ben si quand même puisque le nazisme est ce qui fait évoluer les relations entre les personnages dans The mortal storm. c'est un moteur de la dramaturgie.Strum a écrit :La question de savoir comment on devient nazi, et comment le nazisme finit par changer l'individu et le faire disparaitre au profit du groupe, n'était pas le sujet de son film.
Frank Borzage (1894-1962)
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- Jean-Pierre Pernaut
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Le nazisme est un moteur de la dramaturgie. Mais c'est une simple donnée. Borzage ne fait pas oeuvre d'anthropologue, d'historien, de psychologue ou de philosophe se penchant sur le nazisme en expliquant comment il a pu changer les êtres. Pour le savoir, il vaut évidemment mieux lire Origines du totalitarisme de Arendt plutôt que de regarder The Mortal Storm de Borzage. Bon, allez.Doug Quaid a écrit :ben si quand même puisque le nazisme est ce qui fait évoluer les relations entre les personnages dans The mortal storm. c'est un moteur de la dramaturgie.
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- Jean-Pierre Pernaut
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tout à fait et c'est bien pour ça que mes "problèmes" avec ce film sont d'ordre dramaturgique plutôt qu'historique.Strum a écrit :Le nazisme est un moteur de la dramaturgie. Mais c'est une simple donnée. Borzage ne fait pas oeuvre d'anthropologue, d'historien, de psychologue ou de philosophe se penchant sur le nazisme en expliquant comment il a pu changer les êtres. Pour le savoir, il vaut évidemment mieux lire Origines du totalitarisme de Arendt plutôt que de regarder The Mortal Storm de Borzage. Bon, allez.Doug Quaid a écrit :ben si quand même puisque le nazisme est ce qui fait évoluer les relations entre les personnages dans The mortal storm. c'est un moteur de la dramaturgie.
je n'attends pas de ce film qu'il fasse oeuvre de pédagogie, par contre dans la mesure où le cinéma classique hollywoodien est pour moi une affaire de croyance, je suis assez intransigeant, limite casse-couille c'est vrai, sur la crédibilité de ce qu'il raconte.
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- Jean-Pierre Pernaut
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ha ha hier, j'ai (enfin) découvert Seventh Heaven et la fin est un sacré défi aux esprits trop pétris de rationnalité tels que le mien.Doug Quaid a écrit :, par contre dans la mesure où le cinéma classique hollywoodien est pour moi une affaire de croyance, je suis assez intransigeant, limite casse-couille c'est vrai, sur la crédibilité de ce qu'il raconte.
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Eh oui !Doug Quaid a écrit :ha ha hier, j'ai (enfin) découvert Seventh Heaven et la fin est un sacré défi aux esprits trop pétris de rationnalité tels que le mien.Doug Quaid a écrit :, par contre dans la mesure où le cinéma classique hollywoodien est pour moi une affaire de croyance, je suis assez intransigeant, limite casse-couille c'est vrai, sur la crédibilité de ce qu'il raconte.
Borzage est le cinéaste du sublime, de l'irrationnel, et du spirituel.
Pour le reste, la crédibilité n'est pas ce qui me frappe le plus, et en tout cas pas nécessairement ce que je recherche le plus (pour ça, un film néo-réaliste italien fait mieux l'affaire) dans le cinéma classique hollywoodien (n'est ce pas Hitch lui-même qui appelait les personnes qui le critiquaient pour l'invraisemblance de ses histoires "Messieurs les vraisemblants" ?)
Autre film à la fin tout à fait improbable, un peu à l'image de Seventh Heaven (la palingénésie, ça ne court pas les rues) : Lucky Star
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Enfin vu "l'heure surprême", enfin, ça aurait pu s'appeler quasiment les 2 heures sublimes
C'est simple j'ai passé la 1ère à chialer tellement c'est d'une émotion, d'une pureté, d'une simplicité boulersante. Les 2 acteurs surtout extraodinnaires surtout Janet Gaynor simplement magique.
Bref durant, une heure, on égale sans problème l'aurore
Après, je dois avouer que je suis sortis du film à plusieurs reprises à cause d'une longue scène sur les Taxis de la marne qui a pris un sacré coup de vieux et où la naiveté ne fonctionne plus ( comme la musique "patriotique ).
Et puis ayant vu la fin dans le Doc de Scorsese sur le cinéma ricain, l'émotion n'était pas aussi spontanné qu'il aurait du.
Mais rien que pour cette première partie fabuleuse, le film rentre directement dans mes 20 films préférés !!
J'aimerais en dire davantage, mais quand on aime, on bafouille, on tourne en rond et on a l'air bête à vouloir en parler....
( ps : la mise en scène est aussi sompteuse avec des décors et des compositions de plans à tomber sans parler de ce plan-séquences de l'ascension de escaliers )
C'est simple j'ai passé la 1ère à chialer tellement c'est d'une émotion, d'une pureté, d'une simplicité boulersante. Les 2 acteurs surtout extraodinnaires surtout Janet Gaynor simplement magique.
Bref durant, une heure, on égale sans problème l'aurore
Après, je dois avouer que je suis sortis du film à plusieurs reprises à cause d'une longue scène sur les Taxis de la marne qui a pris un sacré coup de vieux et où la naiveté ne fonctionne plus ( comme la musique "patriotique ).
Et puis ayant vu la fin dans le Doc de Scorsese sur le cinéma ricain, l'émotion n'était pas aussi spontanné qu'il aurait du.
Mais rien que pour cette première partie fabuleuse, le film rentre directement dans mes 20 films préférés !!
J'aimerais en dire davantage, mais quand on aime, on bafouille, on tourne en rond et on a l'air bête à vouloir en parler....
( ps : la mise en scène est aussi sompteuse avec des décors et des compositions de plans à tomber sans parler de ce plan-séquences de l'ascension de escaliers )
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C'est fou comme une image en noir et blanc comme ca donne beaucoup plus d'atmosphere qu'en couleur... magnifique cet image.
Top 20 actuel
http://www.shompy.com/someone1600/l10080_frfr.html
Mes dvd
http://someone1600.dvdaf.com/
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Sublime image, je la pique.
J'ai enfin vu A Farewell to Arms dans une copie très moche ( celle que l'on trouve sur archives.org ) et malgré la censure et malgré l'absence totale de remasterisation, ce film est un bijou, je ne m'en remets pas. Gros gros potentiel, j'en tomberais amoureuse si j'avais une bonne copie. La scène de fin m'a fait pleurer.
Je regrette vraiment de ne pas pouvoir me procurer plus de Borzage ( mais j'achèterai la copie UK de A Farewell to Arms pour le voir dans des conditions plus correctes, dans l'attente d'un éventuel coffret ? )
J'ai enfin vu A Farewell to Arms dans une copie très moche ( celle que l'on trouve sur archives.org ) et malgré la censure et malgré l'absence totale de remasterisation, ce film est un bijou, je ne m'en remets pas. Gros gros potentiel, j'en tomberais amoureuse si j'avais une bonne copie. La scène de fin m'a fait pleurer.
Je regrette vraiment de ne pas pouvoir me procurer plus de Borzage ( mais j'achèterai la copie UK de A Farewell to Arms pour le voir dans des conditions plus correctes, dans l'attente d'un éventuel coffret ? )
DEAN: So it's a show?
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LORELAI: It's a religion.
~Gilmore Girls, 2000-2007~
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Il est passé au cinéma de minuit en 1994. Mais, il n'est pas disponible commercialement....Tommy Udo a écrit :Où est-il possible de se procurer ce film ?Lylah Clare a écrit :Autre film à la fin tout à fait improbable, un peu à l'image de Seventh Heaven (la palingénésie, ça ne court pas les rues) : Lucky Star
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- Machino
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Difficile à trouver. Peut-être en zone 1 ?Tommy Udo a écrit :Où est-il possible de se procurer ce film ?Lylah Clare a écrit :Autre film à la fin tout à fait improbable, un peu à l'image de Seventh Heaven (la palingénésie, ça ne court pas les rues) : Lucky Star
Il était passé il y a quelques années au cinéma de minuit de Patrick Brion, ainsi que le sublimissime The River (La femme au corbeau), enfin, ce qu'il en reste, puisque des morceaux sont perdus (espérons pas définitivement) :
et j'avais enregistré ces films sur K7 VHS à l'époque. Si ça sortait en DVD, ou si ça repassait aujourd'hui, ça ferait aussi mon affaire...
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