliff Martinez, scénario d'une belle fluidité et dialogues parfaitement bien écrits... ce n'est pas vraiment captivant mais jamais ennuyeux et surtout assez touchant. Superbe dernier plan, assez culotté pour un film grand public. Belle surprise.
Alors que je pensais découvrir un thriller, je tombe sur l'histoire d'une enquête à propos d'un groupe d'activistes ayant sévi durant les années 70, leur recherche ayant fait chou blanc jusqu'à ce jour où un de leurs membres se fait arrêter. Leur passé remonte et pour ceux qui s'étaient rangés, la cavale recommence. Surtout une jolie réflexion sur l'engagement porté par un casting haut de gamme : Susan Sarandon, Brenda Gleeson, Nick Nolte, Sam Elliott mais surtout les trois personnages principaux interprétés un très bon Shia Labeouf ainsi bien évidemment que Robert Redford et Julie Christie qui, ensemble, ont la plus belle et plus intéressante séquence du film, celle de leur retrouvaille dans une cabane perdue à la frontière canadienne. Réalisation très classique, rythme assez lent mais néanmoins toujours soutenu, très belles plages musicales signées Cliff Martinez, scénario d'une belle fluidité et dialogues parfaitement bien écrits... ce n'est pas vraiment captivant mais jamais ennuyeux et surtout assez touchant. Superbe dernier plan, assez culotté pour un film grand public. Belle surprise.
- Dale Cooper
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Re: Robert Redford
J'ai un très grand faible pour Les Experts (Sneakers) de Phil Alden Robinson, au point que c'est le premier qui me vient à l'esprit (même devant Butch Cassidy et le Kid) à l'évocation de son nom. C'était un peu son "film du retour" en tant qu'acteur (il avait tout de même fait Havana de Pollack deux ans auparavant, sinon ça faisait six ans d'absence).
Film de geeks qui piratent les banques, très ancré dans la modernité informatique de l'époque (1992), il supporte un peu difficilement le poids des années à ce niveau. Malgré tout, peu de films, même "modernes d'aujourd'hui", lui arrivent à la cheville tant il est bourré d'idées. Redford déjà vieillissant (et jouant là-dessus) est excellent, sachant alterner entre le registre dramatique et beaucoup plus comique sans jamais se planter dans l'un ou l'autre. J'arrive même à supporter la musique de James Horner où il n'a jamais autant décliné ses fameuses trois notes favorites qu'on retrouve dans presque toutes ses BO (ici c'en est même un des thèmes principaux). C'est aussi une des dernières apparitions de River Phoenix.
Film de geeks qui piratent les banques, très ancré dans la modernité informatique de l'époque (1992), il supporte un peu difficilement le poids des années à ce niveau. Malgré tout, peu de films, même "modernes d'aujourd'hui", lui arrivent à la cheville tant il est bourré d'idées. Redford déjà vieillissant (et jouant là-dessus) est excellent, sachant alterner entre le registre dramatique et beaucoup plus comique sans jamais se planter dans l'un ou l'autre. J'arrive même à supporter la musique de James Horner où il n'a jamais autant décliné ses fameuses trois notes favorites qu'on retrouve dans presque toutes ses BO (ici c'en est même un des thèmes principaux). C'est aussi une des dernières apparitions de River Phoenix.
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Re: Robert Redford
Ouais, mais vu qu'il avait réalisé Milagro entre temps, c'est pas bien grave. Quel sacré feel good movie. Son meilleur film en tant que metteur en scène, ça ne bouge pas avec les années.Dale Cooper a écrit :C'était un peu son "film du retour" en tant qu'acteur (il avait tout de même fait Havana de Pollack deux ans auparavant, sinon ça faisait six ans d'absence).
- Jeremy Fox
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Re: Robert Redford
J'aime beaucoup Milagro mais L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux me bouleverse à chaque vision. Ca reste mon préféré.El Dadal a écrit :Ouais, mais vu qu'il avait réalisé Milagro entre temps, c'est pas bien grave. Quel sacré feel good movie. Son meilleur film en tant que metteur en scène, ça ne bouge pas avec les années.Dale Cooper a écrit :C'était un peu son "film du retour" en tant qu'acteur (il avait tout de même fait Havana de Pollack deux ans auparavant, sinon ça faisait six ans d'absence).
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Re: Robert Redford
Effectivement. Son absence des écrans (4 films durant les années 80) coïncidait avec ses débuts de réalisateur, et quels débuts! (Des gens comme les autres comme premier film, ça va).El Dadal a écrit :Ouais, mais vu qu'il avait réalisé Milagro entre temps, c'est pas bien grave. Quel sacré feel good movie. Son meilleur film en tant que metteur en scène, ça ne bouge pas avec les années.Dale Cooper a écrit :C'était un peu son "film du retour" en tant qu'acteur (il avait tout de même fait Havana de Pollack deux ans auparavant, sinon ça faisait six ans d'absence).
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Re: Robert Redford
Un coup de maître pour commencer sa carrière de réalisateur: Des Gens Comme les Autres. Le reste à part Quiz Show est moyen avant de devenir sans grand intérêt avec ses derniers films (Bagger Vance, Lions et Agneaux, La Conspiration, Sous Surveillance).
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Robert Redford
J'ai vraiment revu à la hausse Lions for Lambs que je trouve réussi, plus subtil qu'il n'y paraît dans son discours, superbement interprété.
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Re: Robert Redford
Excellente initiative, l'acteur/réalisateur méritait son topic.
Premier souvenir marquant : la découverte en salle, vers 12-13 ans, du malin L'arnaque. Respect plus tard en abordant ses fructueuses collaborations avec Pollack, avec au top la période des 70's et tout en haut Les 3 jours du Condor, pour toujours l'un de mes films de chevet.
Avec la charmante Tina Chen (et une réplique que j'adore)
Amusement aussi de l'avoir vu, débutant dans quelques classiques des séries TV des 60' comme Alfred Hitchcock Presents, La 4ème dimension ou Les Incorruptibles (où il dépassait déjà son image de super beau mec et de gendre idéal puisqu'il jouait un dealer de campus).
Globalement, et même si il y aura eu un affaiblissement des dernières années, sa filmo est en béton.
Je suis loin d'en connaitre l'intégralité mais outre les Pollack, elle contient des pépites telles que Daisy Clover de Mulligan, La poursuite impitoyable de Penn (un autre de mes films préférés), le très beau western Willie Boy de Polonsky.
Et puis Les hommes du président, La kermesse des aigles, Brubaker...
Enfin, dans des genres plus légers, ce petit bijou de rom-com sexy qu'est Pieds nus dans le parc, le film de casse façon Pieds Nickelés Les 4 malfrats...
Beaucoup moins accroché à Gatsby le Magnifique et, dans les Redford classiques, faut que je vois (ou revois, je ne sais plus) Votez Mc Kay.
D'accord avec Dale Cooper concernant Les experts, petit régal de film de genre et à mes yeux - et de loin - le meilleur épisode hors-série TV de... Mission : Impossible (et puis sa fin me bidonne trop avec la série des demandes formulées à James Earl Jones).
Quant au réalisateur... eh bien rien que pour s'être jeté dans le bain avec Des gens comme les autres, film poignant sans tomber dans le pathos, chapeau !
Amusé ensuite d'en apprendre un peu plus sur l'homme et son parcours : son amitié de longue date avec Natalie Wood, le séjour effectué à Paris dans sa jeunesse pour se perfectionner en... peinture et qu'il était un sportif plus qu'accompli* (avec une certaine tendance à se croire le meilleur dans toutes les disciplines comme il le révéla dans une anecdote du tournage de Butch Cassidy qui ne fut pas vraiment à son avantage).
Ensuite, en vrac, son fameux "moins bon" profil, la louable création du festival de Sundance (qui comme la plupart des manifestations culturelles victimes de leur succès deviendra une institution ronronnante et créant son propre formatage), l'amicale (?) et multiple rivalité avec Paul Newman** comme acteur, comme réalisateur, pour leurs implications respectives dans la vie sociale et politique de leur pays (et probablement aussi comme sportif***).
Bob à 18 ans, en 1954 sur le trombinoscope de la Van Nuys High School à L.A.
(établissement où, deux ans plus tard, il croisera pour la première fois... Natalie Wood)
(*) Malheureusement, le film où il le prouva le mieux est loin d'être son plus mémorable : La descente infernale de Michael Ritchie où il interprète - sans doublure - un champion de ski.
(**) Qui m'a souvent fait penser à celle liant Delon et Belmondo...
(***) Le plus "spécialisé" des deux l'ayant emporté en terme de résultats avec la seconde place de Newman aux 24H du Mans 1979... qui aura sans doute encore plus fait bisquer un autre grand acteur/sportif : Steve McQueen.
Premier souvenir marquant : la découverte en salle, vers 12-13 ans, du malin L'arnaque. Respect plus tard en abordant ses fructueuses collaborations avec Pollack, avec au top la période des 70's et tout en haut Les 3 jours du Condor, pour toujours l'un de mes films de chevet.
Avec la charmante Tina Chen (et une réplique que j'adore)
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Globalement, et même si il y aura eu un affaiblissement des dernières années, sa filmo est en béton.
Je suis loin d'en connaitre l'intégralité mais outre les Pollack, elle contient des pépites telles que Daisy Clover de Mulligan, La poursuite impitoyable de Penn (un autre de mes films préférés), le très beau western Willie Boy de Polonsky.
Et puis Les hommes du président, La kermesse des aigles, Brubaker...
Enfin, dans des genres plus légers, ce petit bijou de rom-com sexy qu'est Pieds nus dans le parc, le film de casse façon Pieds Nickelés Les 4 malfrats...
Beaucoup moins accroché à Gatsby le Magnifique et, dans les Redford classiques, faut que je vois (ou revois, je ne sais plus) Votez Mc Kay.
D'accord avec Dale Cooper concernant Les experts, petit régal de film de genre et à mes yeux - et de loin - le meilleur épisode hors-série TV de... Mission : Impossible (et puis sa fin me bidonne trop avec la série des demandes formulées à James Earl Jones).
Quant au réalisateur... eh bien rien que pour s'être jeté dans le bain avec Des gens comme les autres, film poignant sans tomber dans le pathos, chapeau !
Amusé ensuite d'en apprendre un peu plus sur l'homme et son parcours : son amitié de longue date avec Natalie Wood, le séjour effectué à Paris dans sa jeunesse pour se perfectionner en... peinture et qu'il était un sportif plus qu'accompli* (avec une certaine tendance à se croire le meilleur dans toutes les disciplines comme il le révéla dans une anecdote du tournage de Butch Cassidy qui ne fut pas vraiment à son avantage).
Ensuite, en vrac, son fameux "moins bon" profil, la louable création du festival de Sundance (qui comme la plupart des manifestations culturelles victimes de leur succès deviendra une institution ronronnante et créant son propre formatage), l'amicale (?) et multiple rivalité avec Paul Newman** comme acteur, comme réalisateur, pour leurs implications respectives dans la vie sociale et politique de leur pays (et probablement aussi comme sportif***).
Bob à 18 ans, en 1954 sur le trombinoscope de la Van Nuys High School à L.A.
(établissement où, deux ans plus tard, il croisera pour la première fois... Natalie Wood)
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(**) Qui m'a souvent fait penser à celle liant Delon et Belmondo...
(***) Le plus "spécialisé" des deux l'ayant emporté en terme de résultats avec la seconde place de Newman aux 24H du Mans 1979... qui aura sans doute encore plus fait bisquer un autre grand acteur/sportif : Steve McQueen.
Dernière modification par Federico le 18 avr. 15, 14:29, modifié 1 fois.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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Re: Robert Redford
C'est vaguement amusant pendant 30 minutes, et puis après ça devient bien lourdingue et interminable (ah, la belle mère).Federico a écrit :ce petit bijou de rom-com sexy qu'est Pieds nus dans le parc
Voir Redford devoir jouer le pétage de plombs en se mettant une poubelle sur la tête, ça fait vraiment mal.
Pour moi, le film ne vaut vraiment que pour le charme de Jane Fonda.
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Re: Robert Redford
Ah bah oui évidemment. Dans mon All-time Top 10.Federico a écrit :Excellente initiative, l'acteur/réalisateur méritait son topic.
Premier souvenir marquant : la découverte en salle, vers 12-13 ans, du malin L'arnaque. Respect plus tard en abordant ses fructueuses collaborations avec Pollack, avec au top la période des 70's et tout en haut Les 3 jours du Condor, pour toujours l'un de mes films de chevet.
Avec la charmante Tina Chen (et une réplique que j'adore)
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Marrant que pour moi Les Experts lui passe devant en terme d'évocation de l'acteur, mais en même temps, Les Trois jours du Condor est sûr d'être souvent cité.
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Re: Robert Redford
Le dernier réalisateur classique,avec Eastwood.
Et "au milieu coule une rivière" reste mon préféré.
Grand acteur mais réalisateur mesestime,à cause d'une filmographie rare probablement.
Et "au milieu coule une rivière" reste mon préféré.
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Re: Robert Redford
Des débuts de réalisateurs remarquables, mais depuis son sommet qui est pour moi L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, il semble avoir un peu perdu la flamme même si ses films restent sympathiques.
Doublé d'un excellent comédiens, je pense qu'on compte sur les doigts de la main des personnes capables d'avoir cumulé les deux rôles avec autant de réussite.
Doublé d'un excellent comédiens, je pense qu'on compte sur les doigts de la main des personnes capables d'avoir cumulé les deux rôles avec autant de réussite.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Robert Redford
Matthieu Kassovitz!Rockatansky a écrit :Des débuts de réalisateurs remarquables, mais depuis son sommet qui est pour moi L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, il semble avoir un peu perdu la flamme même si ses films restent sympathiques.
Doublé d'un excellent comédiens, je pense qu'on compte sur les doigts de la main des personnes capables d'avoir cumulé les deux rôles avec autant de réussite.
Désolé, j'ai parlé trop vite...
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Robert Redford
Cela dit tu n'as pas entièrement tort, je pense que c'est un bon réal qui fait des mauvais films, mais un super comédien en tout cas
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