James Stewart (1908-1997)
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James Stewart (1908-1997)
Je n'ai pas trouvé de topic consacré à ce monsieur. C'est-y pas étrange? Il est vrai que le sieur a tourné ses plus grands films sous la direction de grands noms.
Quoiqu'il en soit j'ai vu un petit film avec James Stewart et je me suis dit qu'on pouvait bien s'offrir une tribune toute personnelle.
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Mr. Hobbs Takes a Vacation (Monsieur Hobbs prend des vacances) (Henry Koster, 1962) :
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Un film de vacances, qui m'a rappellé ces films familiaux, gentillets tout plein, un peu mièvres, à la Disney, vantant l'american way of life d'après-guerre, avec les relations familiales difficiles, les conflits de génération qui se résolvent en deux coups de cuillère à pot, entre deux discussions d'homme à homme ou femme à femme, dans lesquels ne peut qu'apparaître un chanteur de rock sympa, qui n'effraie pas la ménagère de moins de 50, parce qu'il sourit et dit bonjour à la dame avant d'entonner sa ritournelle à la fille aux bagues dentaires étincellantes sous le soleil de Californie.
Bien entendu, le couple de parents est uni face à l'adversité, pour le bien des enfants, et parce qu'on s'aime indéfectiblement, bien qu'on regarde le voisin de travers quand il reluque un peu trop le pigeonnant décolleté de mèmère (je suis mauvaise langue : Maureen O'Hara est une bombe, même proche des cinquantes balais).
James Stewart est une star et comme il se doit, il embrasse tout le film pour le porter comme un grand chef si bien qu'à la fin on ne peut pas ne pas l'appeller Jimmy. Il joue si bien le brave type plein de réparties finaudes, de coups de sourcils entendus et il promène si bien son grand corps dégingandé... difficile de résister. Il est sympathique et l'on sent bien que l'on a tablé essentiellement sur ce capital. Et... pfff, ça marche, voilà bien un film dont l'épithète sympathique n'est pas galvaudé.
Quoiqu'il en soit j'ai vu un petit film avec James Stewart et je me suis dit qu'on pouvait bien s'offrir une tribune toute personnelle.
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Un film de vacances, qui m'a rappellé ces films familiaux, gentillets tout plein, un peu mièvres, à la Disney, vantant l'american way of life d'après-guerre, avec les relations familiales difficiles, les conflits de génération qui se résolvent en deux coups de cuillère à pot, entre deux discussions d'homme à homme ou femme à femme, dans lesquels ne peut qu'apparaître un chanteur de rock sympa, qui n'effraie pas la ménagère de moins de 50, parce qu'il sourit et dit bonjour à la dame avant d'entonner sa ritournelle à la fille aux bagues dentaires étincellantes sous le soleil de Californie.
Bien entendu, le couple de parents est uni face à l'adversité, pour le bien des enfants, et parce qu'on s'aime indéfectiblement, bien qu'on regarde le voisin de travers quand il reluque un peu trop le pigeonnant décolleté de mèmère (je suis mauvaise langue : Maureen O'Hara est une bombe, même proche des cinquantes balais).
James Stewart est une star et comme il se doit, il embrasse tout le film pour le porter comme un grand chef si bien qu'à la fin on ne peut pas ne pas l'appeller Jimmy. Il joue si bien le brave type plein de réparties finaudes, de coups de sourcils entendus et il promène si bien son grand corps dégingandé... difficile de résister. Il est sympathique et l'on sent bien que l'on a tablé essentiellement sur ce capital. Et... pfff, ça marche, voilà bien un film dont l'épithète sympathique n'est pas galvaudé.
Dernière modification par Alligator le 15 juil. 08, 14:53, modifié 1 fois.
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Re: James Stewart (1908-1997)
Je ne connais pas ce film, merci Alli , ta critique donne bien envie de le voir ...
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Re: James Stewart (1908-1997)
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Re: James Stewart (1908-1997)
Je l'ai vu hier soir dans Les Cheyennes, le dernier western de John Ford. Il prend les traits de Wyatt Earp dans une disgression placée au milieu du film, destinée sans doute à tempérer qulque peu l'aspect didactique du film. Stewart y est égal à lui m^me alternant incrédulité, humour et conviction. Au-delà ce film, il incarne à mes yeux une certaine image des Etats-Unis, conjugant dans ses rôles candeur et détermination, allliage parodxal mais tellement américain.
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Re: James Stewart (1908-1997)
Américain je n'en sais rien, mais pour ce qui est de James Stewart, c'est très juste.François Sanders a écrit :conjugant dans ses rôles candeur et détermination, allliage parodxal mais tellement américain.
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Re: James Stewart (1908-1997)
L'un de ces acteurs mythiques qui ont une filmographie plus qu'impressionnante. Et c'est mérité tant ce comédien était remarquable sur tous les fronts.
Que retenir ? Ses collaborations avec Hitchcock, Anthony Mann, John Ford, Capra, Preminger, Lubitsch, DeMille, Cukor, Hathaway, Wilder ou encore Aldrich et j'en passe...
Un jeu brillant et intelligent, moderne.
Ses deux plus beaux rôles pour moi, parmi une multitude d'oeuvres majeures, sont dans It's a Wonderful Life de Capra (1946) et The Naked Spur d'Anthony Mann (1953).
Que retenir ? Ses collaborations avec Hitchcock, Anthony Mann, John Ford, Capra, Preminger, Lubitsch, DeMille, Cukor, Hathaway, Wilder ou encore Aldrich et j'en passe...
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Re: James Stewart (1908-1997)
Mais avec une VF d'époque disponible, permettant d'entendre Roger Tréville, le seul à doubler admirablement James Stewart.Alligator a écrit :Seulement sous-titré en english et espanol.
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Re: James Stewart (1908-1997)
N'y vois surtout pas une attaque de ma part, mais le doublage m'insupporte tellement que je grince toujours des dents quand je lis Untel double très bien Kirk Douglas, etc...Wall of Voodoo Fan a écrit :Mais avec une VF d'époque disponible, permettant d'entendre Roger Tréville, le seul à doubler admirablement James Stewart.
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Re: James Stewart (1908-1997)
Personnelement il s'agit de mon acteur préféré. Et que ce soit pour Capra, Ford, Mann, Hitchcock ou Lubitsh, il est toujours fantastique.Watkinssien a écrit :L'un de ces acteurs mythiques qui ont une filmographie plus qu'impressionnante. Et c'est mérité tant ce comédien était remarquable sur tous les fronts.
Que retenir ? Ses collaborations avec Hitchcock, Anthony Mann, John Ford, Capra, Preminger, Lubitsch, DeMille, Cukor, Hathaway, Wilder ou encore Aldrich et j'en passe...
Un jeu brillant et intelligent, moderne.
Ses deux plus beaux rôles pour moi, parmi une multitude d'oeuvres majeures, sont dans It's a Wonderful Life de Capra (1946) et The Naked Spur d'Anthony Mann (1953).
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Un homme, une femme, un coup de foudre. L'homme est avocat, pas encore associé. La femme ne travaille pas. Un bébé arrive. Pour les jeunes mariés, les ennuis vont s'accumuler.
Sur le thème "le mariage peut-il résister aux coups du sort", John Cromwell (Selznick studios) construit une comédie dramatique sur un ton suffisament léger pour ne pas plomber le film. Les scènes de pure comédie sont nombreuses, et évidemment, tout est bien qui fini bien. Le couple Carole Lombard / James Stewart est rayonnant, il participe largement aux qualités du film.
Un bon 6/10
J'avais profité d'un bon plan amazon pour me le procurer en z1 à 5€. Image très correcte pour un film de cet âge, avec stf.
Un homme, une femme, un coup de foudre. L'homme est avocat, pas encore associé. La femme ne travaille pas. Un bébé arrive. Pour les jeunes mariés, les ennuis vont s'accumuler.
Sur le thème "le mariage peut-il résister aux coups du sort", John Cromwell (Selznick studios) construit une comédie dramatique sur un ton suffisament léger pour ne pas plomber le film. Les scènes de pure comédie sont nombreuses, et évidemment, tout est bien qui fini bien. Le couple Carole Lombard / James Stewart est rayonnant, il participe largement aux qualités du film.
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- « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
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Re: Notez les films naphtas de décembre 2008
Je suis complètement fan de ce genre de conte de Noël et sa ressortie dans le cinéma du coin était une bonne occasion de découvrir un peu plus Capra après un arsenic et vieilles dentelles dont l’humour noire n’était parait il pas représentatif de son cinéma. Sans surprise j’ai adoré. Si j’ai quelques réserves sur la durée excessive de la chose (une attente trop longue avant le fameux présent alternatif), j’ai été complètement emballé par ce déferlement d’humour et inventivité narrative. Sinon, j’ai été étonné de me rendre compte à quel point il a pu influencer certaines prod Spielberg comme retour vers le futur 2 (le futur gouverné par le bad guy) ou gremlins (la vieille mégère renvoyant à l’ignoble homme d’affaire).
Surtout vu par curiosité envers le pari technique orchestré par Hitchcock. En soit, sa réputation est mensonger puisque le film n’est pas constitué d’un unique plan séquence. On notera en effet une coupe nette lorsque le personnage de James Stewart commence à avoir des doutes sur ses hôtes, jeunes priviligiés dont l’ambition est de faire du crime un art. En dépit de l’optique de sa mise en scène, Hitchcock colle au plus près de l’origine théâtral de son sujet (passionnant soit dit en passant) en se limitant à un décor à 180° (règle qu’il ne transgresse qu’à un seul moment là encore lorsque les soupçons de Stewart s’intensifit). Cela ne l’empêche pas de démontrer une nouvelle fois toute sa virtuosité au travers de gestion d’axe mûrement réfléchie et de cadrage hallucinant de précision.
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Re: James Stewart (1908-1997)
You gotta stay happy (1948) - HC Potter
Une jeune héritière se marie, mais le jour de son mariage s'enfuit et trouve refuge dans la chambre d'hôtel de son voisin, un aviateur qui dirige une petite compagnie personnelle et doit entreprendre le lendemain un vol pour convoyer un cercueil, une cargaison de poissons frais et un singe savant.
Au tout départ du film, on se dit que le film pourrait avoir inspiré Runaway Bride avec Julia Roberts, car l'héroïne a déjà été fiancée plusieurs fois et ne s'est pas mariée, finalement elle saute le pas et c'est le début de la galère pour son voisin. Nous sommes ici dans ces comédies américaines typiques qui reposent essentiellement sur le casting et sur les situations un peu déjantées entrainées par les confrontations entre les personnages principaux. Assez étonnant ici de découvrir une Joan Fontaine, au total opposé de ses rôles habituels, ravissante avec ses cheveux noués en macarons, elle illumine l'écran par sa présence. Elle ne donne pas dans l'exubérance, mais naturellement plus dans le raffinement et dans un comique plus "sophistiqué" en quelque sorte. Il faut la voir en costume d'aviatrice aux chaussures trop grandes... A ses côtés James Stewart retrouve son personnage habituel d'homme quelque peu dépassé par les évènements mais quand même maître de sa destinée. Il est comme d'habitude parfait et forme un très joli couple avec sa partenaire. Nous ne sommes pas dans la screwball déjantée, mais dans la comédie charmante, aux situations cocasses. Et puis il y a comme dans tous ces films, ces seconds rôles qui rythment l'action et permettent aux protagonistes de voir où est leur bonheur. Roland Young, Eddie Albert complètent le casting, sans oublier Joe le chimpanzé ! Une petite comédie charmante sans aucune autre prétention que celle de distraire et qui y parvient parfaitement.
Une jeune héritière se marie, mais le jour de son mariage s'enfuit et trouve refuge dans la chambre d'hôtel de son voisin, un aviateur qui dirige une petite compagnie personnelle et doit entreprendre le lendemain un vol pour convoyer un cercueil, une cargaison de poissons frais et un singe savant.
Au tout départ du film, on se dit que le film pourrait avoir inspiré Runaway Bride avec Julia Roberts, car l'héroïne a déjà été fiancée plusieurs fois et ne s'est pas mariée, finalement elle saute le pas et c'est le début de la galère pour son voisin. Nous sommes ici dans ces comédies américaines typiques qui reposent essentiellement sur le casting et sur les situations un peu déjantées entrainées par les confrontations entre les personnages principaux. Assez étonnant ici de découvrir une Joan Fontaine, au total opposé de ses rôles habituels, ravissante avec ses cheveux noués en macarons, elle illumine l'écran par sa présence. Elle ne donne pas dans l'exubérance, mais naturellement plus dans le raffinement et dans un comique plus "sophistiqué" en quelque sorte. Il faut la voir en costume d'aviatrice aux chaussures trop grandes... A ses côtés James Stewart retrouve son personnage habituel d'homme quelque peu dépassé par les évènements mais quand même maître de sa destinée. Il est comme d'habitude parfait et forme un très joli couple avec sa partenaire. Nous ne sommes pas dans la screwball déjantée, mais dans la comédie charmante, aux situations cocasses. Et puis il y a comme dans tous ces films, ces seconds rôles qui rythment l'action et permettent aux protagonistes de voir où est leur bonheur. Roland Young, Eddie Albert complètent le casting, sans oublier Joe le chimpanzé ! Une petite comédie charmante sans aucune autre prétention que celle de distraire et qui y parvient parfaitement.
Mon blog : http://leblogdecathy.over-blog.fr/
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Re: James Stewart (1908-1997)
Je trouve cet acteur extraordinaire, l'un de mes acteurs favoris en tout cas, dans mon top 20. Pour le reste, plus que chez Capra qui en a donné une image de monsieur tout le monde qui combat pour ses idéaux (beau, mais un zeste trop simpliste, sauf peut-être en ce qui concerne It's wonderful life, merveilleux film), je préfère ce qu'en ont tiré Hitchcock et Mann, les deux metteurs en scène qui lui ont donné ses plus beaux contre-emplois. Chez ces deux hommes (et particulièrement dans les cinq westerns de Mann et dans Rope et Vertigo d'Hitchcock), on sent toute l'ambiguïté qui se dégage de sa personnalité. C'est troublant et très fort en même temps.
Si je devais citer un top 5 pour cet acteur, alors ce serait (mais difficilement) :
Vertigo (1958) - Alfred Hitchcock
Winchester 73 (1950) - Anthony Mann
It's wonderful life (1946) - Frank Capra
The naked spur (1953) - Anthony Mann
Rear window (1954) - Alfred Hitchcock
Mais c'est très dur, ne serait-ce qu'avec les cinq westerns Mann-Stewart et dont je ne sais jamais lequel préférer, tant ce sont tous les cinq de purs chefs-d'œuvre...
Si je devais citer un top 5 pour cet acteur, alors ce serait (mais difficilement) :
Vertigo (1958) - Alfred Hitchcock
Winchester 73 (1950) - Anthony Mann
It's wonderful life (1946) - Frank Capra
The naked spur (1953) - Anthony Mann
Rear window (1954) - Alfred Hitchcock
Mais c'est très dur, ne serait-ce qu'avec les cinq westerns Mann-Stewart et dont je ne sais jamais lequel préférer, tant ce sont tous les cinq de purs chefs-d'œuvre...
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Re: James Stewart (1908-1997)
Cet acteur etait tellement bon, et dans tant de films differents......;que choisir:....Allez, Lubitch, Mann, Ford; THE SHOP AROUND.....pour la jeunesse; THE MAN FROM LARAMIE, pour la maturité, et LES DEUX CAVALIERS pour..... Ford ! mais il y en a tant d'autres......Que retenir de lui: le sourire !, et puis cette voix , et cette façon tres personnelle de terminer ses phrases( haut perché)......la demarche aussi; à tous points de vue, un acteur inoubliable !!!
F d F ( Fan de Ford )
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Re: James Stewart (1908-1997)
Incontestablement ... un des plus grand à l'instar de Wayne , Cooper , Tracy , Gable , Fonda , Grant , Bogart , Flynn ou Tyrone Power ... en tout cas dans ce cercle des 10 ...villag a écrit :Cet acteur etait tellement bon, et dans tant de films differents......;que choisir:....Allez, Lubitch, Mann, Ford; THE SHOP AROUND.....pour la jeunesse; THE MAN FROM LARAMIE, pour la maturité, et LES DEUX CAVALIERS pour..... Ford ! mais il y en a tant d'autres......Que retenir de lui: le sourire !, et puis cette voix , et cette façon tres personnelle de terminer ses phrases( haut perché)......la demarche aussi; à tous points de vue, un acteur inoubliable !!!
on retiendra bien sur les 2 Capra : "Mr Smith et la vie est belle" ... "the mortal storm" de Borzage , " the shop around ...." , le superbe "la fleche brisée " de Delmer Daves ... les westerns avec Anthony Mann , sans oublier de ce même Mann "romance inachevée" ... bien entendu les films de Sir Alfred avec pour mon compte une préférence pour "vertigo" ... et je finirai sur "liberty valance " de John Ford ... plus d'ailleurs pour le film dans son ensemble que Jimmy Stewart en particulier ...
Enfin un des géant du cinéma ...