Le problème pour moi, c'est que la seule "vertu" que tu distingues - puisque la réalisation et la musique, on peut faire une croix dessus... donc la forme, pour faire court -, on l'a quasiment avant d'entrer dans la salle. Les séquences purement cinématographiques que vous valorisez souvent (la deuxième partie entre singes sourds-muets, le cri, l'assaut final, etc.) ne sont que des bribes qui fonctionnent plus ou moins - sans non plus dresser les poils sur l'échine, hein - dans un ensemble qui nous habitue les trois quart du temps à un déroulement fluide et sans fausse note, certes, mais un peu ronronnant sur les bords et sans surprise au-delà du fameux programme vendu par le pitch, et le titre même avant celui-ci. Les personnages ne sont pas dotés de l'épaisseur nécessaire, ni la tonalité assez "grise", pour nous faire dévier du film binaire et scripté à outrance... mais là réside la clé de notre opposition depuis la Nuit des Temps, cher AtCloseRange !AtCloseRange a écrit :mais dans le cheminement de l'intrigue, j'y ai retrouvé des vertus qui ont disparu des blockbusters depuis des lustres.
Et comme à quelque chose malheure est bon, mettre cela en lumière m'aura au moins rassuré sur ton état mental (
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