C'est selon...cinephage a écrit :(mais j'avais lu que Blonde Venus était celui où les choses avaient été poussées le plus loin...).
Josef Von Sternberg (1894-1969)
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Morocco (Coeurs brûlés) (Josef von Sternberg, 1930) :
5.5/10
_______________
Je m'attendais à bien mieux de la part de ce nom, Von Sternberg. La mise en scène, déroutante avec ses pauses, ses temps infinis entre deux phrases m'a laissé perplexe.
Quelques plans ingénieux mais néanmoins statiques soulignent le manque de dynamisme du film. L'exotisme fleure la pacotille.
Finalement le point fort du film se trouvera plutôt dans le casting avec un jeune et beau Cooper et surtout pour ma part une découverte : le fascinant regard d'une jeune et belle Dietrich.
5.5/10
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Je m'attendais à bien mieux de la part de ce nom, Von Sternberg. La mise en scène, déroutante avec ses pauses, ses temps infinis entre deux phrases m'a laissé perplexe.
Quelques plans ingénieux mais néanmoins statiques soulignent le manque de dynamisme du film. L'exotisme fleure la pacotille.
Finalement le point fort du film se trouvera plutôt dans le casting avec un jeune et beau Cooper et surtout pour ma part une découverte : le fascinant regard d'une jeune et belle Dietrich.
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Re: Sternberg-Dietrich
Coeurs Brulés.
Marlène n’a rarement été aussi belle que dans ce film ou Gary Cooper n'en finit pas de se déplier et de raser de la pointe de ses cheveux sous nos regards effrayés le haut des chambranles.
Ah il l'aime Josef sa belle et il le montre en lui offrant le secret des dominations et des dépendances gravitationnelles entre hommes et femmes.
Une virilité féminine s'affirme sous un chapeau claque choisissant ses futures proies dans une froideur presque indélébile.
La sublime malgré ses crises de dominances est touchée par Eros parachutant son propre clone, un légionnaire sans repères durables préférant les frivolités de la taverne et l'indécis des combats au repos du guerrier.
En entretenant perpetuellement une liberté la belle montre soudain un besoin de soumission inassouvi en contemplant chez l'autre les inconvénients de son propre reflet.
La belle se voit au miroir, devient blessée en visualisant ses propres concepts d'indifférences, elle subit à son tour les leçons de tous les désagréments d'un désintérêt.
La froideur des sentiments se renvoie sa propre image. L'indifférence se remet en question.
Pas grand-chose d'autre à dire sur ce film daté sauf la prestigieuse scène finale montrant une convertie se soumettant pieds nus au devenir de son homme en le suivant au pas sur la braise d'un sable lumineux dans des roulements de tambours sans musiques. Quel final !
Marlène n’a rarement été aussi belle que dans ce film ou Gary Cooper n'en finit pas de se déplier et de raser de la pointe de ses cheveux sous nos regards effrayés le haut des chambranles.
Ah il l'aime Josef sa belle et il le montre en lui offrant le secret des dominations et des dépendances gravitationnelles entre hommes et femmes.
Une virilité féminine s'affirme sous un chapeau claque choisissant ses futures proies dans une froideur presque indélébile.
La sublime malgré ses crises de dominances est touchée par Eros parachutant son propre clone, un légionnaire sans repères durables préférant les frivolités de la taverne et l'indécis des combats au repos du guerrier.
En entretenant perpetuellement une liberté la belle montre soudain un besoin de soumission inassouvi en contemplant chez l'autre les inconvénients de son propre reflet.
La belle se voit au miroir, devient blessée en visualisant ses propres concepts d'indifférences, elle subit à son tour les leçons de tous les désagréments d'un désintérêt.
La froideur des sentiments se renvoie sa propre image. L'indifférence se remet en question.
Pas grand-chose d'autre à dire sur ce film daté sauf la prestigieuse scène finale montrant une convertie se soumettant pieds nus au devenir de son homme en le suivant au pas sur la braise d'un sable lumineux dans des roulements de tambours sans musiques. Quel final !
Dernière modification par Jipi le 22 avr. 08, 10:30, modifié 1 fois.
Chaque individu a le devoir de se réaliser par l'esprit dans le contexte historique de son époque.
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Re: Sternberg-Dietrich
toutafé
Dernière modification par Nomorereasons le 24 avr. 08, 17:38, modifié 1 fois.
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Re: Sternberg-Dietrich
Merci yaplusdsaisons, jamais vu ce truc...t'es dur quand même...
Dernière modification par Abronsius le 24 avr. 08, 16:23, modifié 2 fois.
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Re: Sternberg-Dietrich
Tu as raison. Allez hop, édité.Abronsius a écrit :Merci yaplusdsaisons, jamais vu ce truc...t'es dur quand même...
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Re: Sternberg-Dietrich
Alors, moi, je découvre Sternberg ce mois-ci :
4 films, et 4 grosses baffes
PAs le temps tout de suite pour developper, mais un topo concis :
Agent X27 : 9.5/10 Première baffe ! c'est aérien et vertigineux de modernité, d'audace. L'intrigue (dont je me fous assez d'habitude) est bien prenante, et Dietrich est à tomber...
L'impératrice rouge : 9.5/10 Quel.... truc ! Si le mot baroque a un sens au cinéma, c'est bien là. L'influence sur Welles est énorme. Le film épate par sa boursoufflure, sa folie, sa démesure. Excellents plans de voiles, de visdages voilés... C'est magnifique et extraordinaire.
Morocco / Coeurs brûlés : 9/10 Alors là, contrairement à d'autres ici, aucune déception ! Très beau rythme lent, j'ai aimé ces allers retours exterieurs, interieurs. Le final est époustouflant de beauté.
Blonde Venus :8.5/10 Un mini poil en dessous pour sa première demi-heure... Les toutes premières minutes sont géniales, puis la cavale est encore d'une beauté incroyable. Une gestion de l'ellipse à couper le souffle qui me chavire de bonheur ! qui oserait, aujourd'hui ? Ces ellipses apportent une densité au récit, et une légereté, c'est fou !
4 films, et 4 grosses baffes
PAs le temps tout de suite pour developper, mais un topo concis :
Agent X27 : 9.5/10 Première baffe ! c'est aérien et vertigineux de modernité, d'audace. L'intrigue (dont je me fous assez d'habitude) est bien prenante, et Dietrich est à tomber...
L'impératrice rouge : 9.5/10 Quel.... truc ! Si le mot baroque a un sens au cinéma, c'est bien là. L'influence sur Welles est énorme. Le film épate par sa boursoufflure, sa folie, sa démesure. Excellents plans de voiles, de visdages voilés... C'est magnifique et extraordinaire.
Morocco / Coeurs brûlés : 9/10 Alors là, contrairement à d'autres ici, aucune déception ! Très beau rythme lent, j'ai aimé ces allers retours exterieurs, interieurs. Le final est époustouflant de beauté.
Blonde Venus :8.5/10 Un mini poil en dessous pour sa première demi-heure... Les toutes premières minutes sont géniales, puis la cavale est encore d'une beauté incroyable. Une gestion de l'ellipse à couper le souffle qui me chavire de bonheur ! qui oserait, aujourd'hui ? Ces ellipses apportent une densité au récit, et une légereté, c'est fou !
"Je ne veux pas rester dans l'histoire comme le gars qui a détruit l'Univers"
Dude, where's my car
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Re: Sternberg-Dietrich
Maintenant, c'est au tour de Der Blaue Engel (L'Ange Bleu) !
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Re: Sternberg-Dietrich
Non, je l'avais trouvé pas cher (double dvd mk2, vers les 9.99) et je ne l'avais pas pris, quel couillon. Du coup, le prochain, c'est la femme et le pantin..Watkinssien a écrit :Maintenant, c'est au tour de Der Blaue Engel (L'Ange Bleu) !
Je verrais bien les deux "shangaï" et Anatahan...
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Re: Notez les films de juin 2008
Agent X-27 de Joseph Von Sternberg (1931)
Durant la première guerre mondiale, la prostituée Marie Kolverer (Marlène Dietrich) est sollicitée par les Services Secrets Autrichiens pour devenir un agent secret. Avec son immense charme et sa beauté extraordinaire, elle arrive à obtenir des confidences des ennemis, sauvant des milliers de vie et changeant le cours de la guerre. Mais elle rencontre son homologue, l’agent russe Kranau (McLaglen), meilleur qu’elle sur de nombreuses affaires. Pour couronner le tout, Marie Kolverer va tomber amoureuse de ce dandy...
Vraiment pas le meilleur de la mythique collaboration Dietrich/ Von Sternberg (on est bien loin de la splendeur de "L'Impératrice rouge") mais pas dénué d'intérêt. L'intrigue d'espionnage est assez fantaisiste et pas dénuée d'incohérence, avec une Dietrich balancé dans la guele du loup sans entraînement préalable, qui parvient à s'infiltrer sans difficulté dans le cercle de ces futurs victime sans que l'on sache trop comment... Le film tout entier tient sur la performance de Marlène Dietrich en simili Mata Hari. Tout en charme vulgaire au début en prostituée, toute en pose lascive et débraillée puis génialement glaciale en séductrice manipulatrice (toute la scène où elle piège sa première victime, le long duel psychologique avec Victor McLaglen) et finalement amoureuse (toujours avec ce côté glacial mais avec une pointe de vie supplémentaire dans le regard) d'un ennemi. Un personnage des plus intéressant qui n'attends plus grand chose de la vie et et prends tout les risque en se sortant de situation périlleuse avec un bel aplomb. Le film étonne par ses situations très osées, avec une Marlène Dietrich aux poses et tenues provocante qui va très loin dans la séduction de l'ennemi (toute la partie où elle seduit un soldat russes deguisée en femme de chambre) et que Von Sternberg prend un malin plaisir à dénuder dès que l'occasion se présente. Sa réalisation est d'ailleurs assez statique avec des cadrages et une photo et éclairages quasi uniquement destiné à mettre en valeur la silhouette, le visage de Marlène Dietrich, le reste étant parfois un peu baclé. 4/6
Durant la première guerre mondiale, la prostituée Marie Kolverer (Marlène Dietrich) est sollicitée par les Services Secrets Autrichiens pour devenir un agent secret. Avec son immense charme et sa beauté extraordinaire, elle arrive à obtenir des confidences des ennemis, sauvant des milliers de vie et changeant le cours de la guerre. Mais elle rencontre son homologue, l’agent russe Kranau (McLaglen), meilleur qu’elle sur de nombreuses affaires. Pour couronner le tout, Marie Kolverer va tomber amoureuse de ce dandy...
Vraiment pas le meilleur de la mythique collaboration Dietrich/ Von Sternberg (on est bien loin de la splendeur de "L'Impératrice rouge") mais pas dénué d'intérêt. L'intrigue d'espionnage est assez fantaisiste et pas dénuée d'incohérence, avec une Dietrich balancé dans la guele du loup sans entraînement préalable, qui parvient à s'infiltrer sans difficulté dans le cercle de ces futurs victime sans que l'on sache trop comment... Le film tout entier tient sur la performance de Marlène Dietrich en simili Mata Hari. Tout en charme vulgaire au début en prostituée, toute en pose lascive et débraillée puis génialement glaciale en séductrice manipulatrice (toute la scène où elle piège sa première victime, le long duel psychologique avec Victor McLaglen) et finalement amoureuse (toujours avec ce côté glacial mais avec une pointe de vie supplémentaire dans le regard) d'un ennemi. Un personnage des plus intéressant qui n'attends plus grand chose de la vie et et prends tout les risque en se sortant de situation périlleuse avec un bel aplomb. Le film étonne par ses situations très osées, avec une Marlène Dietrich aux poses et tenues provocante qui va très loin dans la séduction de l'ennemi (toute la partie où elle seduit un soldat russes deguisée en femme de chambre) et que Von Sternberg prend un malin plaisir à dénuder dès que l'occasion se présente. Sa réalisation est d'ailleurs assez statique avec des cadrages et une photo et éclairages quasi uniquement destiné à mettre en valeur la silhouette, le visage de Marlène Dietrich, le reste étant parfois un peu baclé. 4/6
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Re: Sternberg-Dietrich
AGENT X 27, LA FEMME ET LE PANTIN, LA VENUS BLONDE, L'IMPERATRICE ROUGE, MOROCCO-COEURS BRULES parmi 11 titres avec Marlene Dietrich à 1,50€ en ce moment sur Cdiscount.
One of us..... One of us.....
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Re: Sternberg-Dietrich
Le terme est peut-être un peu niais, mais Sternberg, c'est du cinéma "pur". Du cinéma, et rien que du cinéma!
Pas de psychologie? Il s'en contrefout, il travaille sur les grands mouvements passionnels!
Des décors et des costumes baroques, outrés? Encore heureux! Si le cinéma c'est copier servilement la réalité, les peintres pompiers de la fin du XIXème siècle, type Messonier et autres ringards, sont les plus grands peintres de l'histoire!
Des scénarios simplifiés à l'extrême? Ce n'est pas l'histoire qu'on raconte qui importe, mais la façon dont on la raconte qui définit l'artiste. Et sur ce point...
Dès 1929, avec l'ANGE BLEU, Sternberg traite la bande son (les off, les enchainés et les contructions sonores en parallèle) avec une bonne vingtaine d'années d'avance.
Et au plan de l'image:
Dès que les machines le permettent, il utilisent les mouvements de grues d'une façon inouÏe (cf le traveling arrière de la scène du banquet, dans L'IMPERATRICE ROUGE).
Son travail de la lumière a inspiré des générations de cinéastes, Fassbinder compris. Eisenstein, de son propre aveux, a visionné et revisIonné l'IMPERATRICE ROUGE.
Avec "LA FEMME ET LE PANTIN", sa dernière collaboration avec Dietrich, Sternberg se débarrasse presque totalement de l'intrigue, déréalise le visage de la star, la mélange et l'imbrique au décor, bref: il travaille comme un artiste, pas comme un littérateur de roman de gare. Et il a fallu attendre Fellini pour retrouver, dans ce style cinématographique, une aussi grande liberté. Trente ans plus tard.
Ceci dit, comme tout les grands artistes, au travers ses artifices, Sternberg touche à l'essence des êtres.
Ainsi, l'IMPERATRICE ROUGE: le film est sans doute fantaisiste quand à la réalité des faits. Mais si on s'accorde sur le fait que le pouvoir absolu rend absolument fou, que ce pouvoir s'arrache à force de manipulations, d'intrigues, celle de l'esprit ou celle du lit, L'IMPERATRICE ROUGE est probablement l'un des plus grands film historiques -et des plus vraisemblables- de tous les temps...
Bref, j'aime Sternberg. Et s'il n'est pas toujours d'un abord évident, lui qui a cessé de créer il y a plus d'un demi siècle, c'est peut-être à nous de faire un effort pour se mettre à son niveau, et non à lui de descendre les marches.
Pas de psychologie? Il s'en contrefout, il travaille sur les grands mouvements passionnels!
Des décors et des costumes baroques, outrés? Encore heureux! Si le cinéma c'est copier servilement la réalité, les peintres pompiers de la fin du XIXème siècle, type Messonier et autres ringards, sont les plus grands peintres de l'histoire!
Des scénarios simplifiés à l'extrême? Ce n'est pas l'histoire qu'on raconte qui importe, mais la façon dont on la raconte qui définit l'artiste. Et sur ce point...
Dès 1929, avec l'ANGE BLEU, Sternberg traite la bande son (les off, les enchainés et les contructions sonores en parallèle) avec une bonne vingtaine d'années d'avance.
Et au plan de l'image:
Dès que les machines le permettent, il utilisent les mouvements de grues d'une façon inouÏe (cf le traveling arrière de la scène du banquet, dans L'IMPERATRICE ROUGE).
Son travail de la lumière a inspiré des générations de cinéastes, Fassbinder compris. Eisenstein, de son propre aveux, a visionné et revisIonné l'IMPERATRICE ROUGE.
Avec "LA FEMME ET LE PANTIN", sa dernière collaboration avec Dietrich, Sternberg se débarrasse presque totalement de l'intrigue, déréalise le visage de la star, la mélange et l'imbrique au décor, bref: il travaille comme un artiste, pas comme un littérateur de roman de gare. Et il a fallu attendre Fellini pour retrouver, dans ce style cinématographique, une aussi grande liberté. Trente ans plus tard.
Ceci dit, comme tout les grands artistes, au travers ses artifices, Sternberg touche à l'essence des êtres.
Ainsi, l'IMPERATRICE ROUGE: le film est sans doute fantaisiste quand à la réalité des faits. Mais si on s'accorde sur le fait que le pouvoir absolu rend absolument fou, que ce pouvoir s'arrache à force de manipulations, d'intrigues, celle de l'esprit ou celle du lit, L'IMPERATRICE ROUGE est probablement l'un des plus grands film historiques -et des plus vraisemblables- de tous les temps...
Bref, j'aime Sternberg. Et s'il n'est pas toujours d'un abord évident, lui qui a cessé de créer il y a plus d'un demi siècle, c'est peut-être à nous de faire un effort pour se mettre à son niveau, et non à lui de descendre les marches.
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Re: Sternberg-Dietrich
Bonsoir ALFLO et bien venu sur Dvdclassik !
Un 1er post pour saluer Sternberg: bravo !
Passe voir les pages 33/34 du topic "Le cinema muet et vous" pour voir ce que Ann Harding et moi même pensons de son oeuvre d'avant Marlène.
Un 1er post pour saluer Sternberg: bravo !
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Re: Sternberg-Dietrich
Je me suis toujours demandé ce qui justifiait les choix de cette collection : pourquoi pas Shangaï Express ????????Griffin Mill a écrit :AGENT X 27, LA FEMME ET LE PANTIN, LA VENUS BLONDE, L'IMPERATRICE ROUGE, MOROCCO-COEURS BRULES parmi 11 titres avec Marlene Dietrich à 1,50€ en ce moment sur Cdiscount.
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