je comprends tout à fait ton point de vue Silence....mais connaissant le personnage, j'ai vraiment l'impression d'avoir à faire à un vrai amoureux de la vie. Certes son enthousiasme n'est pas forcément communicatif (moi-même je n'apprécie pas grand chose de ce qu'il a fait à côté) et lui joue parfois des tours mais dans le cas de ce film, je n'entends que la voix d'un homme sincère. Il lui manque peut-être la finesse des néo-réalistes mais il compense par une fraîcheur incroyable. Du pipeau ? J'ai du mal à y croire.
Je ressors l'exemple de cette émission qu'il a livré à la Rai et qui me conforte dans mon point de vue : il passe là 2h30 à réciter du Dante pour le plaisir du partage avec le public. Rien de solennel, simplement un dialogue amical avec les autres autour d'un auteur passionnant et qu'il explique avec une ferveur inouie.
Malgré ses excès, je vois en cet homme, un être en éternel recherche des autres, dont il se nourrit. Il étreint trop, dès lors embrasse peut-être mal mais des gars comme ça, il en manque sur cette fichue planète.
Existe-t-il un film qui fasse l'unanimité en sa faveur ?
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DannyBiker
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Et si le film qui faisait l'unanimité était un dessin animé ? 
Par exemple, le tombeau des lucioles ou un DA Pixar.
Sinon de tête, comme film je penserais à la liste de Schindler, Edward aux mains d'argent, ...
Par exemple, le tombeau des lucioles ou un DA Pixar.
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Tu m'as convaincu de donner une seconde chance au film !Jack Torrance a écrit :je comprends tout à fait ton point de vue Silence....mais connaissant le personnage, j'ai vraiment l'impression d'avoir à faire à un vrai amoureux de la vie. Certes son enthousiasme n'est pas forcément communicatif (moi-même je n'apprécie pas grand chose de ce qu'il a fait à côté) et lui joue parfois des tours mais dans le cas de ce film, je n'entends que la voix d'un homme sincère. Il lui manque peut-être la finesse des néo-réalistes mais il compense par une fraîcheur incroyable. Du pipeau ? J'ai du mal à y croire.
Je ressors l'exemple de cette émission qu'il a livré à la Rai et qui me conforte dans mon point de vue : il passe là 2h30 à réciter du Dante pour le plaisir du partage avec le public. Rien de solennel, simplement un dialogue amical avec les autres autour d'un auteur passionnant et qu'il explique avec une ferveur inouie.
Malgré ses excès, je vois en cet homme, un être en éternel recherche des autres, dont il se nourrit. Il étreint trop, dès lors embrasse peut-être mal mais des gars comme ça, il en manque sur cette fichue planète.
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tuco dunn
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une happy end dans ce film aurait été totalement déplacée...Silence a écrit :A vrai dire je n'accroche pas à grand chose dans le film
Tout d'abord je suis allergique à Benigni, il m'insupporte (mais c'est pas de sa faute); ça n'aide pas pour aimer le film. Mais allons au delà de l'idiot "délit de sale gueule":
l'approche de Benigni ne me séduit pas du tout, je n'apprécie pas le côté farce de l'ensemble. Et puis je pense que si Benigni avait été vraiment honnête avec son film, il aurait fait une happy end et pas une prise d'otage émotionnelle qui rompt trop avec le coté "traitement conte de fée".
La réalisation est plan-plan, mais bon, ça n'est pas très grave.
Je n'ai vu le film qu'une fois, j'ai eu le sentiment de perdre mon temps et pire pour moi, je n'ai pas réussi à y trouver de la sincérité (cela n'engage que moi).
Bref, même effet que Dancer in the Dark.
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Vic Vega a écrit :Je ne crois pas à l'idée qu'un film puisse faire l'unanimité. Il y a des films qui peuvent susciter l'adhésion du plus grand nombre mais l'unanimité n'existe pas, y compris sur les classiques reconnus: il a existé à l'époque de leur sortie et il existe toujours des détracteurs de 2001, des critiques avaient écrit dans les années 60 que Godard et Sergio Leone représentaient la mort du cinéma, j'ai des amis qui détestent les films de Lynch ou qui aiment le Parrain sans plus, je déteste Amélie Poulain. Tout cela dépend de la sensibilité, des critères de jugement.
Oui Vic, tu as tout à fait raison et tu m'enfonces dans l'idée que mon idée était ridicule
messieurs les administrateurs, je propose qu'on cloture ce topic
il serait capable de dépasser celui des notes 
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DannyBiker
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Pourquoi ? Tout le monde (fort heureusement) n'a pas péri dans ces détestables camps de la mort. Le personnage du père aurait pu en sortir vivant.tuco dunn a écrit :Silence a écrit :A vrai dire je n'accroche pas à grand chose dans le film
Tout d'abord je suis allergique à Benigni, il m'insupporte (mais c'est pas de sa faute); ça n'aide pas pour aimer le film. Mais allons au delà de l'idiot "délit de sale gueule":
l'approche de Benigni ne me séduit pas du tout, je n'apprécie pas le côté farce de l'ensemble. Et puis je pense que si Benigni avait été vraiment honnête avec son film, il aurait fait une happy end et pas une prise d'otage émotionnelle qui rompt trop avec le coté "traitement conte de fée".
La réalisation est plan-plan, mais bon, ça n'est pas très grave.
Je n'ai vu le film qu'une fois, j'ai eu le sentiment de perdre mon temps et pire pour moi, je n'ai pas réussi à y trouver de la sincérité (cela n'engage que moi).
Bref, même effet que Dancer in the Dark.
une happy end dans ce film aurait été totalement déplacée...
(je précise que loin de moi l'idée de créer une polémique sur ce film et encore moins sur cette page tragique de l'histoire mondiale, je ne voudrais surtout pas que mes propos soient mal interprétés)
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DannyBiker
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tant mieux !Silence a écrit :Tu m'as convaincu de donner une seconde chance au film !Jack Torrance a écrit :je comprends tout à fait ton point de vue Silence....mais connaissant le personnage, j'ai vraiment l'impression d'avoir à faire à un vrai amoureux de la vie. Certes son enthousiasme n'est pas forcément communicatif (moi-même je n'apprécie pas grand chose de ce qu'il a fait à côté) et lui joue parfois des tours mais dans le cas de ce film, je n'entends que la voix d'un homme sincère. Il lui manque peut-être la finesse des néo-réalistes mais il compense par une fraîcheur incroyable. Du pipeau ? J'ai du mal à y croire.
Je ressors l'exemple de cette émission qu'il a livré à la Rai et qui me conforte dans mon point de vue : il passe là 2h30 à réciter du Dante pour le plaisir du partage avec le public. Rien de solennel, simplement un dialogue amical avec les autres autour d'un auteur passionnant et qu'il explique avec une ferveur inouie.
Malgré ses excès, je vois en cet homme, un être en éternel recherche des autres, dont il se nourrit. Il étreint trop, dès lors embrasse peut-être mal mais des gars comme ça, il en manque sur cette fichue planète.
mais je précise encore une fois que je peux comprendre les reticences ou irritations que le film peut provoquer.
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Martin Quatermass
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George Kaplan
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