Oui il y avait bien un entracte à la sortie du film en 1984. Je l'avais découvert cette année là.The Eye Of Doom a écrit : ↑30 oct. 23, 13:40A la sortie, il y avait un intermède il me semble. Ma memoire n’est pas fiable….Boba Fett 69 a écrit : ↑30 oct. 23, 13:09 Vu une fois au cinéma il y a une dizaine d'années.
Des qualités indéniables, mais sa longueur excessive m'empêchera toute nouvelle vision je le crains.
Je ne l'ai pas suffisamment apprécié pour lui accorder encore quatre (longues) heures de ma vie.
Il était une fois en Amérique (Sergio Leone - 1984)
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Re: Il était une fois en Amérique (Sergio Leone - 1984)
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Re: Il était une fois en Amérique (Sergio Leone - 1984)
C'est un grand film et une oeuvre de première importance, pour sa densité, la richesse de sa narration et de son écriture, la qualité de son interprétation (De Niro magnifique) et son ampleur visuelle (le film semblait valoir visuellement ce qu'il avait coûté-c'est à dire bonbon), sans même parler de la musique de Morricone.The Eye Of Doom a écrit : ↑30 oct. 23, 13:40A la sortie, il y avait un intermède il me semble. Ma memoire n’est pas fiable….Boba Fett 69 a écrit : ↑30 oct. 23, 13:09 Vu une fois au cinéma il y a une dizaine d'années.
Des qualités indéniables, mais sa longueur excessive m'empêchera toute nouvelle vision je le crains.
Je ne l'ai pas suffisamment apprécié pour lui accorder encore quatre (longues) heures de ma vie.
Sinon, l’inverse pour moi. Des qu’une occasion se présente je retourne le voir.
Par contre, je ne l'avais pas beaucoup aimé à sa sortie. Fan, à l'époque, du Parrain et de Heaven's Gate, je coinçais sur la manière Leone, étant assez allergique aux westerns italiens.
J'ai évolué depuis mais surtout, j'ai appris à aimer Sergio Leone.
Dans mon souvenir, (contexte foulée de Cannes, Palme d'or Paris Texas, tout ça..), il y a avait eu un terrible orage qui avait créer une coupure de courant et tout le monde est sorti du ciné sans voir la fin.
Je n'ai même pas eu l'idée d'aller le revoir dans la foulée..
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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Re: Il était une fois en Amérique (Sergio Leone - 1984)
The Eye Of Doom a écrit : ↑30 oct. 23, 13:40A la sortie, il y avait un intermède il me semble. Ma memoire n’est pas fiable….Boba Fett 69 a écrit : ↑30 oct. 23, 13:09 Vu une fois au cinéma il y a une dizaine d'années.
Des qualités indéniables, mais sa longueur excessive m'empêchera toute nouvelle vision je le crains.
Je ne l'ai pas suffisamment apprécié pour lui accorder encore quatre (longues) heures de ma vie.
Sinon, l’inverse pour moi. Des qu’une occasion se présente je retourne le voir.
Entracte ou pas, il est beaucoup trop long pour le plaisir que j'en retire.
Pour des films de trois heures ou plus, il faut vraiment que je sois fan pour me (re)lancer dedans. Et encore plus si c'est devant ma télé (en salle ça passe mieux).
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Re: Il était une fois en Amérique (Sergio Leone - 1984)
Dans l'absolu, je serais d'accord avec toi (surtout quand la fatigue s'accumule) mais pour ce film là, je ne comprends pas. A aucun moment on ne s'ennuie (sauf peut-être j'imagine à la première vision qui peut paraître confuse), à aucun moment le film est répétitif. Pas comme de nombreux films contemporains dont la durée parait bien exagérée pour ce qu'ils racontent.Boba Fett 69 a écrit : ↑30 oct. 23, 14:18
Entracte ou pas, il est beaucoup trop long pour le plaisir que j'en retire.
Pour des films de trois heures ou plus, il faut vraiment que je sois fan pour me (re)lancer dedans. Et encore plus si c'est devant ma télé (en salle ça passe mieux).