Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Publié : 16 févr. 18, 11:34
Demi-Lune a certainement pleuré pour le chien pendant tout le film... Du coup il n'a pas ri du tout.
https://www.dvdclassik.com/forum/
Tu confonds pas avec Un Poisson nommé Wanda ou avec Mary à tous prix ?cinephage a écrit :Demi-Lune a certainement pleuré pour le chien pendant tout le film...
AtCloseRange a écrit : même si le film est finalement presque plus glauque que drôle.
manuma a écrit :Non, non, non... c'est juste pas possible, çaDemi-Lune a écrit :
• S.O.B. (Blake Edwards, 1981) — 1,5/10
Même candidat pour moi. Quel beau film, porté par un remarquable casting d'ensemble et notamment un Dalio extrêmement touchant.John Holden a écrit :1938 fut certainement en qualité comme en quantité une des années les plus brillantes de l'époque classique du cinéma français (La bête humaine/Café de Paris/Le schpountz/Le roman de Werther/Le quai des brumes/Mollenard/Hôtel du Nord/La femme du boulanger/L'étrange Monsieur Victor/Les disparus de St Agil/Remontons les champs-Elysées, L'entraîneuse, pour ne citer que ceux là) et ce n'est pas La maison du maltais de Pierre Chenal qui viendra nuancer le constat. Peut être au passage le rôle le plus marquant et élaboré de Viviane Romance et Marcel Dalio, un an avant La régle du jeu, déjà au centre de toutes les attentions qui le mérite amplement. Un grand film français qui mériterait (si toutefois le matériel existant le permettait) une restauration soignée.
Content qu'il t'aie autant plu.Rick Blaine a écrit :Même candidat pour moi. Quel beau film, porté par un remarquable casting d'ensemble et notamment un Dalio extrêmement touchant.John Holden a écrit :1938 fut certainement en qualité comme en quantité une des années les plus brillantes de l'époque classique du cinéma français (La bête humaine/Café de Paris/Le schpountz/Le roman de Werther/Le quai des brumes/Mollenard/Hôtel du Nord/La femme du boulanger/L'étrange Monsieur Victor/Les disparus de St Agil/Remontons les champs-Elysées, L'entraîneuse, pour ne citer que ceux là) et ce n'est pas La maison du maltais de Pierre Chenal qui viendra nuancer le constat. Peut être au passage le rôle le plus marquant et élaboré de Viviane Romance et Marcel Dalio, un an avant La régle du jeu, déjà au centre de toutes les attentions qui le mérite amplement. Un grand film français qui mériterait (si toutefois le matériel existant le permettait) une restauration soignée.