Burt Reynolds (1936-2018)
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Re: Burt Reynolds
Je profite de cette remontée pour une petite maj mondaine de mon premier post : Kim n'est plus l'épouse de Guy Maddin, elle est aujourd'hui avec Del Toro.
Mais ceci n'a rien à voir avec Burt
Mais ceci n'a rien à voir avec Burt
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- « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
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Re: Burt Reynolds
Mort aujourd'hui à l'age de 82 ans...
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
"Délivrance" évidemment mais je garde de bons souvenirs aussi de "La cité des dangers" et "L'anti-gang", des plutôt fun "Scoop", "Rent-a-cop" et "preuve à l'appui", j'aimerais bien revoir "Banco" aussi...R.I.P Mr Reynolds.
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
Les 100 fusils valait des points. N'oublions pas Plein la gueule (titre français toute en finesse) d'Aldrich.
J'ajoute enfin le beau Fantôme de Cat Dancing, de Richard C. Sarafian.
A mannhunter :ton extrait de La Dernière Folie de Mel Brooks s'arrête vraiment trop tôt!!!
J'ajoute enfin le beau Fantôme de Cat Dancing, de Richard C. Sarafian.
A mannhunter :ton extrait de La Dernière Folie de Mel Brooks s'arrête vraiment trop tôt!!!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
Ça m’a l’air sympa ce L'anti-gang.mannhunter a écrit :"Délivrance" évidemment mais je garde de bons souvenirs aussi de "La cité des dangers" et "L'anti-gang", des plutôt fun "Scoop", "Rent-a-cop" et "preuve à l'appui", j'aimerais bien revoir "Banco" aussi...R.I.P Mr Reynolds.
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
L'homme a femmes de Blake Edwards et La dernière folie de Mel Brooks, c'est tres sympa aussi !
Merci d'avoir ete ma femme de Pakula aussi !
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Je ne peux rien citer, j'ai pas de mémoire...
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
J'aimais bien cette affiche française : le titre jaune sur fond noir, ça le fait.
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
Je viens de le voir. Le film décolle vraiment pour moi à l’entrée en scène de Rachel Ward (et sa voix extrêmement sexy) C’est l’époque où les policiers prenaient encore le temps de raconter des histoires d’amour. Et chose étonnante, Burt a beau incarné la virilité brutale, il a pourtant l’occasion d’exprimer de la sensibilité et même de pleurer de douleur. Des choses qu’on ne verra plus trop par la suite (hormis un peu avec Mel Gibson).Alexandre Angel a écrit :J'aimais bien cette affiche française : le titre jaune sur fond noir, ça le fait.
Et’pui Il y a Henry Silva et sa gueule imparable.
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
C'est vrai qu'il est pas mal cet Anti-Gang. Il est parfois maladroit mais souvent suprenant.
Par contre, Gator, sa toute première réalisation, c'est pas loin d'être sans intérêt à mon souvenir (voir même nul).
Sinon, pas de déprogrammation-hommage je suppose sur les chaînes généralistes?
Par contre, Gator, sa toute première réalisation, c'est pas loin d'être sans intérêt à mon souvenir (voir même nul).
Sinon, pas de déprogrammation-hommage je suppose sur les chaînes généralistes?
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
Notamment la scène des doigts..O'Malley a écrit :C'est vrai qu'il est pas mal cet Anti-Gang. Il est parfois maladroit mais souvent suprenant.
J'avais oublié de le préciser ailleurs mais la chanson de Randy Crawford qui ouvre le film, Street Life, est utilisée par Quentin Tarantino dans Jackie Brown.
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
Il est super cool, ce documentaire. Enjoy :
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
Je ne me lasse pas de partager cet extrait de Starting Over de Pakula (écrit par James L. Brooks)
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
Très fan de la chanson, mais dans sa version disco du générique de fin. Je l'avais d'ailleurs collé au final de ma première fiction vidéo, S.O.S L.A., tournée avec mon frangin dans le jardin
Sinon, quel dommage que Burt ait laissé filer le rôle que lui avait écrit Brooks dans Tendres passions...
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
CITY HEAT (1984)
Plaisante révision que cette unique rencontre à l’écran entre Burt Reynolds et Clint Eastwood, échec critique et financier en son temps. On pourra regretter que Blake Edwards, véritable instigateur du projet, ait été remercié en cours de route, le résultat manquant de saveur sous la direction de ce p’tit joueur de Richard Benjamin (dont je défendrai néanmoins toujours son trop gênant Marci X). Mais cela demeure une amusante comédie policière, luxueuse production récréative dans laquelle Eastwood joue avec ironie de son image de dur-à cuire tandis que Reynolds, plus investi, fait le pitre pour le plus grand plaisir des vrais fans de l'acteur. Un peu poussif mais élégant et amusant.
1933, sous la prohibition, à Kansas City. Le lieutenant Speer, policier modèle, ne porte plus Mike Murphy dans son cœur depuis que cet ancien ami a quitté la police pour devenir détective privé. Les 2 meilleurs ennemies vont devoir néanmoins mettre de côté leurs différents lorsque Dehl Swift, l'associé de Mike, est assassiné....
Plaisante révision que cette unique rencontre à l’écran entre Burt Reynolds et Clint Eastwood, échec critique et financier en son temps. On pourra regretter que Blake Edwards, véritable instigateur du projet, ait été remercié en cours de route, le résultat manquant de saveur sous la direction de ce p’tit joueur de Richard Benjamin (dont je défendrai néanmoins toujours son trop gênant Marci X). Mais cela demeure une amusante comédie policière, luxueuse production récréative dans laquelle Eastwood joue avec ironie de son image de dur-à cuire tandis que Reynolds, plus investi, fait le pitre pour le plus grand plaisir des vrais fans de l'acteur. Un peu poussif mais élégant et amusant.
- manuma
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Re: Burt Reynolds (1936-2018)
HARD TIMES (1998)
Pas grand-chose à retenir de cette avant-dernière réalisation de Burt Reynolds, tournée pour le petit écran et coécrite par l'ancien cascadeur David S. Cass Sr. (énième collaboration de Burt avec un ex-cascadeur). J'ai surtout eu l'impression de voir un épisode tardif de B.L. Stryker dans lequel le charisme grisonnant de Reynolds a du mal à compenser une écriture très moyennement inspirée, ne se foulant guère pour entretenir un quelconque suspense tout en tombant relativement à plat dans son final en mode mineur. Par ailleurs, le fait que Charles Durning (75 ans à l'époque) joue ici non seulement un flic de terrain mais également le presque père adoptif de Reynolds m'a laissé quelque peu dubitatif. Bref, ultra mou mais encore un peu pro, l'essai est à conseiller uniquement aux inconditionnels de la star.
Pas grand-chose à retenir de cette avant-dernière réalisation de Burt Reynolds, tournée pour le petit écran et coécrite par l'ancien cascadeur David S. Cass Sr. (énième collaboration de Burt avec un ex-cascadeur). J'ai surtout eu l'impression de voir un épisode tardif de B.L. Stryker dans lequel le charisme grisonnant de Reynolds a du mal à compenser une écriture très moyennement inspirée, ne se foulant guère pour entretenir un quelconque suspense tout en tombant relativement à plat dans son final en mode mineur. Par ailleurs, le fait que Charles Durning (75 ans à l'époque) joue ici non seulement un flic de terrain mais également le presque père adoptif de Reynolds m'a laissé quelque peu dubitatif. Bref, ultra mou mais encore un peu pro, l'essai est à conseiller uniquement aux inconditionnels de la star.