C'est juste dommage que le film soit complètement pourri, quoi.Watkinssien a écrit :Mon James Bond préféré reste Die another day de Tamahori, ou la représentation de ce que James Bond fut au cinéma, de par ses archétypes et stérétotypes, de par l'évolution des technologies et techniques, de par le genre du film d'espionnage.
James Bond 007 : Sujet général
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J'ignore si c'est son aïeul, mais cette scène de la base s'enfonçant dans l'eaujulien a écrit : Sans parler de la musique de son ancêtre, Jean-Sébastien que l'on peut entendre dans la base de Karl Stromberg.
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Etrangement, ce genre de digression est un truc de Fleming, qui décrit longuement la partie de golf dans le roman Goldfinger mais expédie l'action à Fort Knox. Il s'attarde dans d'autres livres sur la description d'un paquet de clopes ou sur une mouche se promenant au-dessus d'un type endormi. Nonchalance qui peut passer à l'écrit (c'est inattendu) mais qui peut mal passer à l'écran, par rapport à ce que l'on attend d'un Bond.Jack Griffin a écrit :Et oui, bizarrement, le récit passe énormément de temps à montrer une partie de golf ou encore une voiture se faire compresser à la casse sans que cela soit vraiment nécessaire ni divertissant pour le spectateur...
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You two do make a charming couple though, you're both, what's the expression, damaged goods.
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C'était dans des bains... un établissement avec des bains.Miss Nobody a écrit :J'ai vu beaucoup de James Bond (surtout dans mon enfance, j'ai le souvenir précis de lundi soir devant la télé avec ma mère) mais -honte sur moi- j'ai du mal à les nommer et à les dissocier.
Je me souviens d'une James Bond Girl qui m'avait beaucoup marqué. Il me semble que ça doit être Famke Janssen dans GoldenEye.Besoin d'une précision: est ce que c'est dans ce film que James Bond fait sauvagement l'amour avec la Girl dans un sous marin ou un bateau (ou peut être pas, je sais plus)? (je sais: ce n'est pas très précis... )[/size]
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En revanche, je deteste Sophie Marceau en JamesBondGirl...
J'ai toujours trouvé Goldfinger hyper abouti : j'avoue prendre beaucoup de plaisir devant la partie de golf (très bien mise en scène) et devant les diverses idées de scénario bourrées de rebondissements (notamment dans l'attaque de Fort Knox). La bagarre avec le coréen est inoubliable, même si moins rythmée que celle de Bons baisers de Russie (ah celle-là !!).John Constantine a écrit :Etrangement, ce genre de digression est un truc de Fleming, qui décrit longuement la partie de golf dans le roman Goldfinger mais expédie l'action à Fort Knox. Il s'attarde dans d'autres livres sur la description d'un paquet de clopes ou sur une mouche se promenant au-dessus d'un type endormi. Nonchalance qui peut passer à l'écrit (c'est inattendu) mais qui peut mal passer à l'écran, par rapport à ce que l'on attend d'un Bond.Jack Griffin a écrit :Et oui, bizarrement, le récit passe énormément de temps à montrer une partie de golf ou encore une voiture se faire compresser à la casse sans que cela soit vraiment nécessaire ni divertissant pour le spectateur...
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Tuer n'est pas jouer
L'atout maître du film : Dalton. Qui file un bon coup de fouet au personnage après Dangereusement vôtre. Les méchants sont un peu ternes (Jeroen Yorgiiii Krabbé) mais l'air de danger, d'urgence qu'a Timothy dans le regard rachète pas mal de choses.
Permis de tuer
L'atout maître : Dalton bis, dont l'interprétation est encore un cran au-dessus (tu l'as gagné ton argent, vieille branche). Autour de lui, il y a un enrobage un peu trop américain Arme Fatale. Ca dilue Bond dans une scène où en smoking, on le voit se déguiser en serveur juste en prenant un plateau sans que personne ne le remarque. La galerie de méchants est pittoresque (Benicio Del Toro) mais Franz Sanchez a le mauvais de goût de porter des chemises roses et d'offrir du café à Bond.
Goldeneye
Objectivement, c'est le meilleur Bond de Pierce Bros (scénar, fluidité de l'action). Mais un peu comme Goldfinger, ce n'est pas mon préféré. Magie du casting fourre-tout où on retrouve Tcheky Karyo ou Gottfried John échappé de Fassbinder.
Demain ne meurt jamais
J'aime bien jusqu'à l'arrivée au Vietnam, après c'est en pilote automatique. L'idée de base était géniale mais pas finement exploitée. Michelle Yeoh menace de voler la vedette. L'espion qui m'aimait de Bros, avec cette scène jubilatoire de voiture téléguidée dans le parking.
Le Monde ne suffit pas
Tendresse pour ce film où Apted fait l'exploit de mieux réussir les scènes de dialogue que d'action. L'idée du carré relationnel formé par Bond-Elektra-Renard-M est excellente, et permet de faire jouer un peu plus la grande Judi Dench. Marceau idéalement insupportable dans son rôle de gamine pourrie. Robert Carlyle est très étrange, surtout dans la scène où il veut foutre un suppositoire atomique dans le cul d'un sous-marin.
Meurs un autre jour
Très prometteur jusqu'à l'arrivée en Islande, où le film se transforme en Moonraker de Brosnan, avec kite-surf de synthèse et Bond qui se latte avec le méchant qui balance des éclairs comme l'Empereur de Star Wars. La série se recyclant souvent, les hommages appuyés aux autres films (Halle Berry en Ursula et tout le tralala) pour célébrer l'anniversaire (cinquantième) font que la frontière entre la parodie et la célébration paresseuse est floue. Rosamund Pike est la révélation du film.
L'atout maître du film : Dalton. Qui file un bon coup de fouet au personnage après Dangereusement vôtre. Les méchants sont un peu ternes (Jeroen Yorgiiii Krabbé) mais l'air de danger, d'urgence qu'a Timothy dans le regard rachète pas mal de choses.
Permis de tuer
L'atout maître : Dalton bis, dont l'interprétation est encore un cran au-dessus (tu l'as gagné ton argent, vieille branche). Autour de lui, il y a un enrobage un peu trop américain Arme Fatale. Ca dilue Bond dans une scène où en smoking, on le voit se déguiser en serveur juste en prenant un plateau sans que personne ne le remarque. La galerie de méchants est pittoresque (Benicio Del Toro) mais Franz Sanchez a le mauvais de goût de porter des chemises roses et d'offrir du café à Bond.
Goldeneye
Objectivement, c'est le meilleur Bond de Pierce Bros (scénar, fluidité de l'action). Mais un peu comme Goldfinger, ce n'est pas mon préféré. Magie du casting fourre-tout où on retrouve Tcheky Karyo ou Gottfried John échappé de Fassbinder.
Demain ne meurt jamais
J'aime bien jusqu'à l'arrivée au Vietnam, après c'est en pilote automatique. L'idée de base était géniale mais pas finement exploitée. Michelle Yeoh menace de voler la vedette. L'espion qui m'aimait de Bros, avec cette scène jubilatoire de voiture téléguidée dans le parking.
Le Monde ne suffit pas
Tendresse pour ce film où Apted fait l'exploit de mieux réussir les scènes de dialogue que d'action. L'idée du carré relationnel formé par Bond-Elektra-Renard-M est excellente, et permet de faire jouer un peu plus la grande Judi Dench. Marceau idéalement insupportable dans son rôle de gamine pourrie. Robert Carlyle est très étrange, surtout dans la scène où il veut foutre un suppositoire atomique dans le cul d'un sous-marin.
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Très prometteur jusqu'à l'arrivée en Islande, où le film se transforme en Moonraker de Brosnan, avec kite-surf de synthèse et Bond qui se latte avec le méchant qui balance des éclairs comme l'Empereur de Star Wars. La série se recyclant souvent, les hommages appuyés aux autres films (Halle Berry en Ursula et tout le tralala) pour célébrer l'anniversaire (cinquantième) font que la frontière entre la parodie et la célébration paresseuse est floue. Rosamund Pike est la révélation du film.
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C'était le quarantième anniversaire. Sinon, merci beaucoup pour ton résumé personnel (avec lequel je ne suis pas toujours d'accord), ce fut intéressant à lire !!John Constantine a écrit :
Meurs un autre jour
Très prometteur jusqu'à l'arrivée en Islande, où le film se transforme en Moonraker de Brosnan, avec kite-surf de synthèse et Bond qui se latte avec le méchant qui balance des éclairs comme l'Empereur de Star Wars. La série se recyclant souvent, les hommages appuyés aux autres films (Halle Berry en Ursula et tout le tralala) pour célébrer l'anniversaire (cinquantième) font que la frontière entre la parodie et la célébration paresseuse est floue. Rosamund Pike est la révélation du film.
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Et un nouveau lien vers un autre dossier de DVDrama :
http://www.dvdrama.com/news.php?17495(les gadgets)
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Ha... Alors ça ne doit pas être ça...Julien Léonard a écrit :C'était dans des bains... un établissement avec des bains.Miss Nobody a écrit :
Besoin d'une précision: est ce que c'est dans ce film que James Bond fait sauvagement l'amour avec la Girl dans un sous marin ou un bateau (ou peut être pas, je sais plus)? (je sais: ce n'est pas très précis... )[/size]
En revanche, je deteste Sophie Marceau en JamesBondGirl...
J'ai le souvenir d'un sous-marin moi!
Enfin... remarque...
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Si c'est Jamais plus jamais (non-officiel), alors c'est Barbara Carrera dans un bateau...Miss Nobody a écrit :Oui mais il me semble que c'est surtout la jamesbondgirl qui était sauvage dans cette scène!Lord Henry a écrit :James Bond ne fait sauvagement l'amour dans aucun film.
Si c'est Goldeneye, alors c'est Famke Jansen dans un établissement avec des bains... A noter qu'ils ne font pas l'amour : c'est un rapport violent et un peu (très) sado-maso, mais au final Bond la jette et ne fait pas l'amour avec... Quoi, faut que je le revoies, mais bon...