Re: James Bond 007 : Sujet général
Publié : 12 nov. 11, 00:12
Ha, j'en étais sûr, elle avait des collants! J'avais peur que ce soit un effet de luminosité...
Major: merci.
Major: merci.
J'arrive smiley qui baveMajor Tom a écrit :
Yep yap, je t'attends...
...Dunn a écrit :C'est Get carter l'original avec Caine.?
Oui...
Je crois qu'en 2000 elle ne ressemblait déjà plus beaucoup à la photo...
Comment ça a pu t'échapper, à toi?!yaplusdsaisons a écrit :Ha, j'en étais sûr, elle avait des collants!
A l'époque la plupart des collants étaient ignobles, il y avait un attirail pas possible de coutures et de renforcements au niveau du bassin, des fois même carrément à mi-cuisse, ça ne s'imposait vraiment que pour la mini-jupe. C'est pour ça que j'ai hésité. La morale de l'histoire c'est qu'il ne faut jamais désespérer.Major Tom a écrit :Comment ça a pu t'échapper, à toi?!yaplusdsaisons a écrit :Ha, j'en étais sûr, elle avait des collants!
riqueuniee a écrit :Pas si ignobles que ça .
Le bas auto-fixant est une abomination, avec la jarretière caoutchouc on est carrément dans le domaine du prothésiste...Et en tout cas bien plus faciles à porter que des bas et des jarretelles. (on n'avait pas encore inventé le bas auto-fixant)
la bande auto fixante procure un leger aspect Cronenbergien qui ne laisse pas insensibles certains. Et puis, ce qu'on perd en vintage, on le gagne en fraicheur technologique...histoire de rester sur la thematique du gadget Bondienyaplusdsaisons a écrit :Le bas auto-fixant est une abomination, avec la jarretière caoutchouc on est carrément dans le domaine du prothésiste...
Cronenberg ou pas, la prochaine que surprends avec ça je l'arrange à coups de clé à mollette. Bienvenue à toi nonobstant.R. Underwood a écrit :la bande auto fixante procure un leger aspect Cronenbergien qui ne laisse pas insensibles certains. Et puis, ce qu'on perd en vintage, on le gagne en fraicheur technologique...histoire de rester sur la thematique du gadget Bondienyaplusdsaisons a écrit :Le bas auto-fixant est une abomination, avec la jarretière caoutchouc on est carrément dans le domaine du prothésiste...
Moi non plus. Je n'ai pas été gêné par cette séquence. Après une grosse cascade, voir Connery tomber sur le trône et s'agripper furtivement au rouleau de PQ, c'est assez marrant. L'escalade en elle-même est une séquence plutôt efficace et pour le coup, je trouve les transparences presque mieux foutues que dans Die Hard. Ce qui m'a plus gêné, c'est le déclenchement de cette séquence. On dirait que ça lui prend comme une envie de pisser, à Bond, d'aller explorer le sommet de la tour, et qu'il sait exactement comment faire.Major Tom a écrit :Je ne vois toujours pas ce qu'elle a de ridicule la scène où Bond escalade le haut du gratte-ciel, même lorsqu'il atterrit sur une cuvette de chiottes.
Effectivement, un grand souvenir !Major Tom a écrit :Et puis vous idéalisez un peu les choses concernant Moore: je rappelle que l'arrivée de Moore dans la saga, c'est Vivre et laissez mourir quoi Non seulement il y est un peu fade à 2, 3 scènes près mais il y a surtout ça...
... certainement la pire scène de mort que j'ai jamais vu, même pour un James Bond.
je suis 100% d'accord avec tout ça et j'ajoute que si Vivre est laissé mourir était mon préféré quand j'avais 12 ans c'est aujourd'hui sans doute celui qui m'ennuie le plusDemi-Lune a écrit : Pour ma part, je trouve dans l'ensemble que les années 1970 n'ont guère réussi à la franchise. La distanciation comique qui couvait dans Les Diamants sont éternels ne s'épanouira à mon avis qu'à partir de L'Espion qui m'aimait (le meilleur de cette décennie et probablement le meilleur Moore) et Moonraker, qui revendique fièrement sa loufoquerie et que j'ai de plus en plus plaisir à revoir, finalement. Les premiers Moore ne m'intéressent guère. Ils sont assez ennuyeux et vieillissent mal. [...] Avec L'Espion qui m'aimait, la décontraction moorienne trouve enfin un scénario convenable et dépaysant en diable, truffé d'idées géniales, en tête desquelles celle de faire associer Bond à une Soviétique au moins aussi pugnace que lui. La superbe Barbara Bach, que ce soit en uniforme militaire ou en robe noire, sauve en quelques apparitions toutes les cruches que Moore a connu jusqu'alors. Moonraker, c'est l'apothéose de cette démarche. Je l'aime de plus en plus, celui-là. [...]Mais il y a un tel plaisir bon enfant qu'il peut devenir irrésistible. A mes yeux, il réussit vraiment ce que Les Diamants sont éternels ambitionnait d'être : une aventure plaisamment nawak.