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Re: Richard Burton (1925-1984)

Publié : 19 juil. 21, 14:30
par Alexandre Angel
Pas très originale comme réflexion, mais je trouve tout de même remarquable (et facilement mémorisable) que ce mec soit décédé l'année de la sortie de son dernier film : soit 1984 pour 1984.
C'est quelque chose qui frappe l'esprit.
Cela ne s'invente pas.
Faut le faire.
Bref, c'est fou..

Re: Richard Burton (1925-1984)

Publié : 19 juil. 21, 15:47
par AtCloseRange
Pour les gens qui aiment les prestations avinées, je conseille The Klansman de Terence Young.

Re: Richard Burton (1925-1984)

Publié : 19 juil. 21, 16:03
par Alexandre Angel
Pour une prestation ecclésiastique, n'oublions pas L'Hérétique, de John Boorman, que je rêve de voir enfin sortir dans une belle édition. J'ai toujours pressenti que ce film, relativement malmené, se redécouvrira un jour (moi compris car jamais totalement convaincu).

Re: Richard Burton (1925-1984)

Publié : 19 juil. 21, 20:30
par Geoffrey Firmin
Dans La nuit de l'iguane, il est non seulement aviné, mais révérend/queutard aussi.

Re: Richard Burton (1925-1894)

Publié : 22 oct. 23, 09:20
par shubby
AtCloseRange a écrit : 13 juil. 10, 19:31 Il est mort avant d'avoir vécu... le pauvre :mrgreen:

Burton, ce sera toujours pour moi l'écrivain de La Grande Menace...
Revu hier. Je voulais tenter la vo, mais Lino y est doublé par un autre donc non. Ça a vieilli, mais tient encore bien. Un postulat qui suit La malédiction de Donner, mais qui désormais en causant télékinésie préfigure Scanner, Charlie, Akira etc. Sorti la même année que le Furie de de Palma tt de même. Lino fait son George C. Scott façon L'exorciste 3 en mode enquête. Et donc Richard Burton qui assure vraiment là-dedans. Il fait passer cette grande menace juste avec son jeu de fou. Ça reste une belle illustration de ce qui se passe dans nos cafetières quand on "menace" de basculer dans telle ou telle radicalisation. En cela le film est d'actualité. Le final catastrophe a encore de la gueule. J'aime bien, malgré la mise en scène efficace mais sans éclat de Jack Gold. Tiré d'un bouquin de Peter Van Greenaway qui a mon avis avait projeté un gros bad trip sur ses pages.