
Audrey Hepburn (1929-1993)
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Je pense la meme chose que demi-lune... autant j'admire la technique, autant je trouve que c'est plutot malsain d'utiliser une icone décédé pour faire une pub. 


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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Je suis amoureux d'Audrey Hepburn!
je le suis depuis mes 12 ans quand j'ai découvert my fair lady et si aujourd'hui ce n'est plus le film que je préfère d'elle (moi aussi j'aurais voulu voir Julie Andrews dans le rôle, d'autant que j'étais amoureux de Mary Poppins avant de découvrir Elisa Doolitle
), j'ai quand même toujours beaucoup d'affection pour ce film et surtout je n'ai pratiquement jamais été déçu par Audrey Hepburn (mais je n'ai jamais vu ses films les plus contesté non plus). On peut dire qu'elle n'a jamais vraiment pris de risque mais son charme et son charisme était allié a de vrai qualité d'actrice et des films comme Guerre et Paix, Voyage a deux, Breakfast at tiffany's (ou elle va quand même un peu plus loin que la cendrillon/femme enfant ou on l'a souvent cantonnée), et bien sur Au risque de se perdre et la rumeur. Et franchement quand la finesse de jeu est allié a tant de grâce et a tant de beauté je ne vais pas bouder mon plaisir
Mon top serait le suivant:
1) Breakfast at tiffany's (je n'ai pas lu la nouvelle d'origine je sais que Truman Capote n'était pas du tout content du choix d'Hepburn, et que la nouvelle est bien plus amére que le film, mais en fait je m'en fou complétement
en l'état c'est un film formidable qui appartient totalement a l'univers de ce grand cinéaste qu'était Blake Edwards)
2) Voyage a deux (un des meilleurs films de Donen, Albert Finney y est trés bon, et Audrey y est une fois de plus merveilleuse passant de la légèreté a la gravité en virtuose)
3) Ariane (merveilleux film de Billy Wilder, que je trouve bien plus interessant que Sabrina)
4) Au risque de se perdre (même en bonne soeur je suis toujours amoureux d'Audrey, un role assez inattendu de sa part, mais ou une fois de plus elle fait preuve de beaucoup de finesse)
5)Charade (excellente comédie policière de Stanley Donen qui pastiche Hitchcock avec beaucoup de brio, le couple Carry Grant/Audrey Hepburn fonctionne plutôt bien)
5) Comment voler un million de dollars (film assez mineur, et qui soufre même de quelques problème de rythme, qui n'en est pas moins une comédie charmante, et surtout je suis autant amoureux de Peter O'Toole que d'Audrey Hepburn et le couple fonctionne a merveille)
7) Guerre et Paix (pour moi Hepburn est le principal intéret d'un film un peu académique qui ne fait pas grand chose du chef d'oeuvre de Tolstoi, elle au contraire est incroyablement vivante elle illumine le film de bout en bout que ça soit dans la joie ou dans le drame, elle est véritablement Natacha a tel point qu'il est impossible d'imaginer le personnage autrement que sous ses traits a elle, d'ailleurs dans le film de Bondartchouk l'actrice est un quasi sosie, sauf qu'elle n'a ni son talent ni sa beauté...)
8 ) La rose et la flèche (Superbe film, une relecture original de l'histoire de Robin des bois et surtout un très beau duo Sean Connery, Audrey Hepburn, qui était toujours aussi belle même en vieillissant)
9) My fair lady (c'est quand même un excellent film, et Hepburn s'en tire très bien, même si ce n'est pas elle qui chante, et surtout il y a Rex Harrison)
10) Sabrina (Pas mon Wilder préféré mais néanmoins tout a fait estimable, avec une Audrey charmante, Humphrey Boggart et William Holden sont excellent également, et c'est évidement bien meilleur que le remake avec Harrison Ford...)
11) Drôle de frimousse (je suis moins fan de ce film que pas mal de monde apparemment, mais ça reste quand même très bon, et la danse empaticaliste est un très grand moment)
12) La rumeur (un film un peu démonstratif, mais la mise en scène de Wyler a quand même des moments inspiré et surtout les deux actrices sont superbe)
et j’espère voir très bientôt Vacance romaine, Seule dans la nuit et Le vent dans la plaine!
En tout cas ce n'est vraiment pas facile de classer ces films parce que je me rend compte que je les aime tous, comme je le disais aucun ne m'a jamais vraiment déçut.
je le suis depuis mes 12 ans quand j'ai découvert my fair lady et si aujourd'hui ce n'est plus le film que je préfère d'elle (moi aussi j'aurais voulu voir Julie Andrews dans le rôle, d'autant que j'étais amoureux de Mary Poppins avant de découvrir Elisa Doolitle


Mon top serait le suivant:
1) Breakfast at tiffany's (je n'ai pas lu la nouvelle d'origine je sais que Truman Capote n'était pas du tout content du choix d'Hepburn, et que la nouvelle est bien plus amére que le film, mais en fait je m'en fou complétement

2) Voyage a deux (un des meilleurs films de Donen, Albert Finney y est trés bon, et Audrey y est une fois de plus merveilleuse passant de la légèreté a la gravité en virtuose)
3) Ariane (merveilleux film de Billy Wilder, que je trouve bien plus interessant que Sabrina)
4) Au risque de se perdre (même en bonne soeur je suis toujours amoureux d'Audrey, un role assez inattendu de sa part, mais ou une fois de plus elle fait preuve de beaucoup de finesse)
5)Charade (excellente comédie policière de Stanley Donen qui pastiche Hitchcock avec beaucoup de brio, le couple Carry Grant/Audrey Hepburn fonctionne plutôt bien)
5) Comment voler un million de dollars (film assez mineur, et qui soufre même de quelques problème de rythme, qui n'en est pas moins une comédie charmante, et surtout je suis autant amoureux de Peter O'Toole que d'Audrey Hepburn et le couple fonctionne a merveille)
7) Guerre et Paix (pour moi Hepburn est le principal intéret d'un film un peu académique qui ne fait pas grand chose du chef d'oeuvre de Tolstoi, elle au contraire est incroyablement vivante elle illumine le film de bout en bout que ça soit dans la joie ou dans le drame, elle est véritablement Natacha a tel point qu'il est impossible d'imaginer le personnage autrement que sous ses traits a elle, d'ailleurs dans le film de Bondartchouk l'actrice est un quasi sosie, sauf qu'elle n'a ni son talent ni sa beauté...)
8 ) La rose et la flèche (Superbe film, une relecture original de l'histoire de Robin des bois et surtout un très beau duo Sean Connery, Audrey Hepburn, qui était toujours aussi belle même en vieillissant)
9) My fair lady (c'est quand même un excellent film, et Hepburn s'en tire très bien, même si ce n'est pas elle qui chante, et surtout il y a Rex Harrison)
10) Sabrina (Pas mon Wilder préféré mais néanmoins tout a fait estimable, avec une Audrey charmante, Humphrey Boggart et William Holden sont excellent également, et c'est évidement bien meilleur que le remake avec Harrison Ford...)
11) Drôle de frimousse (je suis moins fan de ce film que pas mal de monde apparemment, mais ça reste quand même très bon, et la danse empaticaliste est un très grand moment)
12) La rumeur (un film un peu démonstratif, mais la mise en scène de Wyler a quand même des moments inspiré et surtout les deux actrices sont superbe)
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"Il ne faut pas être timide avec la caméra. Il faut lui faire violence, la pousser jusque dans ses derniers retranchements, parce qu'elle est une vile mécanique. Ce qui compte, c'est la poésie."
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Sans doute moins que d'autres actrices de sa génération mais je dirai qu'elle en quand même pris avec ses trois films de 1960-61 :A serious man wrote:On peut dire qu'elle n'a jamais vraiment pris de risque
- Le vent de la plaine, outre l'originalité de ce western, qui aurait parié qu'elle serait crédible en Indienne ? ;
- Diamants sur canapé, en interprétant une call-girl, loin de ses rôles sages habituels ;
- La rumeur, peut-être le plus culotté des trois (même si le rôle le plus risqué est tenu par Shirley MacLaine).
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Le rapprochement a déjà du être fait cent fois mais la ressemblance est troublante...
D'autant plus amusant qu'Hepburn avait failli être la Cléopâtre de Mankiewicz (même si ces deux souveraines n'appartiennent pas à la même époque ni n'avaient les mêmes origines).
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Ah oui ? Mais je ne pense pas que ça aurait fonctionné... pas assez garce pour ce rôle.Federico wrote:...
D'autant plus amusant qu'Hepburn avait failli être la Cléopâtre de Mankiewicz (même si ces deux souveraines n'appartiennent pas à la même époque ni n'avaient les mêmes origines).
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Avec le recul, il est difficile d'imaginer une autre que Liz Taylor dans le rôle mais Hepburn aurait pu apporter un côté plus peste que garce, moins de sexiness mais plus de charme.Commissaire Juve wrote:Ah oui ? Mais je ne pense pas que ça aurait fonctionné... pas assez garce pour ce rôle.Federico wrote:...
D'autant plus amusant qu'Hepburn avait failli être la Cléopâtre de Mankiewicz (même si ces deux souveraines n'appartiennent pas à la même époque ni n'avaient les mêmes origines).
Et puis un bon cinéaste (qui plus est un cinéaste/scénariste de la trempe de l'oncle Joe) sait adapter un personnage selon les aléas de sa distribution. Même si je continue de ne pas comprendre l'aura qui entoure Casablanca, je reconnais que le film n'aurait pu avoir le même impact si Rick avait été joué par Ronald Reagan*. Et si Blake Edwards avait finalement pris Marylin Monroe pour incarner Holly Golightly, le ton du film aurait fatalement été tout autre...

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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
T'es pas tout seul. Perso, c'est même pire que ça : quand je lis le titre de ce film, j'ai une odeur de tabac froid qui me monte au nez (je suis non-fumeur, c'est bien rebutant).Federico wrote:... Même si je continue de ne pas comprendre l'aura qui entoure Casablanca...
Quant à l'uchronie...
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Petit copié-collé d'un film ayant aussi son topic.
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Seule dans la nuit (Terence Young - 1967).
Une petite poupée remplie d'héroïne qui échoue à la mauvaise adresse, chez une jeune femme aveugle et dont le mari est absent.
Deux voyous qui tentent de la récupérer, bientôt rejoints par un troisième larron plus inquiétant, abstrait, machiavélique et possédant visiblement une longueur d'avance sur la situation. Les trois personnages tentent de mettre en place une combine pour faire avouer la femme, car la poupée ne peut qu'être forcément planquée dans le petit appartement. Sauf que la soirée passant, il devient évident que soit la poupée n'est jamais arrivée ici, soit la propriétaire des lieux ment éhontément. Petit à petit, le ton monte dangereusement...
"Hepburn s'est préparé à ce rôle de femme devenue aveugle avec ardeur et méticulosité. Elle a passé des semaines au Lighthouse, un centre de réinsertion pour aveugles. Le studio voulait qu'elle porte des lunettes noires ou quelque autre indice de son handicap, comme une cicatrice, mais elle refusa catégoriquement. Hepburn préférait exprimer la cécité de son héroïne par un jeu qui venait de l'intérieur".
(Audrey Hepburn - Movie icons, Taschen)
Audrey a bien fait de ne pas faciliter le jeu en prenant un quelconque substitut du handicap car ici, elle porte littéralement le film sur les épaules, à l'instar d'Alan Arkin, réellement impressionnant en psychopathe intégral avec ses lunettes noires. Face à un ennemi aussi redoutable (une scène déjà inquiétante dès le début du film en guise d'avertissement), le spectateur sait d'emblée à quoi s'en tenir et tremble d'autant plus pour le personnage d'Audrey. Tous deux sont d'ailleurs servis par une mise en scène sobre mais remarquable d'un Young qu'on connait généralement plus pour ses James Bond (et pour bien isoler les personnages, plusieurs séquences se déroulent véritablement dans le noir, juste avec le son. Côté claustrophobie et peur panique d'isolement, Tarantino n'a rien inventé). Le scénario se base sur une pièce en huis-clôt impressionnante de Frederick Knott (auteur originel de la pièce Le crime était presque parfait, repris ensuite par Hitchcock) mais semble assez respectueuse du matériau de base. Ainsi chaque recoin de l'appartement sera utilisé et dans le final, alors que l'obscurité progresse, la moindre lumière pourrait être fatale. Tout fonctionne comme une mécanique incroyablement bien réglée et débouchant sur une dernière demi-heure paroxystique qui en font un très grand film (il a failli à ce titre être mon film du mois de mars).
Un grand succès qui n'empêche pas, peu de temps après à l'actrice d'annoncer solonnellement qu'elle arrête sa carrière. Promesse à moitié tenue toutefois puisqu'on la reverra par la suite de temps à autre dans de petits films mais ne possédant pas une aussi grande envergure que par le passé (j'aime bien Always mais aussi bien chez Hepburn que Spielberg, on atteint pas des sommets non plus)...
5,5/6.

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Seule dans la nuit (Terence Young - 1967).
Une petite poupée remplie d'héroïne qui échoue à la mauvaise adresse, chez une jeune femme aveugle et dont le mari est absent.
Deux voyous qui tentent de la récupérer, bientôt rejoints par un troisième larron plus inquiétant, abstrait, machiavélique et possédant visiblement une longueur d'avance sur la situation. Les trois personnages tentent de mettre en place une combine pour faire avouer la femme, car la poupée ne peut qu'être forcément planquée dans le petit appartement. Sauf que la soirée passant, il devient évident que soit la poupée n'est jamais arrivée ici, soit la propriétaire des lieux ment éhontément. Petit à petit, le ton monte dangereusement...


"Hepburn s'est préparé à ce rôle de femme devenue aveugle avec ardeur et méticulosité. Elle a passé des semaines au Lighthouse, un centre de réinsertion pour aveugles. Le studio voulait qu'elle porte des lunettes noires ou quelque autre indice de son handicap, comme une cicatrice, mais elle refusa catégoriquement. Hepburn préférait exprimer la cécité de son héroïne par un jeu qui venait de l'intérieur".
(Audrey Hepburn - Movie icons, Taschen)
Audrey a bien fait de ne pas faciliter le jeu en prenant un quelconque substitut du handicap car ici, elle porte littéralement le film sur les épaules, à l'instar d'Alan Arkin, réellement impressionnant en psychopathe intégral avec ses lunettes noires. Face à un ennemi aussi redoutable (une scène déjà inquiétante dès le début du film en guise d'avertissement), le spectateur sait d'emblée à quoi s'en tenir et tremble d'autant plus pour le personnage d'Audrey. Tous deux sont d'ailleurs servis par une mise en scène sobre mais remarquable d'un Young qu'on connait généralement plus pour ses James Bond (et pour bien isoler les personnages, plusieurs séquences se déroulent véritablement dans le noir, juste avec le son. Côté claustrophobie et peur panique d'isolement, Tarantino n'a rien inventé). Le scénario se base sur une pièce en huis-clôt impressionnante de Frederick Knott (auteur originel de la pièce Le crime était presque parfait, repris ensuite par Hitchcock) mais semble assez respectueuse du matériau de base. Ainsi chaque recoin de l'appartement sera utilisé et dans le final, alors que l'obscurité progresse, la moindre lumière pourrait être fatale. Tout fonctionne comme une mécanique incroyablement bien réglée et débouchant sur une dernière demi-heure paroxystique qui en font un très grand film (il a failli à ce titre être mon film du mois de mars).
Un grand succès qui n'empêche pas, peu de temps après à l'actrice d'annoncer solonnellement qu'elle arrête sa carrière. Promesse à moitié tenue toutefois puisqu'on la reverra par la suite de temps à autre dans de petits films mais ne possédant pas une aussi grande envergure que par le passé (j'aime bien Always mais aussi bien chez Hepburn que Spielberg, on atteint pas des sommets non plus)...
5,5/6.

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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Guerre et paix ce soir à 22h25 sur Paramount Channel (enfin, si ils ne déprogramment pas comme c'est un peu trop souvent le cas)
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
https://www.molotov.tv/deeplink?id=8064 ... 1Y7fAXceHA
Audrey Hepburn, le choix de l’elegance
Doc très bien fait aujourd’hui sur ARTE.
J’aurais bien aimé aussi voir Monroe dans le rôle de Tiffany qu’elle a refusé. L’aspect call girl aurait probablement été plus évident et le film très différent.
Audrey Hepburn, le choix de l’elegance
Doc très bien fait aujourd’hui sur ARTE.
J’aurais bien aimé aussi voir Monroe dans le rôle de Tiffany qu’elle a refusé. L’aspect call girl aurait probablement été plus évident et le film très différent.
Last edited by Supfiction on 30 Dec 18, 21:25, edited 1 time in total.
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Je l'ai regardé (avant de me passer "mon" film du dimanche). Et ça m'a fait penser qu'on n'avait jamais eu droit au moindre BLU de Vacances Romaines !!! Y a de ces mystères.Supfiction wrote: Audrey Hepburn, le choix de l’elegance
Doc très bien fait aujourd’hui sur ARTE.
EDIT : ah, mais je vois que c'est un film Paramount. Ils ne sont pas du genre à se fatiguer beaucoup pour exploiter leurs "vieilleries" en HD. Dommage.
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Je suis tombée dessus par hasard, c'était pas mal oui.Supfiction wrote:Audrey Hepburn, le choix de l’elegance
Doc très bien fait aujourd’hui sur ARTE.
J’aurais bien aimé aussi voir Monroe dans le rôle de Tiffany qu’elle a refusé. L’aspect call girl aurait probablement été plus évident et le film très différent.
Et moi j'aurais été curieuse de voir Hepburn dans "West side story" !
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Re: Audrey Hepburn (1929-1993)
Sur France Culture / Plan Large "Spécial Audrey" :
https://www.radiofrance.fr/francecultur ... ni-9545048
Ah je crois que je vais revoir incessamment sous très peu, l'une des rares comédie musicale que je vénère, My Fair Lady
https://www.radiofrance.fr/francecultur ... ni-9545048
Ah je crois que je vais revoir incessamment sous très peu, l'une des rares comédie musicale que je vénère, My Fair Lady
