C'est aussi formidable que le cinéma de papa. Vivent les cinémas! De Papa, de Tonton et de nos cousines.villag a écrit :quant à la nouvelle vague......!
Henri Verneuil (1920-2002)
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Je suis quasiment d'accord avec tout ce que vous dites, mais il faut quand même se replacer un peu dans le contexte. C'est vrai que la nouvelle vague nous apportait un semblant de sang neuf et que tous les films "commerciaux" style Verneuil, Grangier, La Pattelière, etc... nous gonflait un peu. Alors que maintenant, l'effet s'est presque inversé. Je prends infiniment plus de plaisir à voir un film des réalisateurs cités plus haut que je n'en ai pris à l'époque. Il y a même eu une période où je n'allais même plus les voir.villag a écrit :C'etait en effet le sport favori des revues ciné branchées de l'époque nouvelle vague: descendre en flammes tout le cinema de papa: Verneuil, Grangier.....!Je me rappelle avoir lu dans la revue CINEMA un article dithyrambique de 2 ou 3 pages sur A DOUBLE TOUR de Chabrol, je cite de memoire -cette ombre recouvrant progressivement le beau visage de Jeanne Valérie- et dans le même temps, consacrer 3 ou 4 lignes à MELODIE EN SOUS SOL de Verneuil !!!.....aujourd'hui, je me régale de ces antiquités du genre : LE CAVE SE REBIFFE, LE PRESIDENT, quant à la nouvelle vague......!Tom Peeping a écrit :C'est une grande production en costumes qui pourrait illustrer ce qu'était la "qualité française" de l'époque, honnie des Cahiers (Truffaut avait descendu le film à sa sortie en disant qu'il avait coûté quatre fois plus que Les 400 coups).
le DVD René Chateau est vraiment excellent (image et son).
Tout çà pour dire simplement que vous avez raison mais qu'il faut quand même faire attention à ne pas inverser complètement la vapeur et crier au chef d'oeuvre au moindre film de Verneuil ou se pâmer devant n'importe quelle Audiarderie
Ceci dit "Des gens sans importance" me paraît bien approprié au terme "Chef d'oeuvre"
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Ben voilà je me suis creusé la tête pour mon petit post alors qu'Alligator n'a besoin que d'une simple phrase pour dire ce que je pensaisAlligator a écrit :C'est aussi formidable que le cinéma de papa. Vivent les cinémas! De Papa, de Tonton et de nos cousines.villag a écrit :quant à la nouvelle vague......!
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
.. et Alligator (+1) !Alligator a écrit :C'est aussi formidable que le cinéma de papa. Vivent les cinémas! De Papa, de Tonton et de nos cousines.villag a écrit :quant à la nouvelle vague......!
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Attention, je n'ai pas dit que Maxime était un chef-d'œuvre : c'est un film très bien foutu (malgré l'incompétence d'acteur de Félix Marten) qui est surtout remarquable et passionnant en tant qu'illustration du "grand genre" du cinéma à la française de l'époque. Du "cinéma de qualité" de qualité, oui, Mais de chef-d'œuvre, point.Major Dundee a écrit :Tout çà pour dire simplement que vous avez raison mais qu'il faut quand même faire attention à ne pas inverser complètement la vapeur et crier au chef d'oeuvre au moindre film de Verneuil ou se pâmer devant n'importe quelle Audiarderie
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Je ne te visais absolument pas, mon propos était d'ordre général. J'aime beaucoup "Maxime" aussi (je m'en sers d'ailleurs comme signature)Tom Peeping a écrit :Attention, je n'ai pas dit que Maxime était un chef-d'œuvre : c'est un film très bien foutu (malgré l'incompétence d'acteur de Félix Marten) qui est surtout remarquable et passionnant en tant qu'illustration du "grand genre" du cinéma à la française de l'époque. Du "cinéma de qualité" de qualité, oui, Mais de chef-d'œuvre, point.Major Dundee a écrit :Tout çà pour dire simplement que vous avez raison mais qu'il faut quand même faire attention à ne pas inverser complètement la vapeur et crier au chef d'oeuvre au moindre film de Verneuil ou se pâmer devant n'importe quelle Audiarderie
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
C'est drole, mais c'est la même chose pour moi ! ;j'etais , à l'époque abonné à la revue CINEMA , ( que je dénigre aujourd'hui ), et je prenais, moi aussi, de haut tout ce cinema dépassé dont je me regale maintenant; il ne fallait pas me parler de Gabin, .....etc; comme quoi.......!Major Dundee a écrit :C'est Je suis quasiment d'accord avec tout ce que vous dites, mais il faut quand même se replacer un peu dans le contexte. C'est vrai que la nouvelle vague nous apportait un semblant de sang neuf et que tous les films "commerciaux" style Verneuil, Grangier, La Pattelière, etc... nous gonflait un peu. Alors que maintenant, l'effet s'est presque inversé. Je prends infiniment plus de plaisir à voir un film des réalisateurs cités plus haut que je n'en ai pris à l'époque. Il y a même eu une période où je n'allais même plus les voir.
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
comme quoi il fait pas bon vieillir.villag a écrit :C'est drole, mais c'est la même chose pour moi ! ;j'etais , à l'époque abonné à la revue CINEMA , ( que je dénigre aujourd'hui ), et je prenais, moi aussi, de haut tout ce cinema dépassé dont je me regale maintenant; il ne fallait pas me parler de Gabin, .....etc; comme quoi.......!Major Dundee a écrit :C'est Je suis quasiment d'accord avec tout ce que vous dites, mais il faut quand même se replacer un peu dans le contexte. C'est vrai que la nouvelle vague nous apportait un semblant de sang neuf et que tous les films "commerciaux" style Verneuil, Grangier, La Pattelière, etc... nous gonflait un peu. Alors que maintenant, l'effet s'est presque inversé. Je prends infiniment plus de plaisir à voir un film des réalisateurs cités plus haut que je n'en ai pris à l'époque. Il y a même eu une période où je n'allais même plus les voir.
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Le président (1961)
Alors là, je suis époustouflé par la performance de Gabin, plus crédible que nature en président du conseil. Il est vraiment extraordinaire, tant il est habité dans son rôle, comme le montre deux de ses plus grands moments (à l'Assemblée Nationale et le face-à-face avec Bernard Blier).
Et les dialogues d'Audiard se montrent plus graves qu'à l'accoutumée, et qu'est-ce qu'ils sonnent justes (près de 50 ans après, un certain président devrait en prendre de la graine ). Il est dommage qu'aujourd'hui, on ait droit à très peu de films politiques, mais à cet époque, Audiard (et Verneuil) savaient faire mouche dans l'étude des hautes sphères du pouvoir, ce qui le rend le film très intéressant.
Alors là, je suis époustouflé par la performance de Gabin, plus crédible que nature en président du conseil. Il est vraiment extraordinaire, tant il est habité dans son rôle, comme le montre deux de ses plus grands moments (à l'Assemblée Nationale et le face-à-face avec Bernard Blier).
Et les dialogues d'Audiard se montrent plus graves qu'à l'accoutumée, et qu'est-ce qu'ils sonnent justes (près de 50 ans après, un certain président devrait en prendre de la graine ). Il est dommage qu'aujourd'hui, on ait droit à très peu de films politiques, mais à cet époque, Audiard (et Verneuil) savaient faire mouche dans l'étude des hautes sphères du pouvoir, ce qui le rend le film très intéressant.
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Mille milliards de dollars (1982)
Du grand cinéma populaire ET intelligent, au dialogue toujours aussi juste près de 30 ans après.
Et Patrick Dewaere est encore une fois génial en journaliste chargé de mettre en lumière la vérité sur GTI. L'intrigue est par moments un peu complexe (surtout qu'elle trouve son point culminant lors d'un flash-back durant la 2eme guerre mondiale), mais tout se met en place à la conclusion du film.
On voit bien le caractère impitoyable d'un PDG pas si "clean" que ça, qui va jusqu'à virer 10000 personnes en Italie car ceux-ci se sont mis en gréve, et délocaliser le reste de son entreprise en Suisse, avec la plus grande des froideurs.
Et le dernier plan de Dewarere, quand il est au téléphone avec son ex-épouse, et le dialogue qui s'en suit, est juste magnifique sur la portée d'une telle enquête, menée non sans embûches.
Du grand cinéma populaire ET intelligent, au dialogue toujours aussi juste près de 30 ans après.
Et Patrick Dewaere est encore une fois génial en journaliste chargé de mettre en lumière la vérité sur GTI. L'intrigue est par moments un peu complexe (surtout qu'elle trouve son point culminant lors d'un flash-back durant la 2eme guerre mondiale), mais tout se met en place à la conclusion du film.
On voit bien le caractère impitoyable d'un PDG pas si "clean" que ça, qui va jusqu'à virer 10000 personnes en Italie car ceux-ci se sont mis en gréve, et délocaliser le reste de son entreprise en Suisse, avec la plus grande des froideurs.
Et le dernier plan de Dewarere, quand il est au téléphone avec son ex-épouse, et le dialogue qui s'en suit, est juste magnifique sur la portée d'une telle enquête, menée non sans embûches.
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
100 000 dollars au soleil
Là aussi, grosse claque dans la tronche !
Alors, effectivement, le film met un peu de temps à démarrer, mais quand c'est parti ça ne s'arrête plus, c'est haletant et excellent jusqu'à la fin du métrage.
100 000 dollars au soleil est une sorte de road movie/western situé au coeur de l'Afrique: désert du Sahara.
En plein cagnard, c'est une course poursuite de camions entre un chauffeur (devenu voleur de marchandise), et son collègue qui est ordonné par son patron, de récupérer le tout.
Verneuil filme avec brio cette histoire (de superbe cadres, j'adore sa mise en scène) et Audiard livre des dialogues cultes de chez cultes.
Pas grand chose à redire, si ce n'est que j'ai trouvé Belmondo un peu agaçant à la longue. Je ne saurai dire si c'est le personnage moqueur ou bien l'interprétation un peu fade qui me donne cette impression. Probablement un peu des deux !
Là aussi, grosse claque dans la tronche !
Alors, effectivement, le film met un peu de temps à démarrer, mais quand c'est parti ça ne s'arrête plus, c'est haletant et excellent jusqu'à la fin du métrage.
100 000 dollars au soleil est une sorte de road movie/western situé au coeur de l'Afrique: désert du Sahara.
En plein cagnard, c'est une course poursuite de camions entre un chauffeur (devenu voleur de marchandise), et son collègue qui est ordonné par son patron, de récupérer le tout.
Verneuil filme avec brio cette histoire (de superbe cadres, j'adore sa mise en scène) et Audiard livre des dialogues cultes de chez cultes.
Pas grand chose à redire, si ce n'est que j'ai trouvé Belmondo un peu agaçant à la longue. Je ne saurai dire si c'est le personnage moqueur ou bien l'interprétation un peu fade qui me donne cette impression. Probablement un peu des deux !
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Re: Notez les films napthas - Novembre 2009
Weekend à Zuydicote de Henri Verneuil (1964)
Adapté d'un roman de Robert Merle, une intrigue qui dépeint un épisode peu traité de la seconde guerre mondiale côté français, la déroute de la bataille de Dunkerque. A part peut êre dans "Le Caporal épinglé" de Renoir, jamais on a su aussi bien dépeindre la détresse des soldats français face à la défaite imminente. Complètement perdus, avec pour certains les signe avant coureur des moments sombres qui s'annoncent avec l'Occuppation tel le personnage Pierre Mondy qui se prépare une situation confortable en attente de l'envahisseur allemand, ceux qui cèdent à leur plus bas instinct comme lors d'une tentative de viol ou ceux tel le héros joué par Bebel qui veulent bien faire mais que la complexité de la situation dépasse. Evitant brillamment le manichéisme (Catherine Spaak à peine sauvé du viol prête à Belmondo céder pour sauver sa maison) le film dans sa première partie adopte presque le ton de la comédie picaresque au milieu du chaos avec un Belmondo souhaitant embarquer pour l'Angleterre et rencontrant foule de personnages et péripéties faisant écho à la situation catastrophique du pays. La dernière heure par contre est assez éprouvante dans son désespoir et la noirceur absolue où s'enfonce l'intrigue, le destin du couple entre le soldat anglais et la française, la fin tragique de François Perrier et bien sûr ce final poignant où la seule lueur d'espoir s'éteint violemment. Réalisation très impressionnante de Verneuil qui semble avoir bénéficié de très gros moyens. Des figurants à pertes de vue, une action toujours en mouvement en arrière plan, des scène de destruction et de bombardements spectaculaires et surtout une assez incroyable séquence où un bateau transportant des garnison anglaise et bombardés avec la fuite éperdue des soldats essayant d'échapper à la noyade. Grand film elle est loin l'époque où le cinéma français produisait des oeuvres de ce calibre. 6/6 Film du mois d'office
Adapté d'un roman de Robert Merle, une intrigue qui dépeint un épisode peu traité de la seconde guerre mondiale côté français, la déroute de la bataille de Dunkerque. A part peut êre dans "Le Caporal épinglé" de Renoir, jamais on a su aussi bien dépeindre la détresse des soldats français face à la défaite imminente. Complètement perdus, avec pour certains les signe avant coureur des moments sombres qui s'annoncent avec l'Occuppation tel le personnage Pierre Mondy qui se prépare une situation confortable en attente de l'envahisseur allemand, ceux qui cèdent à leur plus bas instinct comme lors d'une tentative de viol ou ceux tel le héros joué par Bebel qui veulent bien faire mais que la complexité de la situation dépasse. Evitant brillamment le manichéisme (Catherine Spaak à peine sauvé du viol prête à Belmondo céder pour sauver sa maison) le film dans sa première partie adopte presque le ton de la comédie picaresque au milieu du chaos avec un Belmondo souhaitant embarquer pour l'Angleterre et rencontrant foule de personnages et péripéties faisant écho à la situation catastrophique du pays. La dernière heure par contre est assez éprouvante dans son désespoir et la noirceur absolue où s'enfonce l'intrigue, le destin du couple entre le soldat anglais et la française, la fin tragique de François Perrier et bien sûr ce final poignant où la seule lueur d'espoir s'éteint violemment. Réalisation très impressionnante de Verneuil qui semble avoir bénéficié de très gros moyens. Des figurants à pertes de vue, une action toujours en mouvement en arrière plan, des scène de destruction et de bombardements spectaculaires et surtout une assez incroyable séquence où un bateau transportant des garnison anglaise et bombardés avec la fuite éperdue des soldats essayant d'échapper à la noyade. Grand film elle est loin l'époque où le cinéma français produisait des oeuvres de ce calibre. 6/6 Film du mois d'office
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Une question (enfin plusieurs) d'ordre technique à propos du Clan des Siciliens:
Est ce que le film a été tourné en noir et blanc à la base, et à été colorisé par la suite ?
Que vaut la version couleur ? J'ai un gros faible pour le noir et blanc et j'ai peur que la colorisation soit foirée...
Puis est ce que les éditions dvd proposent les 2 versions ?
Merci.
Est ce que le film a été tourné en noir et blanc à la base, et à été colorisé par la suite ?
Que vaut la version couleur ? J'ai un gros faible pour le noir et blanc et j'ai peur que la colorisation soit foirée...
Puis est ce que les éditions dvd proposent les 2 versions ?
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- Jeremy Fox
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Le clan des siciliens a toujours été un film couleur.Jericho a écrit :Une question (enfin plusieurs) d'ordre technique à propos du Clan des Siciliens:
Est ce que le film a été tourné en noir et blanc à la base, et à été colorisé par la suite ?
Que vaut la version couleur ? J'ai un gros faible pour le noir et blanc et j'ai peur que la colorisation soit foirée...
Puis est ce que les éditions dvd proposent les 2 versions ?
Merci.
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Re: Henri Verneuil (1920-2002)
Ah d'accord, certaines photos que j'ai vu étaient en noir et blanc et j'en ai déduis qu'il était tourné comme tel.
Bon ben, merci pour l'info, ça simplifie la chose !
EDIT: ma mémoire me joue des tours, en fait j'avais vu une courte vidéo en noir et blanc d'un film de Verneuil avec Delon et Gabin, c'était Mélodie en sous sol ! Mais c'est bien Le Clan des Siciliens que je veux découvrir !
Bon ben, merci pour l'info, ça simplifie la chose !
EDIT: ma mémoire me joue des tours, en fait j'avais vu une courte vidéo en noir et blanc d'un film de Verneuil avec Delon et Gabin, c'était Mélodie en sous sol ! Mais c'est bien Le Clan des Siciliens que je veux découvrir !