Une curiosité a voir sur MyCANAL : I am a camera / Une fille comme ça. Shelley Winters en second rôle de Laurence Harvey.
Shelley Winters (1920-2006)
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Re: Shelley Winters est décédée
Dernière modification par Supfiction le 27 avr. 22, 13:26, modifié 1 fois.
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Re: Shelley Winters est décédée
RIP Shelley...
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Re: Shelley Winters est décédée
Bâtard, t'es passé avant moi
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Shelley Winters est décédée
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Re: Shelley Winters (1920-2006)
TENTACOLI (1977)
Ersatz de Jaws qui a au moins retenu l'une des grandes leçons de son modèle - ne point trop montrer sa créature prédatrice - même si je soupçonne derrière cette absence de bestiole des raisons plus pragmatiques chez Ovidio Assonitis. On ne voit donc jamais vraiment l'impressionnante pieuvre promise par l'affiche, et ses interactions avec les acteurs demeurent ultra limitées. Et puis surtout Assonitis se révèle incapable d'insuffler la moindre tension à ses scènes d'attaque, la seule à peu près satisfaisante demeurant celle, nocturne, impliquant Delia Boccardo. Après, ça reste tout de même une gentille bisserie de luxe, très soignée, avec son amusant petit défilé de cachetonneurs hollywoodiens, d'un niveau d'intérêt valant bien celui des dernières productions catastrophe d'Irwin Allen.
Ersatz de Jaws qui a au moins retenu l'une des grandes leçons de son modèle - ne point trop montrer sa créature prédatrice - même si je soupçonne derrière cette absence de bestiole des raisons plus pragmatiques chez Ovidio Assonitis. On ne voit donc jamais vraiment l'impressionnante pieuvre promise par l'affiche, et ses interactions avec les acteurs demeurent ultra limitées. Et puis surtout Assonitis se révèle incapable d'insuffler la moindre tension à ses scènes d'attaque, la seule à peu près satisfaisante demeurant celle, nocturne, impliquant Delia Boccardo. Après, ça reste tout de même une gentille bisserie de luxe, très soignée, avec son amusant petit défilé de cachetonneurs hollywoodiens, d'un niveau d'intérêt valant bien celui des dernières productions catastrophe d'Irwin Allen.
- Alexandre Angel
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Re: Shelley Winters (1920-2006)
Ce qui m'amuse toujours et me rappelle une certaine époque, ce sont les p'tites photos du casting en médaillon, survivance des grosses productions des années 60, comme Le Jour le plus long.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Shelley Winters (1920-2006)
Un certain attachement également à cette pratique qui a perduré au-delà des années 70, pour finir naturellement parodiée sur la série des Naked gun.