Le Cercle infernal (Richard Loncraine - 1977)
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Re: Le Cercle infernal ( Richard Loncraine - 1977)
Cela dit Roeg a l'habitude de ces plans qui donnent le sentiment - erroné - au spectateur qu'une scène a disparu au montage - cf le début de l'Homme qui venait d'ailleurs.
- Demi-Lune
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Re: Le Cercle infernal ( Richard Loncraine - 1977)
Chiant.ingoruptibles a écrit :D'ailleurs, Demi-Lune, ton avis datant du 10 juin 2010, quelle est ton opinion sur ce film à posteriori ?
Désolé pour les amateurs, mais le souvenir d'un film incroyablement emmerdant prédomine sur celui d'images plus fugaces : l'ouverture avec la diapo, la scène de baise, Venise glauque... Le film n'a pas mûri en bien dans ma tête. Les questionnements restés en suspens ne m'ont pas trotté longtemps en mémoire. Loin de m'envoûter, de me titiller de manière insidieuse, Don't look now m'a surtout plus agacé encore a posteriori qu'autre chose.
Tiens, puisque le topic a été débaptisé, j'en profite pour mentionner que j'ai vu, depuis, Full Circle, et que j'ai trouvé ça parfaitement anecdotique.
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Re: Le Cercle infernal ( Richard Loncraine - 1977)
bref t'as aucun goûtDemi-Lune a écrit :Loin de m'envoûter, de me titiller de manière insidieuse, Don't look now m'a surtout plus agacé encore a posteriori qu'autre chose.
Tiens, puisque le topic a été débaptisé, j'en profite pour mentionner que j'ai vu, depuis, Full Circle, et que j'ai trouvé ça parfaitement anecdotique.
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Re: Le Cercle infernal ( Richard Loncraine - 1977)
Un livre étude sur l'enfance de la peur, de FULL CIRCLE à BLACK CHRISTMAS en passant par LES INNOCENTS.
http://www.editions-harmattan.fr/index. ... e&no=40093
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Re: Le Cercle infernal ( Loncraine)/Don't look now (Roeg)
NE VOUS RETOURNEZ PAS de Nicolas Roeg ce soir sur Arte!
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
J'ai voulu redonner une chance à Ne vous retournez pas mais mon avis (très mitigé) ne diffèrera pas sensiblement.
Un point positif a été que le fait de connaître l'intrigue a réduit la sensation d'ennui mortel. Je reste convaincu que ce rythme difficile était recherché par Roeg pour exprimer la douleur et l'affliction du deuil, et serais donc moins sévère à ce sujet qu'envers la complaisance du scénario qui brasse pour moi beaucoup de vide mais le fait de façon suffisamment tarabiscotée pour entretenir artificiellement un mystère, et provoquer chez le spectateur la perplexité d'être peut-être passé à côté de quelque chose lorsque intervient le temps des "tout ça pour ça?".
Le film a sporadiquement un pouvoir vénéneux mais, le cul soigneusement entre deux chaises (l'intrigue est à la fois simple et insoluble de par tous ses détails sibyllins), ça finit par me lasser, perso : l'agacement de se sentir baladé pour pas grand-chose l'emporte assez largement sur la fascination. Pas très fan de la mise en scène, d'ailleurs, et de certains effets expérimentaux de montage pas toujours très heureux. Julie Christie est superbe et Sutherland très bon dans un registre intériorisé pas évident.
Un point positif a été que le fait de connaître l'intrigue a réduit la sensation d'ennui mortel. Je reste convaincu que ce rythme difficile était recherché par Roeg pour exprimer la douleur et l'affliction du deuil, et serais donc moins sévère à ce sujet qu'envers la complaisance du scénario qui brasse pour moi beaucoup de vide mais le fait de façon suffisamment tarabiscotée pour entretenir artificiellement un mystère, et provoquer chez le spectateur la perplexité d'être peut-être passé à côté de quelque chose lorsque intervient le temps des "tout ça pour ça?".
Le film a sporadiquement un pouvoir vénéneux mais, le cul soigneusement entre deux chaises (l'intrigue est à la fois simple et insoluble de par tous ses détails sibyllins), ça finit par me lasser, perso : l'agacement de se sentir baladé pour pas grand-chose l'emporte assez largement sur la fascination. Pas très fan de la mise en scène, d'ailleurs, et de certains effets expérimentaux de montage pas toujours très heureux. Julie Christie est superbe et Sutherland très bon dans un registre intériorisé pas évident.
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Comme lors de ma première tentative terminée en accéléré, je n'ai cette fois-ci pas réussi à dépasser la demi-heure car j'ai à peu près le même ressenti que toiDemi-Lune a écrit :J'ai voulu redonner une chance à Ne vous retournez pas mais mon avis (très mitigé) ne diffèrera pas sensiblement.
Un point positif a été que le fait de connaître l'intrigue a réduit la sensation d'ennui mortel. Je reste convaincu que ce rythme difficile était recherché par Roeg pour exprimer la douleur et l'affliction du deuil, et serais donc moins sévère à ce sujet qu'envers la complaisance du scénario qui brasse pour moi beaucoup de vide mais le fait de façon suffisamment tarabiscotée pour entretenir artificiellement un mystère, et provoquer chez le spectateur la perplexité d'être peut-être passé à côté de quelque chose lorsque intervient le temps des "tout ça pour ça?".
Le film a sporadiquement un pouvoir vénéneux mais, le cul soigneusement entre deux chaises (l'intrigue est à la fois simple et insoluble de par tous ses détails sibyllins), ça finit par me lasser, perso : l'agacement de se sentir baladé pour pas grand-chose l'emporte assez largement sur la fascination. Pas très fan de la mise en scène, d'ailleurs, et de certains effets expérimentaux de montage pas toujours très heureux. Julie Christie est superbe et Sutherland très bon dans un registre intériorisé pas évident.
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Je ne l'ai pas revu hier mais je l'ai déjà vu plusieurs fois et je reste assez client (tout en reconnaissant que sa réputation élogieuse est un peu surfaite)...j'aime bien son côté giallo qui pompe franchement l'intrigue de Qui l'a vue mourir? et, plus généralement (niveau ambiance), les titres les plus "bizarres" du filon italien, en particulier La maison aux fenêtres qui rient de Pupi Avati, Le Parfum de la dame en noir et "l'incompréhensiblement" fascinant Le Orme.
EN tout cas je le préfère de loin au Cercle infernal
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Ah mais complètement. Ça m'avait marqué quand j'avais vu le film de Lado. C'est hallucinant que Lado n'ait pas fait un procès pour plagiat. Ou alors, peut-être ne l'a-t-il pas fait parce que son film s'inspirait sans le dire de la nouvelle de Daphné du Maurier. En tout cas tout y passe : Venise crado, la gamine qui meurt, les cadavres repêchés dans les canaux, l'assassin qui court, le couple de parents endeuillés (une blonde et un moustachu)... même la scène de baise !hellrick a écrit :j'aime bien son côté giallo qui pompe franchement l'intrigue de Qui l'a vue mourir?
C'est vrai que Ne vous retournez pas passe finalement pour un version auteurisante d'un certain cinéma bis italien.
En tout cas la fin de Qui l'a vue mourir est beaucoup plus fendarde que celle du Roeg (le mannequin qui tombe au ralenti de quatre façons différentes, comme un bêtisier ).
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Ne vous retournez pas (Roeg - 1973).
Enfin vu, merci Arte et ce fut pour ma part une découverte fort plaisante. Curieusement la facture "classique" du film m'a surpris. J'avais connu Roeg plus impressionnant dans les délires de Performance avant cela. Même Walkabout qui précède cet espèce de semi-giallo s'avère plus fascinant. Cela dit je ne veux pas minimiser les qualités de ce film même si comme Hellrick, je me demande pourquoi toute cette réputation élogieuse. La photographie (d'autant plus en HD) est sublime et il faut quand même du talent pour faire ressortir la morbidité de Venise par temps hivernal. Sutherland et Christie sont excellents et la musique de Pino Donaggio s'avère plus que belle, apportant la tension nécessaire ou des moments d'empathie qui m'ont presque fait monter les larmes aux yeux.
Car finalement j'ai plus pris le film comme un drame qu'autre chose (d'où que je dis "semi-giallo". D'ailleurs côté rythme, Roeg qu'on a connu plus inspiré est un peu en mode hibernation parfois. Encore que le montage de l'accident au début fait encore tout son petit effet) mais il s'en dégage un côté mortifère assez intéressant. Ainsi quand l'accent sur le rouge n'est pas mis artificiellement un peu partout --une mosaïque à l'église où la caméra s'attarde sur les "pleurs" de sang d'un visage qu'on devine le christ, le fond rouge du verre de Sutherland, la bougie rouge du prêtre, etc etc-- au risque d'en énerver plus d'un, c'est le montage et l'agencement des plans dans le récit qui crée une sensation étrange à plusieurs niveaux. Ainsi, comment l'architecte Baxter...
4/6
Enfin vu, merci Arte et ce fut pour ma part une découverte fort plaisante. Curieusement la facture "classique" du film m'a surpris. J'avais connu Roeg plus impressionnant dans les délires de Performance avant cela. Même Walkabout qui précède cet espèce de semi-giallo s'avère plus fascinant. Cela dit je ne veux pas minimiser les qualités de ce film même si comme Hellrick, je me demande pourquoi toute cette réputation élogieuse. La photographie (d'autant plus en HD) est sublime et il faut quand même du talent pour faire ressortir la morbidité de Venise par temps hivernal. Sutherland et Christie sont excellents et la musique de Pino Donaggio s'avère plus que belle, apportant la tension nécessaire ou des moments d'empathie qui m'ont presque fait monter les larmes aux yeux.
Car finalement j'ai plus pris le film comme un drame qu'autre chose (d'où que je dis "semi-giallo". D'ailleurs côté rythme, Roeg qu'on a connu plus inspiré est un peu en mode hibernation parfois. Encore que le montage de l'accident au début fait encore tout son petit effet) mais il s'en dégage un côté mortifère assez intéressant. Ainsi quand l'accent sur le rouge n'est pas mis artificiellement un peu partout --une mosaïque à l'église où la caméra s'attarde sur les "pleurs" de sang d'un visage qu'on devine le christ, le fond rouge du verre de Sutherland, la bougie rouge du prêtre, etc etc-- au risque d'en énerver plus d'un, c'est le montage et l'agencement des plans dans le récit qui crée une sensation étrange à plusieurs niveaux. Ainsi, comment l'architecte Baxter...
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Justement, il ne le sait pas. S'il l'avait compris, il ne se serait pas exposé aux devants du danger.Anorya a écrit :Ainsi, comment l'architecte Baxter...
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Si on veut jouer à ça, il y a des questions beaucoup plus insolubles que ça dans ce film
Pourquoi le fou rire des deux sœurs dans leur chambre d'hôtel, qui donne l'impression au spectateur qu'elles complotent quelque chose ?
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Pourquoi l'aveugle gravit-elle les marches seule à la fin sans grande difficulté alors que pendant tout le film, on nous l'a montrée comme incapable de se déplacer seule ?
Bon j'ai bien conscience que ça fait partie du jeu de ce genre de films d'accepter qu'il n'y ait pas de réponses. Mais dans le cas de Ne vous retournez pas, c'est l'impression de creux et d'inutilement embrouillé qui me reste.
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Oui bien sûr mais l'on peut étendre la règle à quasiment toute la filmo de Roeg même. Et c'est pour cela que j'aime son cinéma, riche d'interprétation où tout le monde peut apporter des réponses et l'on ne te surligne pas forcément tout (je trouve).Demi-Lune a écrit : Bon j'ai bien conscience que ça fait partie du jeu de ce genre de films d'accepter qu'il n'y ait pas de réponses. Mais dans le cas de Ne vous retournez pas, c'est l'impression de creux et d'inutilement embrouillé qui me reste.
Par exemple la diapositive que tu cites, on peut juste y voir un effet de redite dans le temps qui pourrait être tout à la fois lié au souvenir de leur gamine dans leur église que d'un pur hasard justement à ce moment où la photo a été prise, ce qui fait sourire un peu Sutherland à ce moment me semble-t-il. Dans ce cas on pourrait expliquer plus naturellement à la fois son doute et le fait qu'il aille au devant du danger (même "alerté") par le fait qu'il n'a --contrairement à sa femme-- jamais pu faire son deuil aussi. C'est du moins comme ça que je le vois et cela éclaire pour moi toutes les hésitations qu'il a par la suite.
Peut-être a t'il effectivement le don mais il refuse d'y croire --tout comme en la foi d'où sa remarque amusée quand il s'aperçoit que sa femme baise la main de l'évêque--. Il ne pense que par la logique et pense que les deux femmes tentent d'abuser de la crédulité de son épouse, elle-même encore très perturbée et ayant subi un évanouissement qui semble agir par la suite comme une catharsis (hop je m'évanouis et après ça y est j'ai fait mon deuil, j'vais mieux ). Mais voilà, au moment où il y croit, qu'il remonte mentalement le lieu où les meurtres se sont produits ou qu'il a vu les deux femmes, il commence à le faire d'après instinct (Roeg insiste à deux reprises sur un vol d'oiseau dans une même direction à chaque fois. La seconde, Sutherland décide d'aller dans la direction qu'ils ont prise). Et c'est quand il commence à y croire que dès lors il est perdu. Je le vois comme ça mais le palais embrumé du final, j'ai l'impression que comme Orphée le personnage descend en enfer (il ferme même la grille comme s'il n'y avait aucun retour possible inconsciemment). Sans doute veut-il, pense-t-il y ramener sa fille comme si c'était Eurydice. Et face à cette personne encapuchonnée de rouge qui hésite, il enjoint fatalement à ce qu'elle se retourne, et montre son visage. L'erreur de trop. Orphée s'était retourné au dernier moment, Baxter enjoint à cette personne de finalement se retourner. Or il aurait pu demander à ce qu'elle ne se retourne pas, d'où le titre. M'enfin c'est une libre interprétation personnelle comme je l'ai dit.
Pour l'évêque je pense qu'il s'agit plus d'une prémonition soudaine. Ce dernier avait bien dit à l'architecte qu'il avait perdu son père et qu'il a crû un instant que Sutherland finirait pareil. J'y vois plus une personne qui soudain s'inquiète de trop et finit par en faire un mauvais rêve. Bien sûr on peut penser que c'est gros mais on peut aussi y voir la foi de l'évêque vaciller face à une puissance du mal inconnue (le meurtrier recherché vainement par la police).
Pour le rire des deux soeurs, oui c'est bien ce que tu dis, je confirme. Je rajoute même que c'est un peu normal de voir des personnes exubérantes et qui peuvent nous sembler grotesques et/ou absurdes dans ses films. On retrouve pas mal de caractères qui sont parfois juste là pour déstabiliser dans son cinéma (je pense à Performance, The witches, L'homme qui venait d'ailleurs --bien gratiné celui-là) ou qui se chargent d'une notion d'inquiétante étrangeté où c'est souvent l'autre qui nous demeure d'un coup étranger.
Pour moi tout coule de source (même l'aveugle que tu dis ne pouvant se déplacer seule, si tu remarques bien, elle demeure un temps en retrait sur le quai, ne sachant plus où aller pendant les funérailles finales avant que l'autre ne vienne la chercher). Trop même, d'où que je trouve que c'est un poil trop classique pour du Roeg, le bonhomme m'ayant habitué délicieusement à plus fou. Mais comme tu l'as dit, oui, ça fait partie du jeu de ce genre de films.
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Entretien avec le compositeur de FULL CIRCLE Colin Towns:
http://www.buysoundtrax.com/larsons_sou ... 28_13.html
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Projection de FULL CIRCLE Dimanche 20 Avril, en version restaurée à Paris:
http://shakirail.blogspot.fr/2014/04/ki ... il_11.html
http://shakirail.blogspot.fr/2014/04/ki ... il_11.html
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Re: Le Cercle infernal (Loncraine)/ Ne vous retournez pas (R
Oulah mais c'est carrément tentant ça !
(mais j'ai un peu peur du cadre et des conditions de visionnages)
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Dernière modification par bruce randylan le 17 avr. 14, 18:22, modifié 1 fois.
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