The Fountain [HD-DVD/BD]
Publié : 27 avr. 08, 23:14
Un nouvel Aronofsky, c'est un peu comme un nouveau Kounen, Stone ou Anderson... le miracle n'est pas loin, ou en tout cas possible.
Scénar qu'il a bien eu du mal à mettre en chantier, en l'adaptant au passage en comic book pour ne pas le laisser mourir dans un tiroir, The Fountain a immanquablement une place a prendre dans le paysage cinématographique. Un drame ésotérique produit par la Warner, ce n'est si courant.
Concernant l'image, maintenant que l'on est habitué à l'excellence, celle de The Foutain déçoit forcément au premier regard... l'image est trop douce et toutes les scènes du Conquistador bien trop délavées (en tout cas les noirs). En dehors de ça c'est très propres, agréable et les scènes sur Shibalta sont superbes, baignées d'un bloom éblouissant.
La piste sonnore est puissante et le score de Mansell à tomber par terre... sa plus belle production.
The fountain divise... si mon impression en salle était positive, la nouvelle vision est encore plus enthousiasmante... la puissance du duo est incroyable et la beauté picturale du film ra trappe les quelques errements narratifs.
Scénar qu'il a bien eu du mal à mettre en chantier, en l'adaptant au passage en comic book pour ne pas le laisser mourir dans un tiroir, The Fountain a immanquablement une place a prendre dans le paysage cinématographique. Un drame ésotérique produit par la Warner, ce n'est si courant.
Concernant l'image, maintenant que l'on est habitué à l'excellence, celle de The Foutain déçoit forcément au premier regard... l'image est trop douce et toutes les scènes du Conquistador bien trop délavées (en tout cas les noirs). En dehors de ça c'est très propres, agréable et les scènes sur Shibalta sont superbes, baignées d'un bloom éblouissant.
La piste sonnore est puissante et le score de Mansell à tomber par terre... sa plus belle production.
The fountain divise... si mon impression en salle était positive, la nouvelle vision est encore plus enthousiasmante... la puissance du duo est incroyable et la beauté picturale du film ra trappe les quelques errements narratifs.