Ah! Enfin!Jeremy Fox a écrit :J'apprécie de plus en plus le cinéma de Tim Burton à tel point que le première chose que j'ai fait hier soir en sortant de cette euphorique projection a été de commander le DVD de Edward aux mains d'argent en me disant que j'étais certainement passé à côté d'un grand film.
Les noces funèbres (Tim Burton - Mike Johnson, 2005)
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Jeremy Fox a écrit :J'apprécie de plus en plus le cinéma de Tim Burton à tel point que le première chose que j'ai fait hier soir en sortant de cette euphorique projection a été de commander le DVD de Edward aux mains d'argent en me disant que j'étais certainement passé à côté d'un grand film.
Non, juste romantique et logique.Ouf, j'adopte un cerveau a écrit :
SPOILER en suivant ce raisonnement, la fin de "l'aventure de Mme Muir" serait politiquement incorrecte? END SPOILER
SPOILEROuf, j'adopte un cerveau a écrit : Je ne pense pas que le clivage vie/mort intéresse Burton de la même façon qu'avant Big Fish. Auparavant, cette dualité était le moteur de son oeuvre par son côté attrayant, et il était attrayant parce qu'il était morbide. Aujourd'hui, suite au décès de son père, je pense que Burton aime moins le côté romantique de la morbidité. La dualité vie/mort par affrontement s'est transformée en réquisitoire de la vie contre la mort, même si cette vie est encore moins gaie à cause du deuil enduré. Je pense que Burton a encore envie de rêver dans son univers macabro-poétique qui l'a habité pendant longtemps, mais qu'il ne peut plus autant se délecter aussi légèrement de la mort comme antre romantique.
Depuis Big Fish, l'oeuvre de Burton est un travail de deuil sur ses actes manqués, et avec un discours plus amer que subversif, et une naïveté retrouvée qui est confondue par beaucoup avec de la niaiserie: "il faut s'efforcer de continuer à rêver, même si c'est moins facile qu'avant". Burton n'est pas devenu plus léger, au contraire, il a un poids supplémentaire à traîner, celui de l'absence, qu'il essaie de combler à travers ses films.
avec, Big Fish passe clairement à un niveau supérieur dans sa manière de filmer ses histoires et ses personnages. C'est clairement un film bilan où on peut aussi voir Burton se transposer dans le rôle du père ce demander si les illusions qu'il a crée avait étaient justifiées ou non.
Mais l'avantage de Big Fish ( je n'ai pas tout aimé non plus) avait une conclusion à la fois lucide, lyrique et boulversante où le père/fils se reconcilie sur ce constat que chercher la différence entre le rationnel, le rêve, la réalité, la création, le fantasme, le souvenir ( tiens, ça me donnerait d'un coup envie de le rapprocher de Minnelli ) n'avaient finallement aucun interet puisque tout se croise et s'emmêle.
Ce n'est pas l'impression que j'ai sur la conclusion de des noces funèbres.
Après en y repensant, il est vrai que certains reprochent que j'ai formulé ( comme d'hab, le méchant et son intrigue pitoyable - sur ce point je suis toujours sans pitié. il est d'ailleurs curieux que personne ne cherche à évoquer ce point alors que c'est celui que je met toujours en avant ) m'ont tellement déçu/agacé que je suis sorti completement du film et que de ce fait je n'ai peut être pas sensible à la mélancolie des personnages.
Je suis peut être aussi trop fleur bleue car j'attendais que Victor propose à Victoria de se marier avec elle jusqu'à ce que la mort les sépare pour après retrouver la défunte dans l'autre monde...
Ce qui, finalement, est peut encore plus niais et d'une moralité douteuse
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
Tout à fait d'accord avec ça.Ouf, j'adopte un cerveau a écrit :Je ne pense pas que le clivage vie/mort intéresse Burton de la même façon qu'avant Big Fish. Auparavant, cette dualité était le moteur de son oeuvre par son côté attrayant, et il était attrayant parce qu'il était morbide. Aujourd'hui, suite au décès de son père, je pense que Burton aime moins le côté romantique de la morbidité. La dualité vie/mort par affrontement s'est transformée en réquisitoire de la vie contre la mort, même si cette vie est encore moins gaie à cause du deuil enduré. Je pense que Burton a encore envie de rêver dans son univers macabro-poétique qui l'a habité pendant longtemps, mais qu'il ne peut plus autant se délecter aussi légèrement de la mort comme antre romantique.
Depuis Big Fish, l'oeuvre de Burton est un travail de deuil sur ses actes manqués, et avec un discours plus amer que subversif, et une naïveté retrouvée qui est confondue par beaucoup avec de la niaiserie: "il faut s'efforcer de continuer à rêver, même si c'est moins facile qu'avant". Burton n'est pas devenu plus léger, au contraire, il a un poids supplémentaire à traîner, celui de l'absence, qu'il essaie de combler à travers ses films.
+ 1000 !!!
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Pareil.bruce randylan a écrit :Après la débandade Planète des singes, la demi-deception Big Fish et la deception Charlie, Tim remonte la barre mais ne convainct pas totalement.
Alors évidement retrouver l'univers visuel d'un créateur en pleine forme ( le chara-disign est une splendeur de tous les instants ) qui arrive à emballer bons nombres de séquences ( toutes celles dans le monde des morts quasiment ) est un bonheur sans nom, d'autant que l'émotion arrive à naitre à plusieurs reprises.
Malheureusement, une fois de plus, l'histoire (re)cousu de fil blanc qui balance entre facilité ( A quoi sert le méchant ? l'humour ) et baclage à la moralité douteuse ( la conclusion fadasse au poétisme niais ), m'empêche de rentrer dans ce conte finalement trop propre et lisse...
Et malgré tout le respect que j'ai pour Danny Elfman, ces dernières chansons commencent à sentir le réchauffer.
bref : Bien mais pas top
.
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Excellent, un de mes Burton préferés
La grande force de ce film c'est son évidente simplicité. Ici il n'y a jamais la volonté de faire un film "ultime" (en témoigne la durée très courte).
Burton va à l'essentiel et les rires s'enchainent devant ce divertissement qui s'assume totalement. Aspect graphique superbe, gags visuels à la pelle, émotion distillée avec parcimonie.
Pas un de ces grands chef-d'oeuvres dechirants, plutôt un film sincère et limpide à la beauté immédiatement accessible.
Et putain quelle musique de Danny Elfman, chef-d'oeuvre à elle toute seule.
La grande force de ce film c'est son évidente simplicité. Ici il n'y a jamais la volonté de faire un film "ultime" (en témoigne la durée très courte).
Burton va à l'essentiel et les rires s'enchainent devant ce divertissement qui s'assume totalement. Aspect graphique superbe, gags visuels à la pelle, émotion distillée avec parcimonie.
Pas un de ces grands chef-d'oeuvres dechirants, plutôt un film sincère et limpide à la beauté immédiatement accessible.
Et putain quelle musique de Danny Elfman, chef-d'oeuvre à elle toute seule.
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Waterworld, The Omen 3, The Lost World, Cliffhanger. Une musique peut être un monument sans que le film lui-même le soit.acidparadouze a écrit :Et putain quelle musique de Danny Elfman, chef-d'oeuvre à elle toute seule.
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
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Si tu veux aller sur ce terrain-là, tu peux quasiment citer l'intégralité de la filmo de Goldsmith.MJ a écrit :Waterworld, The Omen 3, The Lost World, Cliffhanger. Une musique peut être un monument sans que le film lui-même le soit.acidparadouze a écrit :Et putain quelle musique de Danny Elfman, chef-d'oeuvre à elle toute seule.
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-SPOILERS-
Les noces funèbres de Tim Burton.
Qu’on le veuille ou non, il est impossible de ne pas comparer ces noces funèbres avec l’étrange noël de monsieur Jack. Inconsciemment, rien que le fait de voir employer une technique identique, un univers somme toute référentiel des thèmes abordés du réalisateur, et puis, des emprunts indéniables que l’on ne peut difficilement passer sous silence (le chien, la même capacité de la marié à jouer avec les membres son corps, une dichotomie de lieux). Maintenant, cette comparaison doit-elle jouer un facteur prédominant dans l’appréciation générale de nouvel opus ? Non, ce serait là faire un raccourci contraignant et une assimilation trop facile.
Le début surprend à peine dans sa façon qu’à Burton de dépeindre la réalité, sa représentation du monde vivant. En employant des couleurs mornes, des teintes monochromes grisonnantes, il prend à contre-pied l’évidence même. Evidemment, venant de l’auteur, ce choix n’est guère surprenant, il rentre parfaitement dans l’univers cohérent que le réalisateur aborde et complète œuvres après œuvres. C’est aussi un gimmick que l’on retrouve dans une grande majorité de contes, celui de montrer une vie ennuyeuse et triste et la parasiter avec un univers merveilleux et fantaisistes. Sauf qu’ici, cet autre monde, sera celui de la mort. Ainsi Burton délivre un conte classique et touchant, mais un conte somme toute macabre.
Visuellement, c’est un régal à chaque seconde. L’animation respire une fluidité déconcertante, où chaque personnage semble prendre vie à l’écran. Le truchement est telle, que l’on oublie parfois que l’on a à faire à un film de marionnettes. Il faut voir comment la marié rayonne de cette teinte bleuté, comme entourée d’une aura auquel s’associe sa robe et son voile de mariée qui rappellerai un linceul autour de son corps décharnée. Evidemment, aucun personnage ne souffre d’une quelconque carence, chacun est animé parfaitement. L’esthétique, le soin apporté aux décors, à la multiplicité des marionnettes complètent un tableau idyllique. Il est même impressionnant de voir à quel point les concepteurs ont réussi à caractériser chaque squelette pour leur donner une identité propre.
Evidemment, il est tout aussi impossible de passer outre la formidable composition de Danny Elfman. Sa musique habite chaque image, sait démontrer une richesse étonnante au sein de cet univers.
J’ai malheureusement eu le droit à la version française, mais celle-ci s’en sort tout de même très bien. Le soin apporté est agréable et ne sonne pas faux.
Le film est donc ce conte où l’amour revêt parfois des formes étonnantes. Où la barrière entre les morts et les vivants est mince, mais demeure pourtant une frontière dont il est difficile de passer outre. A ce niveau, les retrouvailles entre les personnes décédées et leur proche encore vivant donnent lieu à une scène magnifique, touchante où l’on ressent tout de même une pointe d’amertume comme on sait que ces retrouvailles seront éphémères. On avait découvert ces habitants tristes, exploitant un rituel que l’on devine journalier, des robots effectuant continuellement les mêmes gestes. Paradoxalement, c’est quand les morts envahissent les vivants que ceux-ci rappellent qu’ils sont vivants, épanouis.
Comme tout conte, le film se doit aussi d’être cruel. Cruauté sur les sentiments exercés, où l’on vend sa fille pour renflouer le coffre familial, où l’on n’hésite pas à laisser mourir le méchant.
Les noces funèbres est une nouvelle pièce magnifique au sein de l’œuvre de Burton. Les plus rabat-joie pesteront contre l’absence d’évolution marquante, la redite par rapport à l’étrange noël de monsieur jack et sa fausse morale et son happy end. On se félicitera d’avoir vu un conte macabre touchant, une histoire fantastique où la mort transcende la vie pour mieux la ressusciter, une œuvre bourrée de références au cinéma horrifique et de clin d’œil savoureux. Un film de marionnettes techniquement et esthétiquement parfait.
Ces noces sont un merveilleux conte d’enfant pour adulte…
Les noces funèbres de Tim Burton.
Qu’on le veuille ou non, il est impossible de ne pas comparer ces noces funèbres avec l’étrange noël de monsieur Jack. Inconsciemment, rien que le fait de voir employer une technique identique, un univers somme toute référentiel des thèmes abordés du réalisateur, et puis, des emprunts indéniables que l’on ne peut difficilement passer sous silence (le chien, la même capacité de la marié à jouer avec les membres son corps, une dichotomie de lieux). Maintenant, cette comparaison doit-elle jouer un facteur prédominant dans l’appréciation générale de nouvel opus ? Non, ce serait là faire un raccourci contraignant et une assimilation trop facile.
Le début surprend à peine dans sa façon qu’à Burton de dépeindre la réalité, sa représentation du monde vivant. En employant des couleurs mornes, des teintes monochromes grisonnantes, il prend à contre-pied l’évidence même. Evidemment, venant de l’auteur, ce choix n’est guère surprenant, il rentre parfaitement dans l’univers cohérent que le réalisateur aborde et complète œuvres après œuvres. C’est aussi un gimmick que l’on retrouve dans une grande majorité de contes, celui de montrer une vie ennuyeuse et triste et la parasiter avec un univers merveilleux et fantaisistes. Sauf qu’ici, cet autre monde, sera celui de la mort. Ainsi Burton délivre un conte classique et touchant, mais un conte somme toute macabre.
Visuellement, c’est un régal à chaque seconde. L’animation respire une fluidité déconcertante, où chaque personnage semble prendre vie à l’écran. Le truchement est telle, que l’on oublie parfois que l’on a à faire à un film de marionnettes. Il faut voir comment la marié rayonne de cette teinte bleuté, comme entourée d’une aura auquel s’associe sa robe et son voile de mariée qui rappellerai un linceul autour de son corps décharnée. Evidemment, aucun personnage ne souffre d’une quelconque carence, chacun est animé parfaitement. L’esthétique, le soin apporté aux décors, à la multiplicité des marionnettes complètent un tableau idyllique. Il est même impressionnant de voir à quel point les concepteurs ont réussi à caractériser chaque squelette pour leur donner une identité propre.
Evidemment, il est tout aussi impossible de passer outre la formidable composition de Danny Elfman. Sa musique habite chaque image, sait démontrer une richesse étonnante au sein de cet univers.
J’ai malheureusement eu le droit à la version française, mais celle-ci s’en sort tout de même très bien. Le soin apporté est agréable et ne sonne pas faux.
Le film est donc ce conte où l’amour revêt parfois des formes étonnantes. Où la barrière entre les morts et les vivants est mince, mais demeure pourtant une frontière dont il est difficile de passer outre. A ce niveau, les retrouvailles entre les personnes décédées et leur proche encore vivant donnent lieu à une scène magnifique, touchante où l’on ressent tout de même une pointe d’amertume comme on sait que ces retrouvailles seront éphémères. On avait découvert ces habitants tristes, exploitant un rituel que l’on devine journalier, des robots effectuant continuellement les mêmes gestes. Paradoxalement, c’est quand les morts envahissent les vivants que ceux-ci rappellent qu’ils sont vivants, épanouis.
Comme tout conte, le film se doit aussi d’être cruel. Cruauté sur les sentiments exercés, où l’on vend sa fille pour renflouer le coffre familial, où l’on n’hésite pas à laisser mourir le méchant.
Les noces funèbres est une nouvelle pièce magnifique au sein de l’œuvre de Burton. Les plus rabat-joie pesteront contre l’absence d’évolution marquante, la redite par rapport à l’étrange noël de monsieur jack et sa fausse morale et son happy end. On se félicitera d’avoir vu un conte macabre touchant, une histoire fantastique où la mort transcende la vie pour mieux la ressusciter, une œuvre bourrée de références au cinéma horrifique et de clin d’œil savoureux. Un film de marionnettes techniquement et esthétiquement parfait.
Ces noces sont un merveilleux conte d’enfant pour adulte…
Ainsi, toujours et pourtant...
+ 1000 ... T'as tout compris.gehenne666 a écrit :Le film est donc ce conte où l’amour revêt parfois des formes étonnantes. Où la barrière entre les morts et les vivants est mince, mais demeure pourtant une frontière dont il est difficile de passer outre. A ce niveau, les retrouvailles entre les personnes décédées et leur proche encore vivant donnent lieu à une scène magnifique, touchante où l’on ressent tout de même une pointe d’amertume comme on sait que ces retrouvailles seront éphémères. On avait découvert ces habitants tristes, exploitant un rituel que l’on devine journalier, des robots effectuant continuellement les mêmes gestes. Paradoxalement, c’est quand les morts envahissent les vivants que ceux-ci rappellent qu’ils sont vivants, épanouis. On se félicitera d’avoir vu un conte macabre touchant, une histoire fantastique où la mort transcende la vie pour mieux la ressusciter…
PS : je ne remercie pas celui qui a supprimé "chef-d'oeuvre" dans le titre du topic.
Eh bien ne me remercie pas, aucun problème.Bob Harris a écrit :PS : je ne remercie pas celui qui a supprimé "chef-d'oeuvre" dans le titre du topic.
J'ai pris cette décision parce que je pense qu'il est temps que les titres des topics restent neutres. Je ne suis pas sûr que voir un topic Film X quelle daube ou Film Y Chef-d'oeuvre incite à une discussion sereine car ceux qui ne sont pas d'accord avec ce qu'affirme l'intitulé du topic peuvent avoir envie d'hausser le ton ou alors ne pas poster du tout, se sentant exclu a priori du débat.
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Ok, pas de pb, je comprends... Je disais ça pour charrier un peu.Roy Neary a écrit :J'ai pris cette décision parce que je pense qu'il est temps que les titres des topics restent neutres. Je ne suis pas sûr que voir un topic Film X quelle daube ou Film Y Chef-d'oeuvre incite à une discussion sereine car ceux qui ne sont pas d'accord avec ce qu'affirme l'intitulé du topic peuvent avoir envie d'hausser le ton ou alors ne pas poster du tout, se sentant exclu a priori du débat.
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Je viens de me rendre compte que j'avais oublié de donner mon avis sur ce film que j'ai vraiment bien aimé, surtout l'aspect gothique de la France d'en haut (euh, je voulais dire du monde d'en haut). L'enfer est pas mal non plus, inspiré DU DR DU CABINET CALIGARI, et la réunion finale entre les morts et les vivants, très bien foutus. C'est vraiment dommage que j'ai pas eu le temps d'aller le revoir, mais y'a tellement de films qui sortent ces temps-ci, je sais plus trop où donner de la tête !!
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