Top 100 Cinéma Français (2010)

[Jeremy Fox]

Top édité correctement en page 1 ; j'avais commis quelques oublis impardonnables comme L'hirondelle et la mésange ou La peau douce, entre autres ...

Par contre, si j'ai du retirer Le Fleuve (qui rentrera dans les européens), une personne qui se reconnaitra sera priée de faire sortir Lettres d'une inconnue

[Jack Carter]

Top édité correctement en page 1 ; j'avais commis quelques oublis impardonnables comme L'hirondelle et la mésange ou La peau douce, entre autres ...

Par contre, si j'ai du retirer Le Fleuve (qui rentrera dans les européens), une personne qui se reconnaitra sera priée de faire sortir Lettres d'une inconnue

qui a osé ?

[7swans]

edit.

[homerwell]

A affiner, (comme un fromage Français quoi... )


317 ème section (La) (Pierre Schoendoerffer)
400 coups (Les) (François Truffaut)

Amants (Les) (Louis Malle)
Amour en fuite (L') (François Truffaut)
Armée des Ombres (L') (Jean-Pierre Melville)
Au hasard Balthazar (Robert Bresson)
Aventuriers (Les) (Robert Enrico)

Bas-Fonds (Les) (Jean Renoir)
Belle de jour (luis Bunuel)
Bossu (Le) (André Hunebelle)
Boucher (Le) (Claude Chabrol)
Buffet froid (Bertrand Blier)

Ça commence aujourd'hui (Bertrand tavernier)
Capitaine Conan (Bertrand Tavernier)
Carrosse d'or (Le) (Jean Renoir)
Cartouche (Philippe de Broca)
Casque d'or (Jacques Becker)
Cercle Rouge (Le) (Jean-Pierre Melville)
Chambre Verte (La) (François Truffaut)
Chèvre (La) (Francis Veber)
Choses de la vie (Les) (Claude Sautet)
Cocorico Monsieur Poulet (Jean Rouch)
Conte d'automne (Eric Rohmer)
Corbeau (Le) (Henri-Georges Clouzot)
Corniaud (Le) (Gérard Oury)
Coup de Torchon (Bertrand Tavernier)
Crabe Tambour (Le) (Pierre Schoendoerffer)
Croix de bois (Les) (Raymond Bernard)
Cyrano de Bergerac (Jean-Paul Rappeneau)

Deux anglaises et le continent (Les) (François Truffaut)
Dîner de con (Le) (Francis Veber)

Enfance nue (L') (Pialat Maurice)
Enfants du paradis (Les) (Marcel Carné)
État sauvage (L') (Francis Girod)

Feu follet (Le) (Louis Malle)
Fond de l'air est rouge (Le) (Chris Marker)

Gadjo dilo (Tony Gatlif)
Genou de Clair (Le) (Eric Rohmer)
Gervaise (René Clement)
Grande Illusion (La) (Jean Renoir)
Grandes familles (Les) (Denys de La Patellière)

Hiroshima mon amour (Alain Resnais)
Honneur d'un capitaine (L') (Pierre Schoendoerffer)
Hussard sur le toit (Le) (Jean Paul Rappeneau)

Jeanne La Pucelle (Jacques Rivette)
Jetée (La) (Chris Marker)
Jeux interdits (Clément René)
Jour se lève (Le) (Marcel Carné)
Journal d'un curé de campagne (Robert Bresson)
Journal d'une femme de chambre (Le) (Luis Bunuel)

L627 (Bertrand Tavernier)
Lacombe Lucien (Louis Malle)
Léon Morin Prêtre (Jean-Pierre Melville)
Liberté Oleron (Bruno Podalydes)

Madame de (Max Ophuls)
Maison des bois (La) (Maurice Pialat)
Marquise d'O... (La) (Eric Rohmer)
Mépris (Le) (Jean Luc Godard)
Misérables (Les) (Raymond Bernard)
Mon oncle (Jacques Tati)
Mouchette (Robert Bresson)

Naufragés de l'île de la tortue (Les) (Jacques Roziers)
Nous irons tous au paradis (Yves Robert)
Nous ne vieillirons pas ensemble (Maurice Pialat)

Passante du sans-souci (La) Jacques Rouffio
Pauline à la plage (Eric Rohmer)
Père-Noël est une ordure (Le) (Jean-Marie Poiré)
Petit lieutenant (Le) (Xavier Beauvois)
Pierrot le fou (Jean Luc Godard)
Plaisir (le) (Max Ophuls)

Quai des brumes (Le) (Marcel Carné)
Quai des orfèvres (Henri-Georges Clouzot)
Que la bête meure (Claude Chabrol)

Rayon vert (Le) (Eric Rohmer)
Règle du jeu (la) (Jean Renoir)
Rivière du hibou (La) (Robert Enrico)
Rosetta (les frères Dardenne)

Samouraï (Le) (Jean-Pierre Melville)
Sang à la tête (Le) (Gilles Grangier)
Série Noire (Alain Corneau)
Souffle au coeur (Le) (Louis Malle)
Sous le soleil de satan (Maurice Pialat)

Tontons flingueurs (Les) (Michel Audiart)
Train (Le) (Pierre Granier-Deferre)

Un condamné à mort s'est échappé (Robert Bresson)
Un dimanche à la campagne (Bertrand Tavernier)
Un éléphant ça trompe énormément (Yves Robert)
Un grand seigneur (Georges Lautner – Gilles Grangier)
Un homme et une femme (Claude Lelouch)
Un mauvais fils (Claude Sautet)
Une histoire simple (Claude Sautet)
Une partie de campagne (Jean Renoir)
Uranus (Claude Berri)

Vacances de Monsieur Hulot (Les) (Jacques Tati)
Vérité (La) (Henri-Georges Clouzot)
Victoire en chantant (La) (Jean-Jacques Annaud)
Vie et rien d'autre (La) (Bertrand Tavernier)
Vie rêvée des anges (La) (Erick Zonca)

Week-end à Zuydcoote (Henri Verneuil)

Z (Costa Gavras)

[Tancrède]

Pas de place pour les artisans en France.

Si je peux me permettre une remarque (et c'est en toute amitié et pas du tout pour chercher la polémique ), j'ai eu quatre périodes vis à vis du cinéma français.

Une première période "télé des années 70/80" en gros on voyait tout et n'importe quoi, souvent dans de mauvaises conditions. Mais certains films devenaient grands uniquement parce que c'était notre culture.

Une seconde période "cinéma d'auteur". Rejet de tout ce qui n'était pas agréé par la NV mais aussi découverte de la personnalité d'un réalisateur et de ce qu'un caractère fort pouvait apporter à un film. Donc, du bon et du mauvais, vu de façon générale.

Troisième période: le relativisme:
- notre cinéma est ancien (c'est même le plus vieux). Nous avons des réalisateurs immenses comme Renoir, et ils ont été aidés par la révérence qu'on leur vouait. Aux US, Renoir aurait-il fait une aussi belle (même si plus modeste) fin de carrière? Pas sûr.
- nos moyens étaient généralement plus limités. De là vient peut-être la "politique des auteurs" qui faisait rire ou surprenait les vieux réalisateurs américains interviewés par les critiques de la NV: méconnaissance totale du système hollywoodien, intellectualisation de l'oeuvre de certains réalisateurs simples (Walsh, Cukor...)...avec aussi amusement intéressé de certains réalisateurs intellectuels mais discrets (la famille "anciens d'Europe" avec Hitchcock en tête mais aussi de purs américains comme Hawks): on n'a rien compris au système mais on a apprécié leur travail d'une façon qu'ils n'auraient jamais imaginé. Au bout du compte, ça leur fait plaisir et ils se prêtent au jeu.

Quatrième (et récente) période: l'expérience venant, l'oeil s'exercant, la reconnaissance, NV et QF confondues, d'un petit système français, très réel même si beaucoup plus modeste que le système hollywoodien. Un film, en France comme aux USA, reste une oeuvre collective pouvant éventuellement être grandie par un "architecte" qui concentre les talents et mène la danse.

Un exemple mineur: Les vieux de la vieille de Grangier. Dieu sait si j'aurai été le premier à rire de ce film il y a encore seulement dix ans. Dernier visionnage, dans de bonnes conditions et avec une bonne copie il y a un mois: photo superbe de Louis Page, que Gabin exigeait comme directeur photo sur tous les films de sa fin de sa carrière qui n'étaient pas dirigés par un grand (en gros Renoir).
Il suffit de comparer (films photographiés par Louis Page) Le cave se rebiffe / Les vieux de la vieille / Le Président avec Le baron de l'écluse pour voir que Grangier / Verneuil sont des bons et Delannoy....autre chose.

Un exemple majeur: Eric Gautier. Regardez sa filmo et, si vous connaissez les films, vous verrez que ce directeur photo est un auteur à lui tout seul (autre exemple, Pierre Lhomme). Hasard d'un grand talent: oui et non. Gautier est de la famille des élèves de Pierre-William Glein, lui-même repéré comme cadreur sur Monsieur Klein par l'immense Gerry Fisher, lui-même choisi comme chef-op par Losey sur Accident / Le messager / Monsieur Klein, sachant que Gerry Fisher était l'ancien cadreur de Jack Hildyard (très belle carrière hollywoodienne avec Cléopatre, Les 55 jours de Pékin, Le pont de la rivière Kwai, Soudain l'été dernier, et le Henry V de Olivier). Tous ces films ont des points communs en matière d'image. De Hollywood à Paris, l'"industrie du cinéma" fonctionnait de la même manière et savait découvrir et transmettre les talents comme dans une vaste entreprise.

Et je ne parle que de la photo, domaine que j'apprécie bien. Les artisans français (réalisateurs et techniciens) ont faits, à leur dimension, un cinéma qui reposait sur les mêmes bases que le cinéma américain et qui, le temps passant, tient très bien la route pour peu qu'on le regarde, ce qui, au fond, reste en fait la seule grande problématique.

attends, je n'ai jamais nié la présence de bons techniciens en France, simplement un grand film est selon moi autre chose qu'une somme de qualités.
Je n'ai pas vu Les vieux de la vieille, je ne nie pas que ce soit un film de bonne facture, un film superbement photographié même peut-être, mais franchement, est ce que c'est un film que tu aimes assez, qui suscite chez toi assez d'enthousiasme, de passion, pour que tu ailles le mettre dans un top, entre un Renoir et un Ophuls?
Après, je ne vois pas le rapport entre ce que j'ai dit et ton topo sur l'attitude des cinéphiles français par rapport aux vieux routiers hollywoodiens. Je suis d'accord mais je ne vois pas le rapport.
sinon, y a pas de problème pour les remarques hein, on est quand même là pour ça.

[Phnom&Penh]

Je n'ai pas vu Les vieux de la vieille, je ne nie pas que ce soit un film de bonne facture, un film superbement photographié même peut-être, mais franchement, est ce que c'est un film que tu aimes assez, qui suscite chez toi assez d'enthousiasme, de passion, pour que tu ailles le mettre dans un top, entre un Renoir et un Ophuls?

Euh non, ne me fais pas dire ça, laise-moi rester un minimum crédible

Ce que je voulais dire, sans être très clair d'ailleurs, c'est que d'un côté l'idée d'auteur (dans le sens littéraire du terme et non dans le sens de chef d'équipe) est peut-être plus française que NV. Une sorte d'obsession de chez nous, que les auteurs de la NV auraient porté à son paroxysme en la dogmatisant.

Je ne veux pas dire non plus qu'il n'y a pas d'auteurs complets chez nous comme ailleurs. Mais que si on porte le regard sur autre chose que le seul réalisateur, cela élargit le panorama. Un peu comme un non cinéphile regardera un film pour un acteur, un cinéphile peut regarder un film pour son photographe ou son scénariste et cela fait ressortir les qualités de certains réalisateurs moins considérés comme Gilles Grangier. Dans le cas présent, je voulais plus dire que cela se remarquait même sur Les vieux de la vieille plutôt que surtout sur ce film

Après, je ne vois pas le rapport entre ce que j'ai dit et ton topo sur l'attitude des cinéphiles français par rapport aux vieux routiers hollywoodiens.

Je voulais en fait en venir à ce qu'en s'intéressant trop au seul réalisateur (ton propos était assez court et lapidaire, aussi), on restreignait le panorama. Et si j'ai parlé d'Eric Gautier, c'est parce que quelqu'un qui s'intéresse à sa filmo peut découvrir beaucoup de films, en dehors des réalisateurs les plus connus, qui ont de l'intérêt.
Bref, je te contredisais surtout sur l'éloignement que tu faisais entre les systèmes hollywoodiens et français. Il y a bien sûr une énorme différence d'échelle, mais je trouve que ce qui est vrai là-bas (quand tu parlais de Curtiz) est aussi vrai ici.

[Tancrède]

Je n'ai pas vu Les vieux de la vieille, je ne nie pas que ce soit un film de bonne facture, un film superbement photographié même peut-être, mais franchement, est ce que c'est un film que tu aimes assez, qui suscite chez toi assez d'enthousiasme, de passion, pour que tu ailles le mettre dans un top, entre un Renoir et un Ophuls?

Euh non, ne me fais pas dire ça, laise-moi rester un minimum crédible

Ce que je voulais dire, sans être très clair d'ailleurs, c'est que d'un côté l'idée d'auteur (dans le sens littéraire du terme et non dans le sens de chef d'équipe) est peut-être plus française que NV. Une sorte d'obsession de chez nous, que les auteurs de la NV auraient porté à son paroxysme en la dogmatisant.

Je ne veux pas dire non plus qu'il n'y a pas d'auteurs complets chez nous comme ailleurs. Mais que si on porte le regard sur autre chose que le seul réalisateur, cela élargit le panorama. Un peu comme un non cinéphile regardera un film pour un acteur, un cinéphile peut regarder un film pour son photographe ou son scénariste et cela fait ressortir les qualités de certains réalisateurs moins considérés comme Gilles Grangier. Dans le cas présent, je voulais plus dire que cela se remarquait même sur Les vieux de la vieille plutôt que surtout sur ce film

Après, je ne vois pas le rapport entre ce que j'ai dit et ton topo sur l'attitude des cinéphiles français par rapport aux vieux routiers hollywoodiens.

Je voulais en fait en venir à ce qu'en s'intéressant trop au seul réalisateur (ton propos était assez court et lapidaire, aussi), on restreignait le panorama. Et si j'ai parlé d'Eric Gautier, c'est parce que quelqu'un qui s'intéresse à sa filmo peut découvrir beaucoup de films, en dehors des réalisateurs les plus connus, qui ont de l'intérêt.

en fait, je ne suis pas un fana de la politique de l'auteur A PRIORI.
Mon modeste propos découle d'un constat (le fait que peu de réalisateurs soient représentés dans mon top) et non d'un dogme. La preuve, mon post est une comparaison avec le cinéma américain où je dis que j'adore le cinéma hollywoodien d'usine, où je constate que les chefs d'oeuvre de celui-ci ne sont pas nécessairement réalisés par des "auteurs".
Je me suis intéressé à des acteurs, je continue à voir des films uniquement pour certains acteurs (Raimu, Jouvet, Claude Jade...) mais le fait est que s'ils ne sont pas dirigés par des grands, ce ne sont à peu près jamais des films extraordinaires. Pour prendre le cas de Raimu qui a longtemps été mon acteur préféré, qu'a t-il tourné de marquant en dehors des Pagnol/Grémillon/Guitry? Sans aller jusqu'à parler de ses nombreux navets, des films comme Gribouille d'Allégret ou Ces messieurs de la santé de Colombier ne sont certes pas de mauvais films, quelqu'un qui aime le cinéma français des années 30 ne perd pas son temps à les regarder, mais quand il s'agit de ne retenir que l'essentiel (principe du top), ne les oublie t-on pas sans trop d'état d'âme?

[Phnom&Penh]

Pour prendre le cas de Raimu qui a longtemps été mon acteur préféré, qu'a t-il tourné de marquant en dehors des Pagnol/Grémillon/Guitry? Sans aller jusqu'à parler de ses nombreux navets, des films comme Gribouille d'Allégret ou Ces messieurs de la santé de Colombier ne sont certes pas de mauvais films, quelqu'un qui aime le cinéma français des années 30 ne perd pas son temps à les regarder, mais quand il s'agit de ne retenir que l'essentiel (principe du top), ne les oublie t-on pas sans trop d'état d'âme?

Je voulais juste nuancer un propos un peu catégorique.
Sur Raimu, tu as entièrement raison. Mais, même si ça reste peut-être du registre national, de grands acteurs avec de solides réalisateurs ont fait aussi d'excellents films qu'on peut trouver dans ces tops.
D'ailleurs, si je te suis sur Gribouille parce que je trouve Marc Allégret médiocre, je trouve aussi que son frère Yves Allégret, sans aller chercher bien loin, est un bon contre-exemple. Dédée d'Anvers et Manèges sont d'excellents films mis en valeur par de très bons acteurs, et, sur un registre moins connu, Nez de cuir est un très bon film où il sait utiliser Jean Marais qui est une personnalité que j'aime beaucoup, mais pas toujours le meilleur des acteurs de cinéma.
En plus moderne, les films d'Yves Robert, qui sont nombreux dans ces tops ne sont pas seulement de beaux jeux d'acteurs. Ce sont aussi de bons films.

[Tancrède]

D'ailleurs, si je te suis sur Gribouille parce que je trouve Marc Allégret médiocre, je trouve aussi que son frère Yves Allégret, sans aller chercher bien loin, est un bon contre-exemple. Dédée d'Anvers et Manèges sont d'excellents films mis en valeur par de très bons acteurs, et, sur un registre moins connu, Nez de cuir est un très bon film où il sait utiliser Jean Marais qui est une personnalité que j'aime beaucoup, mais pas toujours le meilleur des acteurs de cinéma.

Manèges et Dédée d'Anvers sont effectivement parfois considérés comme des classiques du cinéma français, je trouve moi leur noirceur trop appuyée, trop caricaturale, bref trop artificielle pour les considérer comme tels. Il y a quelque chose de faux, de détaché du réel dans ces films...Ce aussi sophistiquée que soit leur construction dramatique et aussi brillants que soient les acteurs. Ce sont vraiment des films de scénaristes (Jacques Sigurd) pour le coup.
Mais j'ai un beau souvenir de Un si jolie petite plage, du même duo, avec Gérard Philippe, c'est pour ça que je l'ai mis dans mon top tout en étant quand même loin de le considérer comme un chef d'oeuvre absolu.

[Tancrède]

En plus moderne, les films d'Yves Robert, qui sont nombreux dans ces tops ne sont pas seulement de beaux jeux d'acteurs. Ce sont aussi de bons films.

tout à fait.

[Sabsena]

Top 100 francais

Amants, les Malle
Année derniere à Marienbad, l' Resnais
Argent des autres, l' De Challonge
Armée des ombres, l' Melville
Assassin habite au 21, l' Clouzot
Atalante, l Vigo
Aveu, l' Gavras

Belle de jour Bunuel
Belle noiseuse, la Rivette
Bete humaine, la Renoi
Boucher, le Chabrol
Boulevard du rhum Enrico
Buffet froid Blier



Casque d'or Becker
Cercle rouge, le Melville
César et Rosalie Sautet
Cet obscur objet du désir Bunuel
Chambre verte, la Truffaut
Charme discret de la bourgeoisie, le Bunuel
Choses de la vie Sautet
Classe tous risques Sautet
Cléo de 5 à 7 Varda
Comment j'ai tué mon père Fontaine
Corbeau, le Clouzot

Dernier metro, le Truffaut
Derobade, la Duval
Deuxieme souffle, le Melville
Deux hommes dans la ville Giovanni
Diaboliques, les Clouzot
Drole de drame Carné
Double vie de Veronique, la Kieslowski

Effrontée, l' Miller
Enfant sauvage, l' Truffaut
Enfants du paradis, les Carné
Etalon, l' Mocky

Fantome de la liberté, le Bunuel
Fatale Malle
Flic story Deray
Folie des grandeurs, la Oury

Grandes gueules, les Enrico

Hiroshima, mon amour Resnais
Histoire d' Adèle H. l' Truffaut
Hotel du nord Carné
Huit femmes Ozon

Journal d'une femme de chambre, le Bunuel

Lectrice, la Deville
Lola Demy
Lola Montès Ophuls

Ma nuit chez Maud Rohmer
Mado Sautet
Maison des bories, la Doniol-Valcroze
Max et les ferailleurs Sautet
Melo Resnais
Menace, la Corneau
Milou en mai Malle
Miroir à 2 faces, le Cayatte
Mon oncle Tati
Monsieur Klein Losey

Nelly et monsieur Arnaud, Sautet
Nous ne vieillirons pas ensemble Pialat
Nuit americaine, la Truffaut

Panique Duvivier
Passante du sans-souci, la Rouffio
Peau d'ane Demy
Pepé le Moko Duvivier
Pierrot le fou Godard
Play time Tati
Plein soleil Clement
Police Pialat
Police python 357 Corneau
Providence Resnais

Quai des brumes Carné
Que la bete meure Chabrol

Raphael ou le débauché Deville
Regle du jeu, la Renoir
Religieuse, la Rivette
Remorques Gremillon
Ronde, la Ophuls

Salaire de la peur, le Clouzot
Samourai, le Melville
Sans toit, ni loi Varda
Smoking/No Smoking Resnais
Solo Mocky

Temoin, le Mocky
Therese Raquin Carné
Tous les matins du monde Corneau
Trio infernal, le Girod
Trois couleur bleu Kieslowski
Trois couleur rouge Kieslowski
Trou, le Becker

Un dimanche à la campagne Tavernier
Un drole de paroissien Mocky
Un homme et une femme Lelouch

Vacances de monsieur Hulot, les Tati
Van Gogh Pialat
Vie et rien d'autre, la Tavernier
Vie revée des anges, la Zonca
Vieux fusil, le Enrico
Vincent, Francois, Paul et les autres Sautet
Visiteurs du soir, les Carné
Vivement dimanche! Truffaut
Vivre sa vie Godard


Z Gavras

[origan42]

Ami de mon amie (L') - Rohmer
Argent de poche (L’) – Truffaut
Assassin habite au 21 (L’) - Clouzot
Au revoir les enfants – Malle
Aveu (L’) – Costa-Gavras

Belle et la bête (La) – Cocteau
Belle équipe (La) – Duvivier
Bête humaine (La) - Renoir
Boucher (Le) – Chabrol
Boule de suif – Christian-Jaque
Buffet froid - Blier

Ça commence aujourd’hui - Tavernier
Casque d'or – Jacques Becker **
Cérémonie (La) - Chabrol **
Chacun cherche son chat - Klapisch
Chaos - Serreau
Clan des Siciliens (Le) – Verneuil
Conte d'été - Rohmer **
Conte d'hiver - Rohmer
Corbeau (Le) - Clouzot
Cyrano de Bergerac – Rappeneau **

Dédée d’Anvers – Y.Allégret
Demoiselles de Rochefort (Les) – Demy
Dernier domicile connu - Giovanni
Deuxième souffle (Le) – Melville
Diva - Beineix
Dossier 51 (Le) – Deville **
Doulos (Le) - Melville
Du côté d’Aurouet – Rozier
Du rififi chez les hommes - Dassin

Emploi du temps (L’) – Cantet
Enfance nue (L') – Pialat **
Enfant sauvage (L’) – Truffaut **
Enfants du paradis (Les) – Carné **
Entre les murs - Cantet
Être et avoir – N.Philibert

Fantomas – Feuillade
Femme du boulanger (La) – Pagnol
Fin du jour (La) - Duvivier
French cancan – Renoir

Graine et le mulet (La) - Kechiche
Grand jeu (Le) - Feyder
Grande illusion (La) – Renoir
Grandes manœuvres (Les) – R.Clair
Guerre du feu (La) – Annaud

Hôtel du Nord – Carné

Il faut tuer Birgit Haas – L.Heynemann
Itinéraire d’un enfant gâté – Lelouch

Jean de Florette – C.Berri
Jeux interdits – R.Clément **
Jour se lève (Le) - Carné
Journal d’un curé de campagne – Bresson

Kermesse héroïque (La) – Feyder

L 627 – Tavernier
Lacombe Lucien – Malle

Ma nuit chez Maud – Rohmer
Manèges – Y.Allégret
Manon des Sources – C.Berri
Marius – A.Korda **
Marius et Jeannette – Guédiguian
Milou en mai - Malle
Misérables (Les) – R.Bernard **
Mon oncle – Tati **
Mouchette – Bresson

Pattes blanches – Grémillon
Pépé le Moko – Duvivier
Petit prince a dit (Le) – Ch.Pascal
Pierrot le fou - Godard
Plaisir (Le) – Ophuls
Plein soleil – R.Clément
Ponette – Doillon

Quai des brumes (Le) – Carné **
Quai des orfèvres - Clouzot
Que la bête meure – Chabrol

Razzia sur la chnouf - Decoin
Religieuse (La) - Rivette
Remorques - Grémillon
Ressources humaines - Cantet
Roman d'un tricheur (Le) – Guitry **
Roue (La) – Gance **

Salaire de la peur (Le) – Clouzot
Série noire - Corneau
Silence de la mer (Le) - Melville
Soupirant (Le) - P.Etaix **
Sur mes lèvres – J.Audiard

Trois couleurs : Bleu - Kieslowski
Trou (Le) – Becker **

Un air de famille – Klapisch
Un condamné à mort s'est échappé - Bresson **
Un dimanche à la campagne – Tavernier **
Un drôle de paroissien - Mocky
Un prophète - J.Audiard
Une partie de campagne – Renoir

Vacances de M.Hulot (Les) – Tati **
Vie de plaisir (La) – A.Valentin
Vie rêvée des anges (La) – Zonca
Vivement dimanche! – Truffaut
Vivre sa vie - Godard
Volpone – M.Tourneur

Y aura-t-il de la neige à Noël? - S.Veysset

** Top 20

[Phnom&Penh]

Ce sont vraiment des films de scénaristes (Jacques Sigurd) pour le coup.

Il faudra que tu vois Nez de cuir à l'occasion, il devrait t'intéresser. C'est aussi un très beau film "de scénario", mais dans un tout autre style (c'est tiré d'un roman de La Varende). Ca montre bien comment Yves Allégret peut faire un bon film avec un sujet totalement différent, tout en gardant une patte bien à lui. Une jolie petite plage, je ne l'ai pas encore vu mais j'en ai l'intention.

Sinon, je sors L'eau froide pour faire entrer Vanya, 42e rue que je pensais dans la partie américaine de Malle puisqu'il est tourné à New York mais qui est bien français.

[makaveli]

bon allez un top 20 (je n'arriverai jamais à un top 100,trop de lacunes concernant les films avant les années 70 et après c'est plutôt moyen).


36 quai des orfèvres(marchal)
3 hommes a abattre (deray)
100 mille dollars au soleil(verneuil)
a bout de souffle(godard)
armée des ombres,l'(melville)
bronzés font du ski,les(leconte)
cercle rouge,le (melville)
clan des siciliens,le(verneuil)
diner de cons,le(veber)
grande vadrouille,la(oury)
garde a vue(miller)
léon(besson)
marche àl'ombre(blanc)
le nom de la rose (annaud)
plein soleil(clément)
pierrot le fou(godard)
professionnel,le(lautner)
père noël est une ordure,le(poiré)
samouraï,le(melville)
tchao pantin (berry)

[Phnom&Penh]

trop de lacunes concernant les films avant les années 70 et après c'est plutôt moyen).

M'enfin, tu n'as jamais vu les films de Renoir?
Je ne dis pas que ce que tu cites est mauvais, au contraire, mais, mais....où est l'essentiel du cinéma français?

Renoir, Ophuls, Devivier, Pialat...enfin ils sont où tous les grands?

Quand je te lis, j'ai l'impression d'être en train de faire mon Top asiatique, entre 6 Ozu, 3 Mizoguchi et des films chinois dont j'ai oublié le nom - ils se ressemblent tous - des réalisateurs