Georges Lautner (1926-2013)

[Kevin95]

Il y en a ici qui ont vu son film avec Sophie Duez et Robert Mitchum (oui, je sais, moi aussi ça me fait bizarre) "Présumé Dangereux"?

Pas gegene.

Quasiment plus aucun souvenir juste le sentiment d'être devant un épisode du Commissaire Moulin et qu’après l'étrangement réussit La Maison assassinée, Lautner s'en fout royalement de se qu'il tourne (sentiment confirmé par ses mémoires où en gros il dit sensiblement la même chose).

[Eusebio Cafarelli]

Georges Lautner n'est plus... http://next.liberation.fr/cinema/2013/1 ... um=twitter

[Major Tom]

Georges Lautner n'est plus...

Ah merde.

C'était un réalisateur que j'appréciais énormément, qui a bercé ma jeunesse et à qui je dois beaucoup de ma cinéphilie.
Outre sa mère (Renée Saint-Cyr) qui est apparue dans plusieurs de ses films, il avait une muse en la personne de Mireille Darc, dont le cinéaste disait que Philippe Sarde avait composé la mélodie parfaite dans La Valise (à 0:23, après le petit chant juif de Marielle):

Spoiler (cliquez pour afficher)

Darc est apparue dans treize de ses films, aussi bien dans des rôles comiques (Ne nous fâchons pas, Laisse aller c'est une valse, La Valise, Il était une fois un flic) que des rôles nettement plus dramatiques (Mort d'un pourri, Les Seins de glace). J'essaie d'ailleurs depuis des mois de voir Galia, le seul film de leur collaboration qui me manque...
J'étais tombé il y a quelques temps sur cette vidéo de leurs retrouvailles à Paris en 2010, c'est très intéressant: http://youtu.be/GQsHyLGVunQ (edit: d'ailleurs l'anecdote sur Sarde pour La Valise vient de là).

Je ne reviendrai pas sur ses classiques sur lesquels d'autres reviendront sûrement mieux que moi, car si c'est d'abord par les fameux Tontons et autres Barbouzes qu'on peut certainement le découvrir en priorité, personnellement c'est d'abord par ses comédies tardives que le cinéaste s'est révélé à moi quand j'étais très jeune. Même Joyeuses Pâques, et même (surtout) Ils sont fous ces sorciers avaient ma sympathie quand j'étais gosse.
Il était une fois un flic est encore un de mes préférés de son auteur: Constantin, Darc, le gamin turbulent qui veut son camion de police, la musique d'Eddie Vartan (dont j'attends toujours une édition dans le commerce), Venantino Venantini et l'autre acolyte formant un duo de pseudos tueurs américains, Henri Guybet et Jean-Jacques Moreau en inspecteurs balourds, l'apparition amicale et totalement gratuite de Delon et, déjà, sa chère Côte d'Azur (le film se passe à Nice, comme souvent dans sa filmographie). Une petite perle.

Son film hippie, La Route de Salina avec Mimsy Farmer et une Rita Hayworth dans un de ses derniers rôles (et alors au plus bas), est une curiosité très intéressante qui m'avait fortement marqué à sa découverte. Côté dramatique, vaut quand même mieux se tourner vers quelques valeurs sûres comme Les Seins de glace ou Mort d'un pourri.

Grand amateur de cascades (surtout automobiles), avec la compagnie souvent rassurante de Remy Julienne pour en assurer une bonne majorité dans sa filmographie, il faut reconnaître qu'il lui arrivait d'en foutre un peu n'importe où comme dans ce vaudeville filmé de Joyeuses Pâques, où il faisait faire à Belmondo des acrobaties totalement gratuites pour aérer le théâtre au grand air de sa Côte d'Azur chérie. Reste que les cascades absurdes ouvrant Pas de problème!, avec l'excellente partition de Sarde, font partie des plus drôles et créatives jamais réalisées.

Une critique que l'on pourrait faire à ses comédies des années 70, est d'avoir pris pour base des sujets intéressants (un cadavre encombrant dans Pas de problème!, un voleur qui se retrouve avec un microfilm dans Le Guignolo, un évadé qui se fait passer pour un juge dans Est-ce bien raisonnable?, un protagoniste dont on ignore s'il est flic ou voyou dans le film du même nom, etc.) sans réfléchir à écrire des fins intéressantes avant de se lancer dans le tournage, pensant que l'idée finale viendrait au fur et à mesure.
C'est d'ailleurs comme ça que Francis Veber (qui avait écrit Il était une fois un flic) s'était retrouvé associé en catastrophe en tant que "script doctor" sur Pas de problème!
Lautner lui disait grosso modo: "Demain je tourne la fin du film. Les héros ouvrent la porte d'un chalet et là... je ne sais pas ce qui se passe." Veber a quand même réussi à broder quelque chose tout juste passable, mais force est d'admettre qu'il manquait vraiment un vrai travail de pré-production à certains de ses films, et on restait parfois sur sa faim. C'est une critique valable jusque dans sa dernière comédie à valoir le coup d'œil: La Vie dissolue de Gérard Floque, où le rythme s’essouffle terriblement dans la deuxième partie, après une première absolument géniale, avec notamment un excellent pétage de plombs de Galabru (dommage qu'il n'y ait pas sur YouTube l'extrait avec la pub atroce qui le met dans cet état).

Veber reviendra plus tard aider la production du Professionnel emmerdée par l'inintérêt d'Audiard pour ce film (en réalité, le dialoguiste travaillait sur un script largement plus important: Garde à vue, "qu'il n'a pas loupé, celui-là" dira Veber)... Le Professionnel est également un film de mon enfance et, naturellement, je versais ma petite larme à la fin.

En dépit de ce défaut d'inégalité, j'adore ses films. En ce moment, je me passe la B.O. d'Est-ce bien raisonnable?, film que j'ai dû découvrir sur France 2, il y a bien longtemps, lors d'un de ces dimanches soirs monotones qui précèdent le dodo puis l'école le lendemain. Certes ce n'est pas un classique, mais c'est loin d'être honteux une comédie décontractée rondement mise en scène: Lautner était quand même un technicien hors pair (avec beaucoup d'idées visuelles). Lanvin et ses pompes jaunes, l'évasion avec le flingue scotché sous le banc, la partie "road movie" dans la petite voiture de Miou Miou, le restau-route avec Dominique Lavanant et la table de flics derrière Lanvin, Guybet en petit ami soi-disant imposant et bourre-pif ou Darroussin en dépressif collant, etc. Même si la deuxième partie avec Renée Saint-Cyr, Galabru et Guiomar est tirée par les cheveux, partant même un peu dans le délire, je garde un grand attachement pour ce film.

J'adore le passage où il pense se débarrasser de Miou Miou juste après son évasion: elle l'attend dans sa voiture pendant qu'il va soi-disant chercher un dossier "chez lui", traverse des cours d'immeubles, offre au passage sa cravate à des gamins en rollers, puis finalement, s'apercevant que son acolyte s'est fait pincer par les flics, fait demi-tour, on le voit remettre sa cravate et courir vers la voiture de Miou Miou, avec les gamins qui suivent (il en a manifestement baffé un) et qui crient: "Fumier, pauv' con, ordure, salaud!"
Miou-miou: "Qu'est-ce qu'ils ont après vous?"
- C'est rien, c'est des p'tits voyous."

Même s'il nous arrivait parfois de la réentendre de films en films (comme Cosma pour certaines comédies d'ailleurs), la musique de Sarde donnait souvent une importante plus-value à ses films, et La Valise, Pas de problème!, Est-ce bien raisonnable, Mort d'un pourri, Flic ou Voyou ou Les Seins de glace contiennent des compositions originales de très grande tenue.

Je devais interviewer Lautner il y a quelques temps mais il était déjà très affaibli, on avait dû annuler.
Son dernier film pour le cinéma, L'Inconnu dans la maison, était loin d'être honteux avec un Belmondo dans un de ses derniers bons rôles, même s'il ne vaudra jamais l'original.

Une grande perte pour le cinéma français.

[lecoinducinéphage]

Lourde perte pour le cinéma français. A recommander bien sûr la lecture de ses souvenirs avec "Foutu fourbi" (Horizons illimités, 20000) et "On aura tout vu" (Flammarion, 2005)

Un document lu dans "Foutu fourbi"

Le 25 juin 1958,

Cher Monsieur,

Pardonnez-moi de répondre si tard à votre lettre qui m’a cependant beaucoup touché. C’est en effet tout le drame de ce métier de critique, métier qui n’est du reste qu’un expédient que j’abandonne peu à peu avec satisfaction : si nous savions l’histoire de chaque film – et à chaque film « son histoire » souvent plus palpitante et originale que celle qu’il raconte –, il nous serait impossible d’écrire comme nous le faisons. Je suis convaincu qu’il était quasiment impossible de faire mieux que ce que vous avez fait dans les conditions données, tout comme je suis convaincu que Mon Oncle ne justifie absolument pas ses dix-sept mois de montage et huit mois d’auditorium. Étrange cinéma !

Permettez-moi de vous dire très sincèrement que Les Mistons ne méritaient absolument pas le prix de la Mise en scène ; malheureusement, vous vous en apercevrez si vous voyez ce petit film qui complètera peut-être À pied, à cheval et en Spoutnik. Cela dit, j’ai davantage de chance que vous, puisque je vais tourner en octobre, en six semaines, un film de long métrage dont j’ai écrit le scénario moi-même – les aventures de deux gosses de douze ans – et en toute liberté. Le devis sera de vingt à vingt-cinq millions, en noir et blanc.

De La Môme aux boutons, j’aime ce qui est vraiment de vous, le « ton » et c’est pourquoi je suis certain de votre réussite ; moi aussi, j’espère vous rencontrer à l’occasion et je vous envoie mes plus cordiales salutations.

François Truffaut.

[Rick Blaine]

Il était une fois un flic est encore un de mes préférés de son auteur: Constantin, Darc, le gamin turbulent qui veut son camion de police, la musique d'Eddie Vartan (dont j'attends toujours une édition dans le commerce), Venantino Venantini et l'autre acolyte formant un duo de pseudos tueurs américains, Henri Guybet et Jean-Jacques Moreau en inspecteurs balourds, l'apparition amicale et totalement gratuite de Delon et, déjà, sa chère Côte d'Azur (le film se passe à Nice, comme souvent dans sa filmographie). Une petite perle.[/justify]

Ah , je suis content que tu le cites ce film, moi aussi c'est l'un de mes films preferé de Lautner, un film simple et touchant, l'un des plus beaux rôles de Constantin. Un film très attachant.

En plus de toutes les réussites que tu as cité, et des grands classiques, il ne faut pas oublier non plus son début de carrière, la jubilatoire trilogie du Monocle, écrin parfait pour le talent de Paul Meurisse, ainsi que ses trois premières collaborations avec Blier, Marche ou Crève, arretez les Tambours et Le Septième Juré, des films forts, révélant déjà le talent formel de Lautner, sa grande science du cadrage.
Se repencher sur sa filmo révèle une sacré carrière.

[Tommy Udo]

En hommage à Georges Lautner, France 2 diffusera dimanche 24 novembre à 20h45, le film LES TONTONS FLINGUEURS, dialogues écrits par Michel Audiard, avec Lino Ventura, Bernard Blier, Jean Lefebvre, Francis Blanche, Claude Rich…

Diffusé également le même jour à la même heure sur une chaine belge...

[Watkinssien]

En hommage à Georges Lautner, France 2 diffusera dimanche 24 novembre à 20h45, le film LES TONTONS FLINGUEURS, dialogues écrits par Michel Audiard, avec Lino Ventura, Bernard Blier, Jean Lefebvre, Francis Blanche, Claude Rich…

J'adore le film (mon préféré de Lautner), mais quelle audace de la part de France 2 !

[hansolo]

Ses derniers films sont quasiment invisibles en Dvd ...

[Commissaire Juve]

En hommage à Georges Lautner, France 2 diffusera dimanche 24 novembre à 20h45, le film LES TONTONS FLINGUEURS, dialogues écrits par Michel Audiard, avec Lino Ventura, Bernard Blier, Jean Lefebvre, Francis Blanche, Claude Rich…

J'adore le film (mon préféré de Lautner), mais quelle audace de la part de France 2 !

Tu m'étonnes...

Par ailleurs, tout en étant réellement fan (y compris pour des raisons personnelles que je n'exposerai pas), j'aimerais dire que ce n'est pas un "si grand film que ça". Je serais même tenté d'ajouter que certains passages sont "un peu" chiants.

En dehors de la sympathie que nous inspirent les comédiens qui y jouent, c'est "surtout" grâce aux dialogues d'Audiard qu'il doit sa réputation. Sans ces dialogues, je vous fiche mon billet que ce film serait complètement oublié aujourd'hui (tout comme est oublié un "Frères Volfonizploitation movie" comme Du mou dans la gachette).

Enfin, les présentateurs télé imbéciles (qui n'ont généralement vu que quatre films dans leur vie) citent souvent la scène de la cuisine comme "scène ultime" ! Bah bah bah ! n'importe quoi. A titre perso, je pense que le film est émaillé d'un tas de petits moments beaucoup plus désopilants : "Mais i' connaît pas Raoul, ce mec...", "Happy birthday to you...", "Je vais lui montrer qui c'est Raoul....", "Alors, i' dort le gros con ?" etc.

Mais... Ne nous fâchons pas, les gars !

Petite pensée émue pour Léonard Michalon... le Belphégor des hippodromes... la mascotte des tortionnaires.

[hansolo]

Enfin, les présentateurs télé imbéciles (qui n'ont généralement vu que quatre films dans leur vie) citent souvent la scène de la cuisine comme "scène ultime" ! Bah bah bah ! n'importe quoi. A titre perso, je pense que le film est émaillé d'un tas de petits moments beaucoup plus désopilants : "Mais i' connaît pas Raoul, ce mec...", "Happy birthday to you...", "Je vais lui montrer qui c'est Raoul....", "Alors, i' dort le gros con ?" etc

Ben; c'est un peu comme ceux qui pensent connaître les films de Chaplin parce qu'il en ont vu un court extrait ou 'Chantons sous la Pluie' juste par l'extrait le plus célèbre de G Kelly sous la Pluie (alors qu'il y a tellement de sscènes mémorables dans ce film)

[Major Tom]

Il était une fois un flic est encore un de mes préférés de son auteur: Constantin, Darc, le gamin turbulent qui veut son camion de police, la musique d'Eddie Vartan (dont j'attends toujours une édition dans le commerce), Venantino Venantini et l'autre acolyte formant un duo de pseudos tueurs américains, Henri Guybet et Jean-Jacques Moreau en inspecteurs balourds, l'apparition amicale et totalement gratuite de Delon et, déjà, sa chère Côte d'Azur (le film se passe à Nice, comme souvent dans sa filmographie). Une petite perle.[/justify]

Ah , je suis content que tu le cites ce film, moi aussi c'est l'un de mes films preferé de Lautner, un film simple et touchant, l'un des plus beaux rôles de Constantin. Un film très attachant.

En plus de toutes les réussites que tu as cité, et des grands classiques, il ne faut pas oublier non plus son début de carrière, la jubilatoire trilogie du Monocle, écrin parfait pour le talent de Paul Meurisse, ainsi que ses trois premières collaborations avec Blier, Marche ou Crève, arretez les Tambours et Le Septième Juré, des films forts, révélant déjà le talent formel de Lautner, sa grande science du cadrage.
Se repencher sur sa filmo révèle une sacré carrière.

C'est comme Molinaro avec ses premiers films, des polars étonnants et très bien foutus, assez surprenant de la part de celui qui fera plus tard À gauche en sortant de l'ascenseur (et avant ça, des comédies que j'adore).

J'ai remanié et augmenté mon texte-hommage à Lautner, naturellement:

http://romaindesbiens.over-blog.com/201 ... -2013.html

[Federico]

J'adore le film (mon préféré de Lautner), mais quelle audace de la part de France 2 !

Tu m'étonnes...

Par ailleurs, tout en étant réellement fan (y compris pour des raisons personnelles que je n'exposerai pas), j'aimerais dire que ce n'est pas un "si grand film que ça". Je serais même tenté d'ajouter que certains passages sont "un peu" chiants.

Tu peux. Lautner flanchouille carrément sur la fin.

En dehors de la sympathie que nous inspirent les comédiens qui y jouent, c'est "surtout" grâce aux dialogues d'Audiard qu'il doit sa réputation. Sans ces dialogues, je vous fiche mon billet que ce film serait complètement oublié aujourd'hui (tout comme est oublié un "Frères Volfonizploitation movie" comme Du mou dans la gachette).

Couillonnerie que je trouve aussi fort sympathique.

Enfin, les présentateurs télé imbéciles (qui n'ont généralement vu que quatre films dans leur vie) citent souvent la scène de la cuisine comme "scène ultime" ! Bah bah bah ! n'importe quoi. A titre perso, je pense que le film est émaillé d'un tas de petits moments beaucoup plus désopilants : "Mais i' connaît pas Raoul, ce mec...", "Happy birthday to you...", "Je vais lui montrer qui c'est Raoul....", "Alors, i' dort le gros con ?" etc.

Qu'on le veuille ou non, c'est malgré tout la séquence centrale du (et immédiatement associée au) film et qui plus est techniquement fort réussie car, mine de rien, il n'est pas évident de filmer avec du rythme un groupe de personnes autour d'une table. Mais je t'accorde qu'il comporte des séquences tout aussi sinon plus bidonnantes encore comme l'Assemblée Générale Extraordinaire de la Naudin Inc. sur la péniche. Où je m'éclate toujours avec le dialogue fleuri et métaphorique entre Ventura et la géniale - et trop oubliée - Dominique Davray ("Et l'affectueux du dimanche...") Ou les confrontations totalement déséquilibrées, poids lourd contre coquelet, Ventura-Rich ("C'est ça. On s'aimera moins !!")

[Julien Léonard]

J'adore certains de ses films : Il était une fois un flic, Ne nous fâchons pas (pour moi, le meilleur de sa trilogie avec Ventura), Flic ou voyou, Les seins de glace... Avec une préférence personnelle pour Mort d'un pourri, excellent thriller froid, politique et tendu, soulevé par la musique de Sarde (saxo de Chet Baker), accompagné par le regard mélancolique d'Alain Delon, traversé par une atmosphère de film noir réussie et très esthétique. Un film bien meilleur que ce que l'on a toujours voulu admettre, aux dialogues absolument remarquables (Audiard, encore). Un peu trop froid, pourra-t-on dire, un peu trop désincarné par endroits, éventuellement... mais tellement efficace, du début à la fin. J'adhère sans réserve.

RIP Monsieur Lautner.

[Tommy Udo]

J'ai remanié et augmenté mon texte-hommage à Lautner, naturellement:

http://romaindesbiens.over-blog.com/201 ... -2013.html

Très beau texte, Major !

[Léo Pard]

J'ai remanié et augmenté mon texte-hommage à Lautner, naturellement:

http://romaindesbiens.over-blog.com/201 ... -2013.html

Très beau texte, Major !

Je plussoie. Et pour la séquence intégrale de l'hilarant pétage de plombs de Galabru dans La Vie dissolue de Gérard Floque (qu'il faudrait que je revisionne, d'ailleurs), c'est par ici :