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Commentaires à propos de votre film du mois
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois
1 Le Démon des armes de Joseph H. Lewis
2 Tucker de Francis Ford Coppola
3 The Makioka Sisters de Kon Ichikawa
4 Le Vaisseau fantôme de Michael Curtiz
5 Eternal Daughter de Joanna Hogg
6 La Rivière Dotonburi de Kinji Fukasaku
7 La Maîtresse illégitime de Marco Vicario
1 Le Démon des armes de Joseph H. Lewis
2 Tucker de Francis Ford Coppola
3 The Makioka Sisters de Kon Ichikawa
4 Le Vaisseau fantôme de Michael Curtiz
5 Eternal Daughter de Joanna Hogg
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7 La Maîtresse illégitime de Marco Vicario
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Comme toujours, belle selection qui donne envie de découvrir les films qu’on connait pas et revoir ceux qu’on connait (ou croit connaître)!
- cinephage
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Bon, vu que ce soir je me fais Shazam 2, je pense pouvoir annoncer mon palmares dès à présent, sauf surprise inespérée. Vu 33 films ce mois ci (34 ce soir), dont pas mal de bonnes surprises, et une petite déception (le bien long La Flor, à mon sens assez dispensable, même si je pense du bien de Mariano Llinas).
01. L'étreinte du serpent, de Ciro Guerra (2015)
J'avais raté cette sortie, et je m'avoue totalement saisi par la richesse du film, par son sens esthétique, par son approche intelligente du sujet colonial, par sa revisite brillante du thème du dernier des Mohicans, version amazonienne. Un film entêtant que je reverrai certainement. Sur le plan formel, la photographie noir et blanc magnifie la beauté des paysage, et l'intelligence des cadrage restitue la force d'un exotisme aujourd'hui disparu.
Très chouette film sur une enfant difficile, qui se débat entre une mère démissionnaire et un système qui ne sait pas gérer les situations extrêmes comme la sienne. Poignant. (noter que le film existe aussi sur Netflix, sous le titre de systemsprenger)
Récit de migration de trois ados, leurs rencontres, difficultés, choix cornéliens... Magnifiquement filmés par un cameraman devenu réalisateur le temps d'un film. Grosse surprise et immense coup de coeur.
Documentariste depuis 25 ans, Kirsten Johnson assemble un paquet d'images filmés, qui lui évoquent un moment d'émotion. Ca va de l'éclair qui jaillit dans le plan à la naissance d'une amitié avec la famille de musulmans bosniaques qu'elle filme ou bien les derniers moments lucides de sa mère, frappée de la maladie d'Alzheimer. K.Johnson regroupe tous ces moments et raconte son parcours, passant par le raccourci de l'émotion. Un film assez frappant, qui m'a bien fait comprendre que je n'aurais pas û devenir documentariste...
Difficile de parler d'un film aussi sensible, riche en émotions où la juste distance est constamment trouvée pour évoquer un sujet grave, qui hante beaucoup de spectateurs. Moi en tout cas. Merci aux comédiens de réussir ce numéro d'équilibriste avec cette belle justesse.
01. L'étreinte du serpent, de Ciro Guerra (2015)
J'avais raté cette sortie, et je m'avoue totalement saisi par la richesse du film, par son sens esthétique, par son approche intelligente du sujet colonial, par sa revisite brillante du thème du dernier des Mohicans, version amazonienne. Un film entêtant que je reverrai certainement. Sur le plan formel, la photographie noir et blanc magnifie la beauté des paysage, et l'intelligence des cadrage restitue la force d'un exotisme aujourd'hui disparu.
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Très chouette film sur une enfant difficile, qui se débat entre une mère démissionnaire et un système qui ne sait pas gérer les situations extrêmes comme la sienne. Poignant. (noter que le film existe aussi sur Netflix, sous le titre de systemsprenger)
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Récit de migration de trois ados, leurs rencontres, difficultés, choix cornéliens... Magnifiquement filmés par un cameraman devenu réalisateur le temps d'un film. Grosse surprise et immense coup de coeur.
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Documentariste depuis 25 ans, Kirsten Johnson assemble un paquet d'images filmés, qui lui évoquent un moment d'émotion. Ca va de l'éclair qui jaillit dans le plan à la naissance d'une amitié avec la famille de musulmans bosniaques qu'elle filme ou bien les derniers moments lucides de sa mère, frappée de la maladie d'Alzheimer. K.Johnson regroupe tous ces moments et raconte son parcours, passant par le raccourci de l'émotion. Un film assez frappant, qui m'a bien fait comprendre que je n'aurais pas û devenir documentariste...
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Difficile de parler d'un film aussi sensible, riche en émotions où la juste distance est constamment trouvée pour évoquer un sujet grave, qui hante beaucoup de spectateurs. Moi en tout cas. Merci aux comédiens de réussir ce numéro d'équilibriste avec cette belle justesse.
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I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Une bonne vingtaine de films vus en mars (bon total par les temps qui courent) et un quinté franco-japonais qui se dégage.
Le bilan:
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Superbe film en effet. C'est d'autant plus dommage qu'il ne soit sorti qu'en DVD ici.cinephage a écrit : ↑31 mars 23, 15:41 01. L'étreinte du serpent, de Ciro Guerra (2015)
J'avais raté cette sortie, et je m'avoue totalement saisi par la richesse du film, par son sens esthétique, par son approche intelligente du sujet colonial, par sa revisite brillante du thème du dernier des Mohicans, version amazonienne. Un film entêtant que je reverrai certainement. Sur le plan formel, la photographie noir et blanc magnifie la beauté des paysage, et l'intelligence des cadrage restitue la force d'un exotisme aujourd'hui disparu.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je ne peux m'empêcher de voir le seul truc qui cloche dans cette très belle liste. La vie de plaisir en si mauvaise posture, je suis effondré.Père Jules a écrit : ↑31 mars 23, 15:54 Une bonne vingtaine de films vus en mars (bon total par les temps qui courent) et un quinté franco-japonais qui se dégage.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Mon classement des films du mois :
1 - Drive my car (Ryusuke Hamaguchi, 2021)
2 - La lettre inachevée (Mikhail Kalatozov, 1961)
3 - Première désillusion (Carol Reed, 1948)
4 - Le conte de la princesse Kaguya (Isao Takahata, 2013)
5 - As Bestas (Rodrigo Sorogoyen, 2022)
1 - Drive my car (Ryusuke Hamaguchi, 2021)
2 - La lettre inachevée (Mikhail Kalatozov, 1961)
3 - Première désillusion (Carol Reed, 1948)
4 - Le conte de la princesse Kaguya (Isao Takahata, 2013)
5 - As Bestas (Rodrigo Sorogoyen, 2022)
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
FILM DE MARS
LA CONDITION DE L'HOMME I - IL N'Y A PAS DE PLUS GRAND AMOUR (Masaki Kobayashi, 1959) *****
Le reste du mois, par ordre de préférence :
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INTERPRÉTATION MASCULINE DU MOIS : TATSUYA NAKADAI Kaji dans La Condition de l'homme III - La Prière du soldat
top 10, top de tous les temps, films ***** par année
top film par année
actrices, acteurs de l'année
mucho, mucho, mucho nullos
top film par année
actrices, acteurs de l'année
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Pas de film incontestable ce mois ci, mais plusieurs œuvre au moins attachantes visionnées, en tête desquelles The Boys, de Sidney J. Furie, que j'accompagneraie de Traitement de choc de Jessua et de l'efficace L'Incroyable Alligator de Lewis Teague.
Le mois complet :
Le mois complet :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
41 films et une mini-serie pour ce mois de mars.
1.
Nous etions jeunes (Binka Jeliazkova, 1961)
2.
Confession d'un commissaire de police au procureur de la Republique (Damiano Damiani, 1971)
3.
La Dentelliere (Claude Goretta, 1977)
4.
Esterno Notte (Marco Bellocchio, 2022)
5.
Mardi, ça saignera (Hugo Fregonese, 1954)
6.
El Deputado (Eloy De La Iglesia, 1978)
7.
Los placeres ocultos (Eloy De La Iglesia, 1977)
le recap' complet : viewtopic.php?p=3025568#p3025568
1.
Nous etions jeunes (Binka Jeliazkova, 1961)
2.
Confession d'un commissaire de police au procureur de la Republique (Damiano Damiani, 1971)
3.
La Dentelliere (Claude Goretta, 1977)
4.
Esterno Notte (Marco Bellocchio, 2022)
5.
Mardi, ça saignera (Hugo Fregonese, 1954)
6.
El Deputado (Eloy De La Iglesia, 1978)
7.
Los placeres ocultos (Eloy De La Iglesia, 1977)
le recap' complet : viewtopic.php?p=3025568#p3025568
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
-
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'ai vu en mars
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais / NS ne sait
Parade de printemps / Easter parade (Charles Walter, 1948) ***
En 1912 à New York, un danseur de music-hall planté par sa partenaire propose à une jeune femme de la remplacer sur ses spectacles. Fred Astaire et Ann Miller virevoltent et bondissent tandis que Judy Garland reste plus posée mais aussi charismatique que d'habitude dans ce classique du Musical jalonné de mémorables chansons par Irving Berlin où le Technicolor et la reconstitution d'époque flamboient. Un bol d'air frais. BR US
EO (Jerzy Skolimowski, 2022) **
En Pologne, un âne balloté au gré de rencontres observe à ses dépends le comportement des humains. Dérivé de l'incomparable "Au hasard Balthazar" de Bresson, le récit d'une vie animale soumise aux caprices des Hommes. Bizarrement, le film m'a fait penser à du Disney nihiliste. Le travail sur l'image et le son est remarquable et certains moments bouleversants mais la séquence avec Isabelle Huppert ruine l'excellence. BR FR
Variety (Bette Gordon, 1983) **
La caissière d'un ciné porno de Times Square file un client bien mis qui l'intrigue. Entièrement construit du point de vue de la jeune femme, un film noir inversé en female gaze dont les péripéties traînent un peu mais qui montre l'atmosphère et le décor du New York de 1980 à merveille. D'autant plus que Nan Goldin - qui tient un rôle - a travaillé avec la réalisatrice sur le projet. Un film de femmes qui est à la fois time capsule et pionnier. BR FR
The last of us - saison 1 (Neil Druckmann & Craig Mazin, 2023) ***
Dans le monde détruit par la contamination d'un parasite, un quadragénaire taiseux et une adolescente immune traversent les USA devenus une terre de tous les dangers. Les rares scènes avec les zombies-champignons sont les seuls clichés rébarbatifs de cette série qui prend avec audace et intelligence des chemins de traverse pour explorer les liens inter-humains qui ont survécu. Et là, c'est souvent touchant et profond. Et excellent. Netflix
Piccolo corpo (Laura Samani, 2021) ***
En 1901, une jeune femme du Frioul italien dont la fille est morte-née entreprend avec le petit corps un voyage à pied vers un sanctuaire dit miraculeux. On la suit dans son épreuve physique et émotionnelle et les rencontres qu'elle fait sur son chemin, dont celle d'un jeune aventurier. Austère mais magnifique de ses paysages, ce véritable conte - de fées ? - panache avec réussite réalisme, symbolisme et féminisme. Un très beau film. DVD Z2 FR
Fort Massacre (Joseph M. Newman, 1958) *** Mon film du mois
Devenu enragé après le massacre de sa famille par les Apaches - enfin, c'est plus compliqué que ça -, un sergent qui conduit quelques soldats vers la protection d'un fort les met en danger en s'acharnant à sa vengeance sur les Indiens. Sur une mise en scène dégraissée et des dialogues secs et percutants, un surprenant western avec son anti-héros suicidaire totalement atypique. Joel McCrea, comme toujours, est formidable. BR FR
Le soldat Laforêt (Guy Cavagnac, 1971) 0
En 1940, un soldat français qui s'est perdu en Aveyron traverse la région et fait rencontre divers personnages sur son chemin. La campagne, cette grande absente du cinéma, est le merveilleux décor naturel de ce petit film un peu hippie et antimilitariste qui aurait pu avoir une fraîcheur folle. Mais les stéréotypes plats des gens rencontrés et le surjouage de plusieurs acteurs - pas le principal - brisent le charme. Et c'est raté. DVD Z2 FR
Le locataire / The tenant (Roman Polanski, 1976) **
A Paris, le locataire (Roman Polanski) d'un appartement dont l'occupante précédente s'est suicidée se met en tête que les habitants de l'immeuble en veulent à sa peau. Une plongée dans la schizophrénie, cette variation sur "Répulsion" (1965) et "Rosemary's baby" (1968), qui en répète thématique paranoïaque et structure, est passionnante pour le décor, la photo, la musique et l'improbable galerie d'acteurs/personnages. Tordu. BR US
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais / NS ne sait
Parade de printemps / Easter parade (Charles Walter, 1948) ***
En 1912 à New York, un danseur de music-hall planté par sa partenaire propose à une jeune femme de la remplacer sur ses spectacles. Fred Astaire et Ann Miller virevoltent et bondissent tandis que Judy Garland reste plus posée mais aussi charismatique que d'habitude dans ce classique du Musical jalonné de mémorables chansons par Irving Berlin où le Technicolor et la reconstitution d'époque flamboient. Un bol d'air frais. BR US
EO (Jerzy Skolimowski, 2022) **
En Pologne, un âne balloté au gré de rencontres observe à ses dépends le comportement des humains. Dérivé de l'incomparable "Au hasard Balthazar" de Bresson, le récit d'une vie animale soumise aux caprices des Hommes. Bizarrement, le film m'a fait penser à du Disney nihiliste. Le travail sur l'image et le son est remarquable et certains moments bouleversants mais la séquence avec Isabelle Huppert ruine l'excellence. BR FR
Variety (Bette Gordon, 1983) **
La caissière d'un ciné porno de Times Square file un client bien mis qui l'intrigue. Entièrement construit du point de vue de la jeune femme, un film noir inversé en female gaze dont les péripéties traînent un peu mais qui montre l'atmosphère et le décor du New York de 1980 à merveille. D'autant plus que Nan Goldin - qui tient un rôle - a travaillé avec la réalisatrice sur le projet. Un film de femmes qui est à la fois time capsule et pionnier. BR FR
The last of us - saison 1 (Neil Druckmann & Craig Mazin, 2023) ***
Dans le monde détruit par la contamination d'un parasite, un quadragénaire taiseux et une adolescente immune traversent les USA devenus une terre de tous les dangers. Les rares scènes avec les zombies-champignons sont les seuls clichés rébarbatifs de cette série qui prend avec audace et intelligence des chemins de traverse pour explorer les liens inter-humains qui ont survécu. Et là, c'est souvent touchant et profond. Et excellent. Netflix
Piccolo corpo (Laura Samani, 2021) ***
En 1901, une jeune femme du Frioul italien dont la fille est morte-née entreprend avec le petit corps un voyage à pied vers un sanctuaire dit miraculeux. On la suit dans son épreuve physique et émotionnelle et les rencontres qu'elle fait sur son chemin, dont celle d'un jeune aventurier. Austère mais magnifique de ses paysages, ce véritable conte - de fées ? - panache avec réussite réalisme, symbolisme et féminisme. Un très beau film. DVD Z2 FR
Fort Massacre (Joseph M. Newman, 1958) *** Mon film du mois
Devenu enragé après le massacre de sa famille par les Apaches - enfin, c'est plus compliqué que ça -, un sergent qui conduit quelques soldats vers la protection d'un fort les met en danger en s'acharnant à sa vengeance sur les Indiens. Sur une mise en scène dégraissée et des dialogues secs et percutants, un surprenant western avec son anti-héros suicidaire totalement atypique. Joel McCrea, comme toujours, est formidable. BR FR
Le soldat Laforêt (Guy Cavagnac, 1971) 0
En 1940, un soldat français qui s'est perdu en Aveyron traverse la région et fait rencontre divers personnages sur son chemin. La campagne, cette grande absente du cinéma, est le merveilleux décor naturel de ce petit film un peu hippie et antimilitariste qui aurait pu avoir une fraîcheur folle. Mais les stéréotypes plats des gens rencontrés et le surjouage de plusieurs acteurs - pas le principal - brisent le charme. Et c'est raté. DVD Z2 FR
Le locataire / The tenant (Roman Polanski, 1976) **
A Paris, le locataire (Roman Polanski) d'un appartement dont l'occupante précédente s'est suicidée se met en tête que les habitants de l'immeuble en veulent à sa peau. Une plongée dans la schizophrénie, cette variation sur "Répulsion" (1965) et "Rosemary's baby" (1968), qui en répète thématique paranoïaque et structure, est passionnante pour le décor, la photo, la musique et l'improbable galerie d'acteurs/personnages. Tordu. BR US
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Top 10 Mars 2023 :
1. Disputed Passage...Frank Borzage (1939)
2. Чистое Небо (Ciel pur)...Grigori Tchoukhraï (1961)
3. Io ho paura...Damiano Damiani (1977)
4. Les passagers de la nuit...Mikhaël Hers (2022)
5. Petchki-lavotchki (A bâtons rompus)...Vasili Shukshin (1972)
6. Las aguas bajan turbias (Le fleuve de sang)...Hugo del Carril (1952)
7. La nuit du 12...Dominik Moll (2022)
8. Otoko wa tsurai yo (C'est dur d'être un homme)...Yōji Yamada (1969)
9. Cyrano de Bergerac...Michael Gordon (1950)
10. Salvation hunters...Josef Von Sternberg (1925)
1. Disputed Passage...Frank Borzage (1939)
2. Чистое Небо (Ciel pur)...Grigori Tchoukhraï (1961)
3. Io ho paura...Damiano Damiani (1977)
4. Les passagers de la nuit...Mikhaël Hers (2022)
5. Petchki-lavotchki (A bâtons rompus)...Vasili Shukshin (1972)
6. Las aguas bajan turbias (Le fleuve de sang)...Hugo del Carril (1952)
7. La nuit du 12...Dominik Moll (2022)
8. Otoko wa tsurai yo (C'est dur d'être un homme)...Yōji Yamada (1969)
9. Cyrano de Bergerac...Michael Gordon (1950)
10. Salvation hunters...Josef Von Sternberg (1925)
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Les découvertes :
THE LIMEY - Steven Soderbergh (1999)
JOE - John G. Avildsen (1970)
ILS ÉTAIENT NEUF CÉLIBATAIRES - Sacha Guitry (1939)
THE HARDER THEY FALL - Mark Robson (1956)
ESTERNO NOTTE - Marco Bellocchio (2022)
Le tout...
THE LIMEY - Steven Soderbergh (1999)
JOE - John G. Avildsen (1970)
ILS ÉTAIENT NEUF CÉLIBATAIRES - Sacha Guitry (1939)
THE HARDER THEY FALL - Mark Robson (1956)
ESTERNO NOTTE - Marco Bellocchio (2022)
Le tout...
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Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)